Caractère  

    INSTINCT ■ Tu es un monstre.
Monstre de violence et de force.

C'est dans ta nature. Tu es une erreur de calcul. Une chose qui n'aurait pas dû prendre vie. Une créature qui n'est guidée que par ses plus bas instincts. Celui de la survie et de la loi du plus fort. Animal impitoyable et sadique, au rire psychotique reconnaissable entre mille, tu n'aurais même pas dû quitter son monde. Le monde intérieur de ton roi. Tu es une brute arrogante. Tu faisais le fanfaron, tu lui promettais milles tourments s'il avait le malheur de s'affaiblir et d'être plus faible que toi. Tu étais fou. Fou de le voir se retenir. Retenir votre force prodigieuse, capable d'abattre n'importe quel obstacle pour de beaux principes. Fou de rage à l'entendre, lui et ses beaux discours de paix, tailler une bavette avec votre ennemi. Fou de le voir aussi naïf face à ta réalité de ce monde ; Tué ou être tué. Tu ne voulais pas qu'il meurt, alors tu te manifestais qu'aux derniers instants. Tu rattrapais ce dernier souffle de vie.

Monstre tenance,
Qui ne voulait pas crever. ■ Tu veux vivre, exister, être nommé. Tu n'as même pas de nom. Il a mis tellement de temps à te nommer. Toi qui lui faisais peur. Toi qui le poussais dans ses derniers retranchement. Toi qui l'a finalement entrainé et tout fait pour que tu ne l'atteignes pas, la couronne.

SHIRO ■ Monstre blanc comme la neige.
Monstre monochrome, aux yeux comme deux soleils.

Ta nature, elle s'est apaisée avec le temps. Ta dévotion, il l'a obtenu enfin, lorsqu'il t'a reconnu comme son épée. Lorsqu'il ne cherchait plus à t'étouffer. À te contenir. Ton respect, il l'a enfin eu et toi, tu te sentais apaisé. Tu n'avais pas perdu cette rage aux ventres, cette soif de vaincre, mais elle était mieux contrôlée, dirigée par une main de maître. Tu n'étais plus l'ombre, tu étais son partenaire. C'était une chaleureuse sensation et tu te demandais si son humanité n'était pas en train de dévorer ton essence. Toi, le HOLLOW ■ Le monstre sans âme.

Tout ceci a volé en éclat, dès qu'on t'a arraché à ton propriétaire. Ton âme. Bête muselé dans le corps d'un jeune garçon, Miss Minute t'a donné ce que tu voulais au plus profond de ton cœur ; Ta liberté, ton propre corps. Seulement, ce n'est pas aussi grisant que tu l'avais imaginé. C'est même décevant. Tu t'ennuies, alors tu cherches l'occupation. Tu es instable et chaotique, un agent bien difficile à gérer, mais efficace quand il s'agit d'éliminer un problème. On te tolère, on essaye de ne pas trop te brider. Tu le sens ; Ils tentent de copier l'attitude de ton roi, mais une copie reste une copie. Rien qui ne vaut l'original. Tu te laisses à nouveau plonger dans tes plus bas instincts. Celui de la survie, parfois de la débauche car il serait stupide de ne pas en profiter. Tu restes un monstre. Tu veux pouvoir t'endormir en te disant que ça valait le coup, de lâcher Ichigo, mais ce n'est pas le cas. Parce que tu ne l'as pas choisi et maintenant, ton roi se retrouve sans son épée tu-ne-sais où.

   

Pouvoirs  

    Aucun pouvoir. Tu les as perdu dès le moment où l'on t'a retiré de ton monde intérieur. Disparu ces lames d'énergies, ces Cero, bombes de destruction capable de raser des montagnes à la pelle...
    ➜ Tu n'as pas perdu l'entièreté de tes capacités. Tu as gardé ton talent pour manier une épée et ton agilité. Tu as perdu de ta force, mais elle reste encore non négligeable quand vient le moment de se battre à mains nue. Un coup de poing dans la mâchoire n'a pas besoin de briser des os pour faire son petit effet.
   
