Sujet: Re: Il en faut peu pour être heureux - Evangeline Dim 7 Juil 2024 - 11:55
Il en faut peu pour être heureux
Eugène Fitzherbert, pourquoi fallait-il qu’il ait hérité d’un prénom et d’un nom pareil. Il était orphelin, enfin plus vraiment, il avait appris ses origines et possédait du sang royal. Beaucoup même plus qu’il était l’héritier d’un royaume lointain du monde dans lequel il vivait avant. Bizarrement, ça ne l’avait jamais vraiment intéressé, peut-être parce qu’il avait grandi en voleur et qu’il se voyait mal se pointer là-bas pour revendiquer le trône ou une connerie du genre. Non… il préférait finalement être Eugene, même s’il détestait ce prénom et encore plus son de famille imprononçable, mais bon, c’était lui et surtout c’était l’homme qui était tombé amoureux de Raiponce. Et s’il y avait une chose qui était important dans la vie d’Eugène et de l’ancien Flynn Rider, c’était bien la blondinette. Sans elle, il serait sûrement encore en train de voler des royaumes et de séduire toutes les filles du royaume grace à son charme exceptionnel. Hélas depuis qu’il avait rencontré Raiponce, il n’y avait plus qu’elle dans sa vie, il n’était plus sur le marché ce qui évidemment avait créé un drame dans le cœur de milliers de jeunes filles. Parce que oui, son cœur n’était plus à prendre, il appartenait totalement à Raiponce. Dire qu’ils étaient censés se marier… Se marier… Hélas, ils n’en avaient pas vraiment eu le temps avec toutes les péripéties qui leur étaient arrivés. Eugène ne comprenait pas ce qu’il faisait là dans ce monde, mais cela n’avait pas vraiment d’importance, pas si Raiponce était à ses côtés. « Y a vraiment que toi qui peut m’appeler Eugène et que j’aime ça. » Il n’aimait pas son prénom, il le trouvait ringard, mais il ne l’était pas entre les lèvres de la blonde, surement parce qu’elle était la seule à vraiment le connaitre.
Il répond tendrement à ses lèvres tout en la tirant contre lui pour l’asseoir sur ses jambes. Dire qu’il se trouve en fauteuil roulant, il manquait plus que ça… Mais ce n’est pas comme s’il pouvait changer les choses et son accident. il était en vie, parce qu’il aurait très bien se retrouver dans un cercueil après ce foutu accident qui lui était arrivé quelques mois plus tôt. Sa main se pose délicatement sur la joue de Raiponce avant de monter dans ses cheveux blonds dont il l’avait dépossédé à une époque pour qu’elle retrouve sa liberté. « Je suis désolé de revenir que maintenant. » lui dit-il avant de l’embrasser de nouveau, bien trop passionnément pour l’endroit ou ils se trouvent mais Flynn n’a jamais été le genre de mec à vraiment se soucier de l’avis des personnes qui l’entourent. « Mon amour… » lui glisse t’il dans l’oreille avant de rajouter. « Moi aussi je t’aime, même quand tu me forces à faire un blind test sur des musiques et à faire du Karaoké… » finit-il par dire en plaisantant avant de l’embrasser de nouveau pour être certain qu’il n’est pas en train de rêver. Mais la caresse, la douceur et le gout sucré de ses lèvres ne sont pas faux et Eugène en profite, bien plus qu’il ne l’aurait dû, mais il n’a jamais eu la chance de l’embrasser ainsi, parce que dans leur monde, le père de Raiponce n’était jamais très loin et il veillait à la vertu de sa fille. Ici, il n’est pas à l’hopital, ce qui leur laisse le champ libre.
« Je crois que j’ai gagné, on va devoir choisir le resto, Evangeline ! » La voix du crétin retentit et Eugène tourne la tête pour le regarder. Il les dévisage, la bouche grande ouverte, visiblement il ne s’attendait pas à retrouver Evangeline, assise sur ses jambes, en train de l’embrasser sans retenu. Eugène lui lance un regard lourd de sens, le genre qui met en garde, même s’il ne va pas pouvoir faire grand-chose dans son fauteuil. « Je crois pas non… » Hors de question que sa future femme se retrouve à manger avec ce crétin… « Tu ne vois pas qu’on est occupé ! » Oui voilà qu’il reparte jouer et qui les laisse entre adulte, ils avaient plein de choses à se raconter.
