Celui Qui Demeure
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i've been dying for a night like this. (ft. william)

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Elizabeth Swann

Elizabeth Swann

Terre 2989

Crédits : martyr (avatar) et oldmoney. (signature)
Univers : pirates of the caribbean.
Feat : keira knightley.
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Occupation : professeur de littérature.
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( THE PIRATE KING )

tonight it's time you realise, i'm going in hard. i'm going in one, two, three. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby, i can't loose. my drum is beating harder and when i break through i know the world will wonder why baby i was born a rebel child. dancing with the devil, i want to. born to be a rebel, i won't lose. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby i was born a rebel child.

Messages : 46
Points : 623
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i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 Ddcc71bba7139c518afe9e2036bcc4b2 i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 Tumblr_ob2eioonj21rhqhm5o7_250 i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 20a627d51f570eca69f834bbf59c1af9
these violent delights
have violent ends.

and in their triumph
die life fire and powder.
which,
as they kiss,
c o n s u m e.

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THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.

i almost dropped my head and lost my faith. then i saw you from a distance, you were worlds away. you had me from the vision, i never looked away again. i still fall for you like suns do for skies. cerulean pouring in from your eyes. just a hollow moon that you colorized. so powerful, i feel so small but so alive. like watching the earthrise.



Date d'inscription : 13/01/2024
Nom & pronoms : babs, elle.


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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 EmptyDim 7 Juil 2024 - 21:07


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


La remarque de ton mari te fait doucement hausser les soucils tandis que tu réalises peu à peu que tu avais échappée à une vie terriblement ennuyante qui ne t'aurais jamais plu et dans lequel l'ennui aurait été plus que présent. – quelle vie absolument folle nous manquons. Tu déclares de manière à exagérer cette réalité qui de toute évidence ne t'aurais jamais plus. – puis j'aurais fini par juste en avoir marre, donc je t'aurais probablement embarqué dans une autre aventure totalement folle. Tu dis en laissant un petit sourire apparaître sur tes lèvres tandis que tu savais d'avance que tu te serais mise encore dans des pétrins pas possible – possiblement volontairement d'ailleurs. – mais pas certaine que si on partait encore une fois en mer on serait revenu cette fois. Peut-être car la disparition de beckett t'avais permis d'avoir une vie à peu prêt normale, mais vu la manière dont on clâmait vos noms et cette affiliation évidente à la piraterie que la couronne tentait tant bien que mal de détruire vous auriez fini dans un beau pétrin. Tu peux pas t'empêcher d'acquiescer d'un signe de tête face à cette histoire de potin, te souvenant évidemment bien de tout ce que tu avais pu entendre dans cette hautr société anglaise. – oh miss swann, il serait temps de trouver un mari. Oh, miss swann, il se murmure que le comodore va vous demander votre main. Comment ça vous n'êtes pas contente ? Il est fort charmant, puis de toute évidence vous ne trouverez pas mieux à moins que vous n'acceptiez les vieux pervers qui se tournent vers des jeunes filles innocentes. Puis vous savez, en n'étant toujours pas marié vous faites une cible facile pour les pirates, vous devriez prendre ça en considération. T'avais pris une voix un peut plus criarde pour montrer le ridicule de cette situation qui, de toute évidence … était bel et bien ridicule. Se faire enlevé par des pirates étaient définitivement une meilleure option que de finir à port royal éternellement, d'ailleurs, dans l'fond, ça t'avait pas si mal réussi. Puis tu reprends ton sérieux, te pinçant simplement les lèvres. – okay, je devrais pas dire ça de james. Il a fait les mauvais choix, mais c'était un homme bien. Et tu t'en étais toujours un peu voulu de lui avoir fait probablement indirectement plus de mal qu'autre chose. Mais l'amour ne se contrôlait pas, et même si lui semblait être condamné à te voir aimer un autre éternellement, il avait toujours respecté tes propres choix et n'avait jamais hésité à te défendre quand ça devenait nécessaire. T'étais persuadé que si il n'avait pas été aussi obsédé par sa propre réputation il aurait pu trouver une vraie liberté qui lui aurait mieux sied au sein de la piraterie, mais évidemment, retrouver les faveurs du Roi avait toujours été plus important pour lui. Le problème de James c'est que c'était un suiveur : il n'était pas fait pour donner des ordres et c'est sa souplesse et ses sentiments à ton égards qui lui avaient causé du tord en premier lieux. Là où Beckett ne flanchait pour rien au monde.

