Caractère  

     Sans ne croit plus en rien, il ne voit que très peu d’intérêt à l’existence. Cela le pousse à être paresseux, feignant, à quoi bon faire le moindre effort dans une vie que n’a pas de sens ? Il est devenu un véritable expert dès qu’il s’agit sa véritable nature. Sous une tonne de jeux de mots vaseux et farces en tout genre. Il ne fait que cela prétendre, en particulier auprès des personnes qu’il apprécie. Si son cynisme l’empêche de le faire, les personnes capables de voir le bien en chacun le rendent admiratifs. Il rêverait de pouvoir être comme eux. C’est également quelqu’un de très perspicace qui n’a besoin que de quelques informations deviner la plupart des secrets.

   

Pouvoirs  

      Sans peut se téléporter un peu partout (à Baiame avec certaines limites). Il peut également faire sortir du sol des os géants pouvant blesser mortellement ses adversaires. A ses côtés, il peut invoquer des crânes géants appelés "Gaster Blaster" tirant des rayons lasers de leurs bouches. Il possède également des pouvoirs télékinétiques.

   
   

   

L'histoire de ton personnage  

    Raconte l'histoire de ton personnage dans son univers d'origine. Du jour au lendemain, Sans et son frère Papyrus sont apparus à Couvreneige. Personne ne sait comment, ni pourquoi, même pas les concernés. Si les deux frères et furent très vite acceptés dans la petite communauté du Monde Souterrain, le quotidien de Sans n’était pas aux beaux fixes. Il ressentait ce manque perpétuel, il ne saurait l’expliquer. Si Papyrus était son monde, il manquait quelqu’un à leur côté. Un nom revenait sans cesse dans son esprit, l’obsédant WD Gaster. Il avait fait des tonnes et des tonnes de recherche. Mais ne trouva aucune mention de ce nom nulle part, Sans était persuadé que ce Gaster était réel, il avait comme disparu, à travers le temps et l’espace sans laisser aucune trace. Le squelette ne pouvait l’expliquer, mais il devait trouver un moyen de ramener ce Gaster dans leur monde.

Il se rapprocha d’Alphys, la scientifique royale. Ayant lui-même des compétences scientifiques innées, Sans travailla de consort avec la jeune dinosaure. Il restait dans l’ombre. Laissant Alphys s’attribuer la plupart des mérites lorsqu’il y en avait. Sans était bien plus intéressé par des études sur le temps et l’espace. Il créa toutes sortes de machines calculant le flux temporel. Ses résultats furent étonnants, à en croire ses diagrammes, quelqu’un s’amusait avec la ligne temporelle, retournant en arrière dès qu’il le souhaitait, causant des « reset » sur le monde. Une sorte d'anomalie. Sans fut estomaqué. Cette réalisation le dégouta. Rien n’a de sens. Toutes ses actions risquaient à tout instant d’être annulé par un petit farceur qui ne trouvait rien de mieux à faire que de rendre leurs vies à tous futiles. Ces réalisations plongèrent Sans dans une profonde dépression. La stagnation de son projet initial, ramener Gaster parmi eux n’aidant en rien. Il cessa sa carrière de scientifique. Il fallut des mois avant que le squelette ne puisse ne serait-ce que bouger le petit doigt. Papyrus fut d’une grande aide. Il lui cuisinait des spaghettis, tentait de le faire rire avec des calembours, réalisait des casses- crânes qui devait stimuler mentalement. Sans était touché de toutes ces petites attentions. Il ne lui parla pas de Gaster ou même des possibles sauts dans le temps. Son frère était l’innocence, la bonté à l’état pur et le monstre respectait cela. Il ne voulait pas que l’autre squelette soit tacheté de ses idées moroses. Aussi, un bon matin pour faire plaisir à son frère, il se leva et fit comme si de rien n’était, comme si ses simples pensées ne le détruisaient pas à petit feu. Il alla au poste de garde où Papyrus travaillait et obtint un poste à ses côtés. Il aidait dans sa mission, celle de capturer les possibles humains qui débarqueraient dans le monde souterrain. Bon, il n’y avait pas beaucoup de personne à enfermer. Les humains étaient rares depuis la guerre entre eux et les monstres. Ils les avaient bannis ici, il est logique qu’ils ne désiraient pas s’aventurer dans cet enfer souterrain. De ce qu’il avait compris, six d’entre eux avaient déjà commis cette erreur, et, comment dire, ils ont passé un très mauvais moment. Leurs âmes furent récupérées, car sept âmes humaines pouvaient briser la barrière qui retenaient les monstres dans ce monde souterrain. Le rôle de Sans et Papyrus était de s’assurer que si une âme humaine parcourait le quartier de Couvreneige, elle ne pourrait jamais s’échapper. Sans était plutôt apathique, il ne faisait que suivre son frère qui bombait peut-être le torse mais qui jamais ne pourrait faire de mal à une mouche.