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Sujet: Re: Il en faut peu pour être heureux - Evangeline Jeu 8 Aoû 2024 - 18:38
Il en faut peu pour être heureux ☾ @Eugène Fitzherbert« Eugène, Eugène, Eugène » susurrais-je à son oreille avec un léger sourire.
Il était de retour, il était vraiment revenu. Il était là, dans mes bras. Il était revenu. L’homme de ma vie était de retour pour de vrai. Je l’embrasse avec tendresse avant de me retrouver rapidement assise sur ses jambes.
Rompant le baiser, je lui souris.
« Le plus important, c’est que tu sois revenu. » soufflais-je alors avec douceur avant de répondre avec bonheur à son baiser.
Un rire heureux et massif jaillit d’entre mes lèvres alors que mon regard se perd dans celui de Flynn. Il m’avait tellement manqué. J’étais si heureuse de le retrouver. Je me sentais enfin complète avec lui. De nouveaux baisers échangés alors qu’on fini par être dérangé par le crétin de service.
Un léger sourire perle sur mes lèvres mais je ne dis mot. Finalement, je finis par reprendre la parole une fois que l’autre imbécile avait fini par nous laisser tranquille.
« Est-ce-que tu veux que j’accélère ta guérison ? » lui demandais-je « Même s’ils ne sont plus aussi long que dans notre monde, ils n’ont rien perdu de leurs pouvoirs. » expliquais-je à l’homme que j’aime. Images by Tumblr | Code by EXORDIUM.
Eugène Fitzherbert
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Sujet: Re: Il en faut peu pour être heureux - Evangeline Jeu 8 Aoû 2024 - 21:04
Il en faut peu pour être heureux
« Non, tu peux m’appeler Eugène, j’aime quand tu m’appelles par mon vrai prénom… » Flynn n’était qu’un nom d’emprunt, un nom volé pour sa vie de voleur. Cette vie qu’il avait choisi pour embellir son existence d’orphelin. Une vie de mensonges ou rie ne se qu’il disait n’était vrai. Depuis qu’il avait rencontré Raiponce et qu’il était tombé amoureux d’elle, Eugène avait accepté d’abaisser ses barrières. Raiponce connaissait sa vraie histoire, et lui avait aussi permis de découvrir son passée. Dire qu’il était l’héritier d’un royaume… La belle blague pour lui qui avait toujours aimé être un bandit de grand chemin. Pourtant depuis qu’il était avec Raiponce, Eugène s’attelait à devenir un gentleman pour être à la hauteur de sa belle, ce n’était pas toujours facile. Un gentleman n’aurait surement pas embrasser sa future femme dans un hôpital devant Tout le monde, mais Eugène s’en moquait, il était bien trop heureux d’avoir retrouver la femme qu’il aimait pour penser à ce genre de choses. Il serait d’ailleurs bien resté là à l’embrasser sans rien faire d’autre de la journée… Eugène n’était pas une personne de confiance, enfin pas avant la majorité des gens qu’il croisait, mais il voulait une fidélité sans borne à Raiponce et n’était pas en mesure de vivre loin d’elle. Au tout début, quand elle l’avait ramené au palais, il avait passé des jours terrifiés à l’idée que son père le roi ne le mette dehors. Il aurait surement fait d’ailleurs, parce qu’il n’avait jamais vraiment apprécié qu’il tourne autour de sa fille. Mais il aimait tellement Raiponce et était tellement heureux de la retrouver, qu’il avait accepté le choix de sa fille, même si cela devait le rendre fou de savoir que sa famille allait épouser un bandit de grand chemin. Le fait qu’il ait découvert après sa filiation a une autre famille royale ne changeait pas les choses qu’il avait faite, encore moins le monde dans lequel il avait grandi. Eugène avait peut-être le sang bleu, mais il avait grandi et évolué comme un orphelin. Son attitude n’était pas du tout celle d’un héritier, cette idée le faisait même sourire tant ça lui semblait loin de sa personnalité. La seule chose à laquelle il croyait dans son monde, c’était son amour pour Raiponce et le simple fait de voir la manière dont elle le regardait suffisait à apaiser ses tourments.