Il marquait cependant un point sur la manière dont les gens avaient de juger et de parler. Il suffisait de voir la terreur dans les yeux d'Isla à l'idée qu'on vienne entâcher la réputation de ton ancienne toi juste pour oser aller voir ailleurs que dans son pseudo mariage. Tu acquiesces d'un simple signe de tête car il avait raison dans l'fond. Les gens jugeaient sans rien savoir, ne cherchant aucune explications et allant directement aux conclusions. – enfin, c'est pas mon problème de toute manière, on a bien plus important à penser ! Et malgré la petite parenthèse sur ton père, le ton change bien vite quand très vite vous repartez dans une provocation subtil tandis que vous saviez très bien où et comment finirait la nuit. Un immense sourire reste ancré au coin de tes lèvres tandis que te viens te mondre la lèvre inférieur en observant le brun. – j'espère que tu as conscience que la seule chose qui me permet de rester à ma place là tout de suite, c'est parce que je suis affamé. Tu dis en clignant plusieurs fois des yeux, étant presque impatiente de pouvoir enfin lui retirer cette couche de vêtement et redécouvrir son corps sous toute ses splendeurs. Mais tu t'tiens en place, parce que moins tu penseras à l'impatience, plus le temps passerait rapidement.

Alors qu'il évoque la crique, tu tends tes bras, comme pour une preuve qu'il venait de démontrer tes dires. – on peut prendre un jour et y aller justement ! Tu déclares d'une petite voix joviale. – j'adorerais aller lézarder au soleil loin de toute cette population et juste avec toi. tu dis en t'imaginant déjà en train de laisser le soleil taper sur ta peau et probablement offrir à ta chevelure une couleur bien plus dorée.
Et si t'étais la première à ne pas t'inquiéter concernant ce phénomène, quelques bribes de conversations entendues aux détours de quelques couloirs refont surface. T'avais jamais été dans la situation, alors tu n'avais jamais eu à proprement parlé les mises en garde du processus d'accouchement. Mais t'avais entendu des choses. Des dires assez terrifiant. Douleur insupportable, qui venait à briser les cordes vocales de plus d'une. Et du sang. Beaucoup de sang. Des complications terribles et plus d'un gamin qui finissait orphelin. Très vite, ton sourire s'efface et ton estomac se retourne tandis que tu imaginais déjà la situation qui se présenterait. C'était quelque chose de bien ,plus sécurisé et entouré mais la peur de complications faisaient soudainement surface. Et tu peux pas t'empêcher d'imaginer ce qu'il aurait été si ça s'était passé à votre époque. T'aurais été seule et terrifiée. La présence des hommes étaient généralement refusées mais avec lui littéralement dans un monde plus ou moins parallèle ça aurait été pire. Tu fronces les sourcils et redresse tes prunelles vers lui – j'vais avoir besoin de toi de toute manière. Tu avoues simplement, preuve que tu n'étais pas prête à affronter tout ça seule.

Dans tout les cas, t'adore l'idée qu'il forge vos alliances lui même. – Je suis persuadé que tu trouveras rapidement un moyen de le faire. tu dis confiante à ce niveau. Tu le connaissais assez pour savoir qu'il regorgeait de plus d'une ressource. Tes doigts continuent de s'entrelacer avec les siens tandis que tes yeux se perdent encore et toujours sur son visage que tu ne peux que continuer d'admirer. Tu ne le répèteras jamais assez mais William Turner semble être l'incarnation même d'une divinité tellement tu le trouves extraordinaire à regarder. Un sourire naît de nouveau au coin de tes lèvres et alors que tu t'apprêtes à te redresser pour lui voler un baiser, la serveuse apporte vos verres et de quoi grignoter, t'obligeant à rester assise. Tu esquisses un petit sourire un peu narquois avant d'attraper ton cocktail sans alcool et de lever ton verre. – à nous ? Tu demandes. – et à notre avenir qui semble plus radieux que jamais ?