Un jour, Sans se balada non loin des ruines de l’ancienne capitale. Il entendit la voix d’une vieille dame derrière venir d’une porte. S’ennuyant, il décida de la fuir une blague peu drôle mais qui rendit cette femme. Heureux d’avoir rencontré une personne appréciant son humour, il repassa très souvent, s’amusant malgré cette porte qui les séparait toujours. Il parlait de tout et de rien et Sans avait l’impression qu’il s’était fait une amie. Et, lors de l’un de leurs échanges, la dame lui fit contracter une promesse. Celle de protéger tout humain qui s’aventurait dans le monde souterrain, le squelette hésita et pourtant accepta.

Cette promesse fut mise à rude épreuve le jour où un jeune enfant humain apparut à Couvreneige. Si au début, Sans se prépara à l’accueillir, à être cet ange gardien secret que son amie lui avait demandé d’être, l’attitude de l’humain le figea presque. Les rumeurs allaient de bon train, il semblerait qu’il est déjà tué tous les monstres présents dans les ruines. La gentille femme avec qu’il faisait des calembours, celle à qui il fit cette promesse, sa seule amie… Etait morte, tuée par cet humain. Sans enragea intérieurement mais refusa toujours de faire quoi que ce soit, une promesse reste une promesse. Au côté de Papyrus, il rencontra enfin ce jeune enfant et son attitude était étrange. Il semblait blasé, résolvait les énigmes de son frère avec une facilité déconcertante, comme s’il les avait déjà résolus, comme si tous ces évènements étaient déjà arrivés. Pris de doute, Sans réutilisa sa machine, celle qui gardait trace des activités temporelles. Il ne fut pas étonné du résultat. Des dizaines de sauts temporels furent à répertorier. Cet enfant manipulait le temps, revenait en arrière dès qu’il se souhaitait. Il était un véritable danger. Cette fois, il savait maintenant qu’il devait prévenir Papyrus. Son frère ne comprendrait certainement rien du tout, Sans ne l’ayant jamais mis au fait de ce savoir. Mais pour la sécurité de l’autre squelette, le monstre se devait de le faire. Déterminé, il se rendit jusqu’à l’avant-garde où il avait laissé Papyrus pour la dernière fois. Il n’y trouva que des cendres. Comment décrire une telle peine ? Sans était affligé, il restait debout, regardant les restes poussiéreux de son frère. Les larmes ne montèrent pas. Elle n’arrivait pas à venir. Sans avait prévenu ce gamin auparavant, s’il combattait son frère, il passerait un sale moment. La rage qu’il ressentait actuellement lui ferait tenir au moins cette promesse. Il le suivit, restant un observateur silencieux pendant quelques temps. Papyrus avait certainement trop déteint sur lui, mais Sans désirait laisser une chance, il restait qu’un enfant… Mais au fur et à mesure, alors que cet humain tua Mettaton, Alphys, Undyne, tous les monstres sur son chemin au point où, il ne restait que lui et leur roi Asgore, Sans comprit. Il se rendit à l’entrée du château du roi. L’attendant maintenant. En le voyant arriver, il lui posa une question que Papyrus avait eu dans le passé : est-ce que le pire des individus peut changer et devenir une bonne. L’enfant ne lui répondit qu’avec un pas. Sans le prévint alors, s’il avançait à nouveau, il allait véritablement passer un sale moment. Et pourtant le gamin fit à nouveau un pas. Cette pauvre vieille dame des ruines. Voilà pourquoi il ne faut jamais faire de promesse. Le combat se déclencha.