« T’occuper de moi ? » dit-il d’une voix amusée, cette idée lui plaisait énormément, peut-être un peu trop d’ailleurs. Les deux jeunes gens avaient beau être fiancés, ils n’avaient jamais dépassé le stade des baisers. Le baiser qu’ils venaient d’échanger dans ce couloir d’hôpital était surement le plus sulfureux de toute leur vie… Autant dire qu’ils s’étaient toujours comporter comme des sains. L’idée de vivre aux côtés de Raiponce l’enchantait, parce qu’ils n’en avaient jamais eu vraiment l’occasion. Quand il vivait au château des parents de la blonde, Il vivait dans l’aile opposé, histoire de ne surtout pas pouvoir rejoindre Raiponce la nuit. Bon ok, il avait déjà essayé une fois ou deux, mais c’était toujours dégonflé avant de rentrer dans sa chambre, par peur qu’elle ne le repousse. « Tu sais que je peux être un patient très difficile ! Mon infirmière va devoir être convaincante » ne peut-il s’empêcher de lui dire d’une voix amusée et remplis de sous-entendus.
« Tu habites seule ? » lui demande t’il curieux de savoir ou il va mettre les pieds, même si dans le fond tant qu’il est à ses côtés, il se moque du reste. « Je t’aurais bien proposé chez moi, mais je vis avec ma mère…Enfin le père de Ceylan… » Bordel c’était compliqué ce monde. Maintenant qu’il y pensait, il ne connaissait pas cette femme... Elle ne faisait pas partie de leur monde, pas qu’il s’en souvienne en tout cas. « Dans les souvenirs de Ceylan, je ne venais ici que pour les vacances… » C’était encore assez compliqué de faire le tri entre ses vrais et ses faux souvenirs, mais il se connaissait assez bien pour savoir qu’il y arriverait, il lui fallait juste un peu de temps. « Oui allons-y, je te laisse prendre les rênes de mon fauteuil. » dit-il en plaisantant. « Depuis le temps que j’ai envie de plus assister à ses ateliers, le seul intérêt, c’était toi. » Et vu qu’elle n’y était plus, Eugène n’était pas contre un petit tour en extérieur.
« Si tu veux, je peux t’appeler Flynn hein. C’est comme tu préfères. » énonçais-je avec un sourire bienveillant. De toute façon, que ce soit l’un ou l’autre, il restait mon Eugène et ça, personne ne pourrait rien y faire. Répondant avec bonheur à son baiser, je finis par reprendre la parole « je le sais, aujourd’hui je le sais » énonçais-je alors. Je me sentais enfin complète, Flynn était revenu. Et ça, c’était la plus belle chose qui soit.
Je finis par lui demander s’il veut que je le soigne. Après tout, les pouvoirs de mes cheveux devaient bien servir à quelque chose mais il avait raison sur un point, je ne pouvais pas trop en faire non plus, de peur que ça fasse se questionner les soignants. Posant mon regard sur Eugène, je finis par reprendre la parole « alors je ferais juste ce qu’il faut pour que tu puisses rentrer avec moi et que je puisse m’occuper de toi. » énonçais-je alors avec tendresse, mêlant mes doigts aux siens.
« Un petit moment déjà dira-t-on » énonçais-je alors avant de reprendre « J’habite dans le centre-ville, je pense que tu aimeras, c’est très lumineux et solaire » énonçais-je avec un clin d’oeil « tu veux qu’on aille se promener un peu ? Histoire de changer d’air. » repris-je alors « et après, je m’occupe de calmer tes douleurs. » repris-je.