(c) mars.
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William Turner

William Turner

Terre 2989

Crédits : panda
Univers : Pirates des Caraïbes
Feat : Orlando Bloom
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Age : 32 ans
Occupation : Barman et il amène les touristes voir les mammifères marins sur son voilier
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As he read, I fell in love the way you fall asleep: slowly, and then all at once


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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 EmptyMer 10 Juil 2024 - 20:07

 i've been dying for a night like this.



Un déjeuner en terrasse, ça semblait si simple et pourtant, pour William et Elizabeth ça signifiait beaucoup plus. Autour d’eux se trouvaient une multitude de gens, tous avec leur histoire propre. Certains étaient des couples, des familles ou des amis, certains étaient même seul et profiter d’eux pour seule compagnie. Le soleil amorçait doucement mais sûrement sa descente vers l’horizon, le ciel bleu laisserait bientôt sa place aux étoiles. William était un marin, il les appréciait tout autant qu’un temps calme et ensoleillé, après tout c’était grâce à elles qu’il se dirigeait à l’époque, quand les radars et les grandes routes maritimes n’existaient pas encore. Aujourd’hui, tout était plus facile, mais William regardait toujours vers le ciel lorsque les nuits le lui permettaient, sûrement par habitude. En plus du temps ensoleillé, la chaleur était aussi au rendez-vous, elle n’était pas excessive, juste ce qu’il fallait pour pouvoir manger en terrasse sans sortir une veste et sans transpirer à grosses gouttes. Le genre de temps qu’on appréciait toujours en été. William savait la chance qu’il avait de se trouver là, en tête à tête avec sa femme et il était bien décidé de profiter de chaque seconde de leurs retrouvailles. Quand il pensait par quoi ils étaient passé, tous ce qu’ils avaient combattu, mais aussi perdu, William savait l’importance de profiter des moments importants et aujourd’hui en faisait partie. Il songea pendant quelques instincts aux gens qui les entouraient. Est-ce que certains étaient comme eux… avec une ancienne vie tellement différente de celle qu’ils menaient aujourd’hui. Venaient-ils aussi d’un monde qui n’avait rien à avoir avec cette île. Il n’en savait rien, mais il avait envie de creuser pour en apprendre plus. Que ce soit lui ou Elizabeth, ils s’étaient toujours montrés curieux, pas vraiment en accord avec leur époque. Contrairement à sa femme, William possédait une très bonne capacité d’adaptation, il l’avait encore aujourd’hui et savait qu’il rebondirait facilement. Il trouverait toujours quelque chose à faire et finalement la vie qu’il menait actuellement lui plaisait assez. Il savait que pour Lizzie, c’était différent, elle n’avait jamais été aussi libre que lui, car même si William ne possédait aucun rang, si ce n’est celui de l’orphelin de service, il possédait un avantage considérable dans la société, il était un homme et ça c’était déjà une victoire en soit. Ici, dans ce monde, Elizabeth possédait les mêmes droits que les hommes et il la connaissait assez pour savoir que cela importait énormément pour elle. Il la comprenait, parce qu’elle pouvait enfin être la femme qu’elle voulait sans que cela ne choque. « Une vie avec toi n’aurait jamais manqué de folie. » lui glisse t’il. Il aurait été heureux ici, ou la-bas, tant qu’elle aurait été avec lui, c’était ça qui lui importait le plus, mais il ne pouvait pas nier que ce monde allait leur offrir bien plus de possibilités que leur ancien. Surtout qu’ici, il ne vivait pas sur un navire maudit, interdit de terre pendant 10 longues années… « Et je t’aurais suivi sans l’ombre d’une hésitation. » Il le savait, et savait aussi qu’il aurait apprécié sortir de leur train train, de ses habitudes qui vous amène parfois sur la mauvaise pente. « Mais sans Jack. » rajouta-t’il. Après tout depuis le début, aucune de leurs aventures ne s’étaient déroulées sans lui et elles s’étaient toujours mal passées. C’était lui le facteur commun, il avait toujours été comme un caillou dans leurs chaussures. William l’appréciait, sinon il ne lui aurait pas sauver la vie, mais il ne pouvait s’empêcher de se dire que sans sa rencontrer avec Jack, il n’aurait jamais fini capitaine du hollandais volant. « Je ne sais, notre époque n’était pas vraiment propice au voyage en mer, surtout sans danger. » Ils auraient pu leur arriver tellement chose comme la piraterie ou même l’armée anglaise… Ce n’était pas la meilleure époque pour la navigation, pas comme ici, ou l’océan appartenait à tout le monde et on pouvait se permettre de partir sans craindre de ne jamais revenir. « Je les trouvais amusantes parfois, horripilantes mais amusante. Enfin je crois que c’était peut-être plutôt ta tête déconfite qui m’amusait que leurs ragots. » dit-il en parlant des longues discussions que Lizzie pouvait avoir avec les autres femmes de son rang… « On a tous fait des mauvais choix. » C’était un fait, et ils en avaient payé le prix, comme le commodore.