   

   

L'histoire de ton personnage  

    Raconte l'histoire de ton personnage dans son univers d'origine.

NOTHING CAN BE EXPLAINED ■ Ichigo, quelle est la différence entre un roi et son cheval ? Je ne veux pas dire des conneries de gosse comme "L'un est une personne et l'autre est un animal" ou "L'un a deux jambes et l'autre en a quatre". Si leur forme, leur capacité et leur puissance étaient exactement les mêmes, pourquoi est-ce que l'un devient le roi et contrôle la bataille, tandis que l'autre devient le cheval et porte le roi ? ! Il n'y a qu'une seule réponse. Instinct! Pour que des êtres identiques deviennent plus forts et acquièrent le pouvoir dont ils ont besoin pour devenir roi, ils doivent rechercher plus de batailles et de pouvoir ! Ils ont soif de bataille et vivent sans pitié pour écraser, déchiqueter et trancher leurs ennemis ! Au plus profond de notre corps se trouve l'instinct aiguisé de tuer et de massacrer nos ennemis ! Mais tu n'as pas ça ! Vous n'avez pas ces instincts purs et basiques ! Vous vous battez avec votre cerveau. Vous essayez de vaincre vos ennemis avec logique ! Et ça ne marche pas ! Vous essayez de les couper avec une épée gainée ! C'est pourquoi tu es plus faible que moi, Ichigo !

Tout à commencer bien avant la naissance de ton Roi, il y a vingt ans de cela. Tu étais une création artificielle. Un Hollow Blanc, lâché dans la nature par Aizen, pour être testé. Tu étais unique dans ton genre, car tu étais le premier Hollow créé à partir de l’âme d’un Shinigami, mais tu n’as jamais su en quoi. Tu n’as jamais cherché, car tu n’es pas conscient de cela. À ta “naissance”, tu étais un Hollow. Aussi unique soit-il, tu étais guidé par le même instinct destructeur que ceux-ci. Tu n’avais même pas de conscience, tu étais juste une boule de haine dévorante. Un monstre à abattre des plus classiques, sans ambition, sans émotion, sans but, ravageant Naruki. Une distraction pour ton créateur, qui n’a fait qu’extrapoler les recherches d’un autre. “White”. C’était le nom du projet. C’était ton nom sans réellement l’être. Une étiquette serait plus juste.

Un capitaine de division est intervenu pour te stopper. Un certain Isshin Shiba, devenant par la suite, Isshin Kurosaki. Affaibli par une frappe fourbe de tes concepteurs, il t’a néanmoins tenu tête et tu as repoussé, mais ce n’est pas lui qui a fait le plus gros du travail. Loin de là. C’est une Quincy, jeune et intrépide, qui t’a planté moult flèche pour te disperser. Une certaine Masaki Kurosaki ; Celle qui deviendra ta première hôtesse. Ta première âme. À l’instant où tu t’es dispersé, tu l’as blessé. Tu l’as mordu au plus profond de sa chaire et tu t’es installé, parasitant ces pouvoirs de Quincy. À chaque fois qu’elle en appelait à ceux-ci, tu te manifestais. Tu t’en nourrissais pour retrouver ta force et conserver ton essence. Tu as développé, grâce à elle, ta conscience. Ton être. Ton “Toi”.
Tu restais néanmoins affaibli et disparu des radars. Tu as frustré ton créateur, indigné de voir cet imprévu surgir. Tu étais une déception, au point que tu as le seul “White” à être créé, puisqu’il n’a pas renouvelé l’expérience. Du moins, pas dans ce sens. Pas dans l’immédiat. Tu ne pouvais plus quitter Masaki et tu as même manqué de la tuer. Sans doute parce que ses pouvoirs ne te suffisaient plus. Tu voulais un corps. Tu voulais vivre et être.

