─ Je ne vais pas le faire, Ichigo. Je ne sais pas à propos de Zangetsu, mais je refuse de porter un roi qui est plus faible que moi. Si tu es plus faible que moi , alors je vais te détruire, et prendre ta couronne pour moi-même.
Age : trop vieux pour être compté, trop flou pour être énuméré.
Occupation : agent du TVA (anciennement zanpakuto de shinigami, c'est compliqué)
Illustration :
虚(ホロウ)一護 Horō Ichigo
(一護の内面(ないめん)の虚(ホロウ) Ichigo no naimen No Horō[
一 白一護 Shiro Ichigo
"─ Qui suis-je? Je n'ai pas de nom !"
Tu as mis tellement de temps à me baptiser, mon roi. Tu es un crétin. Un imbécile. Un aveugle.
Que fais-tu, partenaire? Si tu te tiens là... Je vais te tuer!
Drôle d’occupation que voilà. Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu t’ennuies, alors tu t’es dit que ce serait une bonne idée de t’incruster comme de la mauvaise herbe dans ce collège pourri où tous les gosses semblent débiles à souhait. S’il faut le préciser ; tu n’aimes pas les enfants. Petits, moyens, grands, peu importe la taille et la couleur, tu n’as pas une exception à la règle. C’est une façon pour toi d’appliquer le principe de l’égalité. Tu les détestes tous sans exception, c’est plutôt correct, non ? Non. Tant pis. Toi tu es persuadé que oui et seul ton avis compte. Au dernier lieu scolaire dans lequel tu t’étais invité, tu t’étais fait passer pour un élève. C’était bien loin, à Novacrest City et ça a manqué de finir en baston en pleine sale de cours. Donc ici, à Baïame, tu as changé de côté. Te faire passer pour un professeur, ce n’était pas une mince à faire, étant donné que tous tes “collègues” n’étaient pas majoritairement crédules. D’autant que ton mensonge consistait sur le fait d’être un remplaçant et ils ne cessaient de dire que tu paraissais bien jeune pour être l’un des leurs. Ce qui n’a pas manqué de te faire rire, soit dit en passant. Toi ? Jeune ? C’est un compliment. Tu tabassais déjà des monstres et des humains alors même qu’ils n’étaient qu’un ovule dans le ventre de leur mère.
À propos de tabasser d’ailleurs, il se pourrait que tu aies soulé l’un des leurs pour prendre sa place. Au sens propre. Ta dernière virée en boite de nuit t’a fait croiser le chemin d’un enseignant du collège, car oui ; Navré de briser le mythe, mais ils restent des humains et savent s’amuser en dehors de leurs heures de travail. Va savoir pourquoi, il ne t’a pas lâché de la soirée. Tu ne l’as pas lâché non plus, car tu étais un brin éméché et il était amusant. Début de soirée, tu l’avais vu réservé dans son costume cintré. Fin de soirée, c’était un tout autre homme et tu n’es pas étranger à son état débraillé. Tout est finalement parti d’une simple blague que tu as pris beaucoup trop au sérieux. Tu n’as même pas daigné à te renseigner sur ce qu’il enseignait. Tu as juste accepté le défi de te faire passer pour lui l’espace d’une journée.
Il est probablement chez lui en ce moment même. À décuver de la veille, probablement.
On ne va pas se mentir, plus la journée passait, plus tu étais de plus en plus suspect si bien que loin de tes arrières, le directeur du collège était déjà en train de prendre l’affaire en main pour remonter l’affaire jusqu’aux comités des enseignants et donc, ça signifie une fin de jeu proche pour toi. Un jeu. Tout est un jeu, même jusqu’à tes heures en classe. Tu as fini par apprendre ce que tu étais censé leur apprendre à eux : l’histoire. Bien entendu, tu as ris jaune quand tu l’as su, parce que tu entends déjà tes collègues du TVA rire de l’ironie de la situation, toi qui avais nonchalamment clamé ton je-m’en-foutisme sur l’histoire, alors que vous étiez en plein voyage professionnel. Cela dit, cette colonie de vacances, tu l’as tiré à ton avantage et tu t’es mis à répéter grosso-merdo ce que les autres t’ont dit. Ce qui rendait ton discours aussi prenant, que bizarre et illogique.
Bien entendu ! Tu ne t’es pas arrêté à ce qu’ils ont dans leur manuel. Tu as tout mélangé. Ou plutôt, tu as mélangé plusieurs points de vue, ce qui a donné lieu à ce moment de grande confusion dans la salle, où commence réellement cet épisode : « C’est ainsi qu’on se retrouve avec des pyramides pseudo-vaisseau spatiaux tombes de Jésus en coloc avec le pharaon qu’a tout de même ordonné la construction de son cercueil, en toute modestie, un mec sympa qui n’a pas eu de chance visiblement, même si j’sais pas qui c’est et que je m’en fous. Y’a probablement un monde où y’a eu les trois en même temps. Sacrée orgie en perspective, dans ces tas de cailloux n’empêche. » dis-tu, alors que tu es assis sur le bureau plutôt que sur la chaise prévue à cet effet et que tu ne les regardes plus que ça. Tu n’as rien écris, estimant que s’ils voulaient vraiment prendre des notes, qu’ils pouvaient se débrouiller et de toute façon, tu n’as même pas de dates à leur donner. « Plus le temps passe, plus j’en vois et plus j’me dis que les rois passés avaient un sacré égo ou quelque chose à compenser. Ce cas de tombe gigantesque, on le retrouve aussi en Chine. Mais pas de chance, elle ne peut pas être ouverte ! Ou alors, on décime l’entièreté de l’écologie locale en déversant les litres de mercure liquide qu’il y a à l’intérieur. Ça sera audacieux. Je féliciterais, peut-être, celui qui oserait. » Aussi parce que tu as envie de l’ouvrir, cette tombe, afin de voir si elle est vraiment aussi grandiose qu’on ne la décrit. Ou alors tu peux tricher et demandait au TVA de t’envoyer dans un monde où elle a été ouverte. Trop facile. Pas intéressant.
Sujet: Re: shiro senseï • ft. olive Mar 17 Sep 2024 - 0:37
Shiro senseï
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J’avais eu un entretien avec Daphné suite à la baisse de mes notes, j’avais réussi à les remonter, mais c’est loin d’être suffisant malheureusement. Je ne savais pas trop que faire de plus actuellement. Je suis toujours aussi attentive et assidue durant les cours, c’était déjà une bonne chose. Il y avait toutefois quelque chose d’étrange dans le discours du professeur. On aurait dit qu’il ne savait pas de quoi il parlait et ça m’agaçait un peu.
- Professeur, êtes-vous sûr de connaître votre matière ? Excusez-moi, mais vous racontez des choses qui ne sont pas dans les livres.
J’avais assez bien étudié l'histoire dans mon univers et elle ne changeait pas tellement à Baiame. Je ne me souvenais pas non plus d’avoir déjà vu ce professeur au lycée jusqu’à présent. Je devais bien avouer que j’étais intriguée tout au long du cours. Je me levai de ma chaise une fois la fin des cours et me dirigeai vers le bureau.
- Qui êtes-vous exactement ? J’ai le sentiment que vous cachez quelque chose.
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