Sujet: Re: Il en faut peu pour être heureux - Evangeline Lun 23 Sep 2024 - 10:07
Il en faut peu pour être heureux
« Non, tu peux m’appeler Eugène, j’aime quand tu m’appelles par mon vrai prénom… » Flynn n’était qu’un nom d’emprunt, un nom volé pour sa vie de voleur. Cette vie qu’il avait choisi pour embellir son existence d’orphelin. Une vie de mensonges ou rie ne se qu’il disait n’était vrai. Depuis qu’il avait rencontré Raiponce et qu’il était tombé amoureux d’elle, Eugène avait accepté d’abaisser ses barrières. Raiponce connaissait sa vraie histoire, et lui avait aussi permis de découvrir son passée. Dire qu’il était l’héritier d’un royaume… La belle blague pour lui qui avait toujours aimé être un bandit de grand chemin. Pourtant depuis qu’il était avec Raiponce, Eugène s’attelait à devenir un gentleman pour être à la hauteur de sa belle, ce n’était pas toujours facile. Un gentleman n’aurait surement pas embrasser sa future femme dans un hôpital devant Tout le monde, mais Eugène s’en moquait, il était bien trop heureux d’avoir retrouver la femme qu’il aimait pour penser à ce genre de choses. Il serait d’ailleurs bien resté là à l’embrasser sans rien faire d’autre de la journée… Eugène n’était pas une personne de confiance, enfin pas avant la majorité des gens qu’il croisait, mais il voulait une fidélité sans borne à Raiponce et n’était pas en mesure de vivre loin d’elle. Au tout début, quand elle l’avait ramené au palais, il avait passé des jours terrifiés à l’idée que son père le roi ne le mette dehors. Il aurait surement fait d’ailleurs, parce qu’il n’avait jamais vraiment apprécié qu’il tourne autour de sa fille. Mais il aimait tellement Raiponce et était tellement heureux de la retrouver, qu’il avait accepté le choix de sa fille, même si cela devait le rendre fou de savoir que sa famille allait épouser un bandit de grand chemin. Le fait qu’il ait découvert après sa filiation a une autre famille royale ne changeait pas les choses qu’il avait faite, encore moins le monde dans lequel il avait grandi. Eugène avait peut-être le sang bleu, mais il avait grandi et évolué comme un orphelin. Son attitude n’était pas du tout celle d’un héritier, cette idée le faisait même sourire tant ça lui semblait loin de sa personnalité. La seule chose à laquelle il croyait dans son monde, c’était son amour pour Raiponce et le simple fait de voir la manière dont elle le regardait suffisait à apaiser ses tourments.
« T’occuper de moi ? » dit-il d’une voix amusée, cette idée lui plaisait énormément, peut-être un peu trop d’ailleurs. Les deux jeunes gens avaient beau être fiancés, ils n’avaient jamais dépassé le stade des baisers. Le baiser qu’ils venaient d’échanger dans ce couloir d’hôpital était surement le plus sulfureux de toute leur vie… Autant dire qu’ils s’étaient toujours comporter comme des sains. L’idée de vivre aux côtés de Raiponce l’enchantait, parce qu’ils n’en avaient jamais eu vraiment l’occasion. Quand il vivait au château des parents de la blonde, Il vivait dans l’aile opposé, histoire de ne surtout pas pouvoir rejoindre Raiponce la nuit. Bon ok, il avait déjà essayé une fois ou deux, mais c’était toujours dégonflé avant de rentrer dans sa chambre, par peur qu’elle ne le repousse. « Tu sais que je peux être un patient très difficile ! Mon infirmière va devoir être convaincante » ne peut-il s’empêcher de lui dire d’une voix amusée et remplis de sous-entendus.
« Tu habites seule ? » lui demande t’il curieux de savoir ou il va mettre les pieds, même si dans le fond tant qu’il est à ses côtés, il se moque du reste. « Je t’aurais bien proposé chez moi, mais je vis avec ma mère…Enfin le père de Ceylan… » Bordel c’était compliqué ce monde. Maintenant qu’il y pensait, il ne connaissait pas cette femme... Elle ne faisait pas partie de leur monde, pas qu’il s’en souvienne en tout cas. « Dans les souvenirs de Ceylan, je ne venais ici que pour les vacances… » C’était encore assez compliqué de faire le tri entre ses vrais et ses faux souvenirs, mais il se connaissait assez bien pour savoir qu’il y arriverait, il lui fallait juste un peu de temps. « Oui allons-y, je te laisse prendre les rênes de mon fauteuil. » dit-il en plaisantant. « Depuis le temps que j’ai envie de plus assister à ses ateliers, le seul intérêt, c’était toi. » Et vu qu’elle n’y était plus, Eugène n’était pas contre un petit tour en extérieur.