Rapidement, la tension monte entre eux, ce n’est pas très étonnant, car depuis le début ils se dévorent du regard. Du temps à rattraper, ils en ont un paquet. Le moment qu’ils ont partagé sur la plage est gravé dans l’esprit du marin. Il sent encore la pression des lèvres d’Elizabeth sur son corps, de ses caresses, de cet enivrement amoureux qui les a consumés et évidemment, il a envie de prendre là ou ils se sont arrêtés, sans devoir regarder le ciel et le temps qui s’écoule. Pouvoir l’avoir contre lui, la sentir contre sa peau et profiter du matin… Voilà ce qu’il a envie de vivre. « Tu m’enlèves les mots de la bouche. » William est un gentilhomme, il sait se tenir, mais il a bien envie de partir du restaurant pour se trouver un petit endroit tranquille ou ils pourraient trouver un tout nouveau terrain de jeu. Cependant, il n’a pas envie que Lizzie saute encore un repas, surtout pas dans son état. Sans oublier que lui aussi meurt de faim et que les effluves de nourritures qui lui arrivent dans le nez, ne lui donne pas du tout envie de quitter la table. « Je peux toujours te dévorer après, je suis assez friand de dessert… » Il pouvait même en manger plusieurs dans la soirée, ça ne lui posait aucun problème.

Ils allaient pouvoir profiter maintenant qu’ils étaient retrouvés, comme reprendre là ou ils s’étaient arrêté et reprendre le Maverick pour que William fasse enfin découvrir à sa femme, l’endroit qu’il avait prévu de lui montrer quand elle était Isla et lui son amant. « Si le temps le permet, on peut y rester plusieurs jours. » Le Maverick le leur permettait, et avec tout le confort en plus. Il fallait juste trouver un moment ou la météo se montrait de leurs côtés. « Tu vas adorer, y a une petite île à côté, avec une magnifique cascade. » Elle était trop petite pour être habité, mais on pouvait s’y promener. Son éloignement la rendait peu connu des touristes, ce qui faisait que la plupart du temps, on ne croisait jamais personne. « Je t’apprendrais à plonger, il y a pas mal de choses à voir sous l’eau, même si j’avoue que j’apprécierais de te voir lézarder au soleil… » Il n’avait jamais eu l’occasion de la voir en bikini, enfin il avait vu Isla, pas Elizabeth, parce qu’à l’époque c’était impensable, même les maillots de bain n’existaient pas. Une femme n’était pas censée se baigner, encore moins partir en exploration sous-marine. Ils avaient encore le temps de profiter, mais William savait que cela serait plus compliqué dans quelques mois quand la grossesse d’Elizabeth serait avancée, ou peut-être ferait-elle partie des femmes dont la grossesse se passait sans aucun souci. Ce n’était pas une maladie après tout. « J’ai envie d’être là à chaque moment Lizzie, je ne veux rien rater. » Il avait une nouvelle chance de pouvoir pleinement profiter de cette grossesse et William ne voulait rien rater… Il allait en profiter, parce qu’il savait que c’était une chance. « Si j’étais resté le capitaine du hollandais… je ne l’aurais pas rencontré avant 10 ans… » Cela lui semble tellement compliqué, comment créer un lien avec un enfant qu’on ne voit qu’une fois tous les dix ans, c’était impossible.