Puis le marmot est né.
Une petite famille se créait sous tes yeux, à travers ceux de la mère. Tu sentais venir le changement. Vorace, tu regardais ce petit être roux sourire devant sa mère. Devant toi. Tu ignores comment, mais avec le temps, tu avais eu la sensation que la bonté de Masaki, ce pouvoir que tu dévorais, était en train de te changer. Tu sentais la volonté de le protéger, ce petit garçon, t’envahir. Protéger. Un bien étrange mot. Un nouveau dans ton vocabulaire. Tu as abandonné l’idée de prendre possession d’un corps condamné. Tu avais dévoré tous ses dons. Ce n’était plus qu’une femme banale, ton vaisseau.

Un soir, un Hollow s’est montré. Un nouveau et cette fois-ci, Masaki a péri sous les yeux d’Ichigo. Tu as fermé les yeux en même temps qu’elle et tu as vu la pluie dans son monde intérieur pour la première fois. Il pleuvait averse dans son âme. Une pluie sous laquelle tu étais seul. C’est d’un désagréable. D’un amer. Tu étais furieux, mais inconsciemment peut-être, elle t’avait transmis à son fils. Ta volonté n’était donc pas morte avec celle de la mère. Elle persistait même à travers toi, son Hollow. Son parasite.

Tu n'as pas été d’une grande sympathie avec ce dernier. En faites, tu le détestais. Il n’avait même pas conscience de toi, au tout début. Pour lui, ces dons de Shinigami n’étaient qu’un présent d’une perdue. Quel imbécile. Elle n’a fait que réveiller en lui confiant ses pouvoirs. Il avait les siens. Il avait toi. Il avait son héritage. Ce que tu l’as secoué intérieurement. Pauvre diable dément, contraint de jouer les nounous. Tu n’as pas été le plus délicat. Tu l’as malmené. Tu l’as même possédé pleinement ; À trois-quatre reprises, parce que cet idiot a manqué de mourir. S’il meurt, tu meurs aussi. Le miracle qui s’est produit avec Masaki n’allait pas recommencer. Faible. Il était effroyablement faible. Comment un faible comme lui pouvait prétendre contrôler un être unique, comme toi ? Ton roi fait bien pâle figure face à toi, alors que tu es le plus pâle des deux. C’est drôle. C’est hilarant, mais il s’est finalement réveillé. Il a cessé de te rejeter, il a compris. Il a fallu que tu l’empales plusieurs fois dans son monde intérieur pour qu’il saisisse. Tu es son épée. Son partenaire. Tu l’as toujours protégé, comme sa mère l’aurait fait.
Il a accepté le monstre. Il t’a accepté et soudain, tu t’es senti moins colérique. Moins furieux. Tu as senti un soulagement, lorsqu’il t’a reconnu. Tu t’es calmé. Ça te convenait très bien, mais il a fallu qu’on te sépare de lui. Enfin pas vraiment.

Tu étais dans son monde, lorsqu’une brèche s’est créée. Tu étais intrigué face à cela, c’est bien la première fois que tu voyais ce genre de phénomène. Est-ce que c’est de la violation de propriété intellectuelle, de s’inviter ainsi dans le palais mental de quelqu’un ? Sans aucun doute. Tu as cligné des yeux et tu t’es retrouvé dans une salle, avec un grand écran, une table, une chaise et une décoration vintage de très mauvais goût. Très colorés aussi. Tu étais là-dedans une tâche d’un blanc immaculé, monochrome et immanquable. Tu as senti tes plus instincts ressurgir, furieux. Furieux de voir ce que tu voyais sur cet écran. Tu voyais le début, ce que tu viens de te souvenir, mais aussi la fin. Furieux, car ils semblaient se moquer de toi. Seulement ; Ils avaient besoin de toi. Pourquoi ? Tu l’ignorais à ce moment-là, mais ça t’a flatté. Assez pour que tu écoutes.

