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The only hopeless case. feat Aaron Schwartz

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Ayal Koios

Ayal Koios

Terre 1999

Crédits : Lyric (merci <3)
Univers : Centaurworld x The Owl House
Feat : Santiago Cabrera
The only hopeless case. feat Aaron Schwartz Centaurworld-nowhere-king
Age : Très vieux, trop vieux, il a arrêté compter, on lui donne une quarantaine qui vient d'être entamée.
Occupation : Inventeur.
Illustration : Marchez,
Cachez tous les petits.
Partez,
Vers le noir désert de l'oubli.
Rires et chants vont déchanter.
Rêves absents,
Des nuits du roi Néant.
Par son règne viendra
L'obscurité.

Silence
Dans l'entre-deux de votre errance.
Une étrange peur vous emporte.
La haine atteindra les cieux.

Apportant
la joie au roi néant,
Dès que la lumière,
Quittera vos yeux.

Double compte : a voyagé dans le TARDIS au côté de Martha, a été un decepticon comme Knock Out, était dans le clan des abominations de Darius Deamonne, pense qu'Hans Westergaard est le roi légitime d'Arendelle, vénére la déesse Faith Ocean, cauchemarde à cause de Théodore Grambell, a couru dans les savanes de la Terre des lions avec Kovu, passe un mauvais moment à cause de Sans, a Gabriel Graves comme démon gardien, coincé dans un boucle temporelle avec Nathan Baird, s'est fait voler par Felicia Hardy
Messages : 51
Points : 151
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Date d'inscription : 17/04/2024


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MessageSujet: The only hopeless case. feat Aaron Schwartz The only hopeless case. feat Aaron Schwartz EmptyMer 1 Mai 2024 - 9:49

The only hopeless case.
How could he know this new dawn's light would change his life forever ? Set sail to sea but pulled off course by the light of golden treasure. ••• Ayal est un croyant. Difficile de ne pas l’être lorsque fut une époque votre corps était à moitié divin. Il avait rencontré les divinités de son monde, les Titans. L’humain avait pu converser avec eux, tomber amoureux de l’un d’entre eux et puis, les avait tout exterminé. Un acte qui commencerait peut-être enfin à peser sur ce semblant de conscience. Pourquoi se rendrait-il donc dans ce temple protestant ? Sans ses souvenirs de maudits, il n’aurait sans doute jamais su ce qu’était ce bâtiment. Car oui, Monsieur et Madame Koios, en plus d’être complètement imaginaire était des protestants pratiquants ! Alors, si sa majestueuse tête restait rempli des reliques d’un passé n’étant jamais arrivé, autant que cela lui soit utile.

Le roi néant entra à l’intérieur du lieu saint. A peine la porte franchie qu’il se trouva nez à nez avec des murs richement décorés et d’une beauté sans pareille. Les centaures n’avaient jamais réalisé de telles merveilles d’architectures pour les Titans. Son peuple avait été rempli d’abrutis oisifs et inconsidérés. Son Titan aurait mérité d’une centaine de temple dans cet acabit ! Se perdant dans ses pensées, il passa presque devant le confessionnal sans s’arrêter. La porte était devant lui et l’inventeur se demandait bien quel était la marche à suivre. S’asseoir à l’intérieur et espérer que quelqu’un soit également présent pour l’écouter ? Autant tenter, après tout, il avait déjà fait le déplacement.

« Y’a quelqu’un ? »

Ayal venait de s’asseoir à l’intérieur du confessionnal. En l’instant, il n’entendait aucune réponse. Bon, en venant ainsi l’improviste, l’inventeur aurait bien dû s’en douter. Il attendit cinq minutes, les fesses posées sur le siège mollement confortable de cette cabine car l’ancien centaure se rendait bien compte qu’il n’avait rien de mieux à faire de sa journée. Tapotant ses genoux de ses doigts. Et puis, il entendit le rideau d’à côté se tirer et l’humain fut grandement soulagé. Peut-être le pasteur l’avait vu rentrer un peu plus tôt. En tout cas, il ne devait plus faire face à la vacuité de son existence en regardant le tissu terne en face de lui.

« Pardonnez-moi mon père parce que j’ai péché… C’est ça ma réplique ? »

Et oui, l’inventeur ne savait toujours pas quel était la marche à suivre. Il n’avait que les vagues souvenirs d’une vie inventée comme indication. Il devait commencer par présenter des excuses, bien qu’à l’heure actuel, l’humain ne savait même pas s’il regrettait véritablement ses actes.

« C’est ma première fois, je ne sais pas vraiment ce que je dois faire. »
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