Démontrant des pouvoirs qu’il avait caché tout ce temps, Sans assena des coups violents. Il tua l’humain au moins dix fois. Mais tant bien même, ce dernier possédant ce pouvoir de retour dans le temps revenait toujours, apprenant petit à petit ses patterns. Le squelette ne se souvenait bien entendu pas de leur précédente rencontre. Il ne put que le deviner lors de la dernière, l’expression du visage de son adversaire le trahissant bien trop. Il le voyait éviter toutes ses attaques avec aise car il les connaissait, Sans savait que la mort l’attendait, il s’épuisait face à un adversaire qui lui ne le serait jamais. Il avait remarqué un pattern dans leurs échanges, l’enfant n’attaquait qu’après l’une des attaques du squelette. Il tenta donc une stratégie, ne rien faire. Lorsque vint son tour, il n’attaqua, restant debout, regardant le gamin droit dans les yeux. Il espérait qu’ainsi, ce dernier s’ennuierait et retournerait dans le temps à une période où tous les monstres du Monde Souterrain n’était pas mort. Peut-être que de cette façon, il laisserait les choses ainsi. L’attente fut telle que Sans lui-même s’endormi, avec des moyens qu’il ne comprenait pas vraiment l’humain profita de ce temps pour tenter une attaque que le squelette évita sans mal. Ce fut le dernier coup que le monstre put esquiver.
    Raconte l'histoire de ton personnage depuis qu'il n'y a plus que la Terre 1218. Felix T. Calibri a atterri à Baiames l’année de ses dix-huit ans baluchon à moitié vide sur le dos. Ses parents l’avaient mis dehors, ils avaient eu la « gentillesse » de lui payer un billet d’avion aller, en direction de l’endroit de son choix. Il ne sait même pas pourquoi il a choisi cette île, probablement parce que le vol durait longtemps et qu’il n’aurait pas à réfléchir à ce qu’il devrait faire une fois débarquer. Il erra dans la rue avant de trouver une bonne âme qui lui offrit un travail. Il nettoyait les couloirs de la fac du coin. Pas mal non ? Il économisa pendant quelques années avant de pouvoir se permettre d’entrer dans l’un des cursus universitaire, celui de physique quantique. Il y excellait, couplant plusieurs autres branches de la physique comme par l’ingénierie. A trente deux ans, il obtint son doctorat qui lui permet d’enseigner aux élèves du campus tout en conduisant ses propres travaux de recherche.

Et puis les souvenirs revinrent. Sans était étonnement calme. Son monde s’était effondré, mais, qu’il avait-il à sauver ? Toutes les personnes le constituant avaient déjà été froidement assassinés. Il avait perdu espoir il y a bien longtemps. Il quitta son poste d’enseignant chercheur. Il avait abandonné toutes activités scientifiques depuis des lustres, ce n’est pas pour s’y remettre à Baiame. Ayant tout de même besoin d’un job alimentaire, il obtint une place d’agent d’entretient au lycée. Sans est un homme simple qui n’a pas besoin de grand-chose : un burger et des blagues.
   
   

   Prénom ou pseudo Numéro 8
   Age Toujours vingt et un ans.
   Comment avec vous découvert le forum ? PRDDDDDDDDDDD.
   Quelque chose à dire ? Il est impoli de parler des personnes qui écoutent.