À sa mort, tu disparaîtras. C’est écrit. Ils t’ont sauvé, maintenant à toi de sauver.
Toi qui n’étais jamais sorti de l’esprit de quelqu’un, que cela soit Masaki ou Ichigo, c’était une aubaine. Tout l’inverse se présentait à toi, tu pouvais aller où tu voulais, voir ce que tu voulais et en échange, tu devais corriger les anomalies. Les chasser. Cela a titillé ton esprit de prédation, mais on t’a mis en garde : ne pas tuer. Ramener. Heureusement pour eux, on ne te laisse jamais partir seul. Il y a toujours quelqu’un pour te maîtriser.

    Raconte l'histoire de ton personnage depuis qu'il n'y a plus que la Terre 1218.

PRINCIPIO DE LUCHA ■ Combien de fois dois-je forcer ma voix avant qu'elle ne vous parvienne ? Et pourtant, nulle part au monde il ne peut y avoir quelqu'un qui me connaisse mieux que toi.

Le son d’une guitare résonne derrière toi. Un air de tango, des mélodies rythmées, jetées par un son sec. Un air qui donne envie de danser, alors tu danses avec ton sabre blanc. Ta vie ici, donc. Eh bien ; Mouvementée ? Tu réfléchies, tu prends ton temps. Non pas si mouvementée que cela. Tu t’ennuies de ton roi. Tu t’ennuies alors que pourtant, on t’envoie souvent sur le terrain, à travers le temps et l’espace, pour arrêter les irresponsables. Ce n’est pas assez, tu en demandes plus. Toujours plus.
Tu fais souvent des haltes à Baïame où tu es le garçon bien étrange. Le fantôme, tout de blanc vêtu, qui cherche la passion du combat. L’affrontement, comme une machine de guerre. C’est ce qui fait battre ce cœur que l’on t’a mis dans ta poitrine et qui t’étouffe telles des chaines. Le frisson de l’adrénaline.

Tu as ce masque sur ton visage à chaque fois que tu apparais. L’anti-héros, avec le visage d’un démon noir, possédant de longues cornes partant vers l’avant, mais dont l’éclats de tes yeux traversent les deux petites fentes à leurs niveaux. Tu es le trouble, le chao, car justicier comme criminel, tu les pourchasses. Dès qu’ils vont trop loin, qu’ils mettent en péril le temps et l’espace, peu importe leurs camps, tu leur tombes et tu leur ris au nez avec ce rire psychotique qui te définie si bien. Psychotique. Tu ne fais pas la différence entre le réel et l’imaginaire. Tu tranches dans le tas et tu te contentes d’accueillir les conséquences. N’est-ce pas pour cela que l’on t’a mis une laisse ? Pour jouer les médecins de peste ? Tu n’es pas un héros. Tu n’as pas l’étoffe de celui-ci. Tu as été créé pour épauler ledit héros. Pour le pousser à donner le meilleur de lui-même. C’est insultant et pourtant, tu éprouves une certaine ; Satisfaction ? Apaisement ? Flatterie ? Tu ne sais pas. En tout cas, c’est un sentiment positif qui t’irrite au plus au point.

Ça te convient pour le moment, cette étiquette de chien de casse enragé.
Tu n’as jamais été bon diplomate, ni d’une douceur incroyable. Tu préfères la violence, la brutalité des actes ; Marquer les esprits au fer rouge. Tu t’en fiches de toute façon, que l’on te traite de monstres. C’est la réalité. Tu es un monstre.
   
   

   Prénom ou pseudo Shirosaki (Maintenant vous savez de qui ça vient)
   Age Toujours 31 ans !
   Comment avec vous découvert le forum ? De la même manière qu'avec Miguel.  
   Quelque chose à dire ? Ce n'est pas fini