« Hmmm, ça ne devrait pas être compliqué, peut-être que je pourrais reprendre une forge… » Ce n’était plus le même métier, les gens n’attendaient plus la même chose. « Peut-être me lancer dans la coutellerie. » Il allait devoir se renseigner, mais vu qu’ils s’avaient faire des épées de toute faille et des couteaux de lancer, il était presque sur de réussir à passer sur du couteau de table. « Ça sera toujours mieux que Barman. » Il n’avait en effet pas envie d’y retourner pour servir des verres. Il n’avait rien contre ce métier, ça pouvait plaire à d’autres, mais maintenant qu’il était réveillé, il aspirait à autre chose. « Et si je forge des couteaux, je pourrais aussi m’occuper de nos alliances. » dit-il avec un léger sourire en coin. Il se souvenait très bien de celles qu’il avait créé, le refaire ne serait pas difficile. La serveuse leur amène leur verre et William leva son verre en direction de Lizzie. « A nous et à cette nouvelle vie qui nous offre tant de possibilités. » Il but quelques gorgées de bière et la savoura. « Elles sont tellement meilleures ici. » dit-il en reposant son verre, alors que son regard glissé de nouveau vers sa femme. « Tu penses continuer à être prof ? » Maintenant qu’elle était de nouvelle elle, elle pouvait choisir n’importe quel métier, ou du moins elle en avait la possibilité.

@Elizabeth Swann
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tonight it's time you realise, i'm going in hard. i'm going in one, two, three. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby, i can't loose. my drum is beating harder and when i break through i know the world will wonder why baby i was born a rebel child. dancing with the devil, i want to. born to be a rebel, i won't lose. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby i was born a rebel child.

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the moment you smiled at me.

i almost dropped my head and lost my faith. then i saw you from a distance, you were worlds away. you had me from the vision, i never looked away again. i still fall for you like suns do for skies. cerulean pouring in from your eyes. just a hollow moon that you colorized. so powerful, i feel so small but so alive. like watching the earthrise.



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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 EmptySam 20 Juil 2024 - 21:39


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


tu bois une longue gorgée de ton mocktail avant de laisser un légers rire s'échapper d'entre tes lèvres. Tu acquiesces d'un simple signe de tête, approuvant de toute évidence cette réalité : jack n'apportait que des soucis. Vous aviez de toute évidence de l'affection envers le pirate, mais le suivre vous avez foutu dans des situations plus qu'improbable et complexe et vous vous étiez crée une foulée d'ennemi qui ensuite, voulait simplement vous voir pendu. En fait, Jack était comme un enfant : sans supervision, et même avec, il faisait n'importe quoi et vous vous retrouviez à devoir ramasser sa merde ou limiter ses dégâts. Un enfant un peu trop agité et définitivement avec quelques soucis d'hyperactivité, mais un enfant tout de même. T'étais presque certaine que jack, le singe, était plus facile à gérer que lui. et en soit, c'était pas entièrement faux. Tu hausses cependant les épaules, ayant bien conscience que toute vos aventures auraient pû vous coûter la vie, et probablement qu'elles auraient coutées la vie à plus faible que vous. – ironique, quand on sait qu'aujourd'hui, les pirates continuent de terroriser les marins de manière générale. disons que c'était pas le même type que vous aviez connu et vous même étiez. Peut-être tout aussi agressif mais avec des armes bien plus puissantes que des sabres. Pourtant, tu savais que si ils se pensaient être les plus agressifs qu'il soit, les fonds marins étaient sans doute bien plus effrayant qu'eux et toi même t'étais pas certaine de vouloir t'aventurer dans ces mêmes fonds marins. Un sourire naît au coin de tes lèvres tandis que tu te remémores ces thés habituels que tu devais subir quand tu étais simplement la fille du gouverneur, là pour faire jolie, décor ultime sur lequel on posait jovialement ses yeux en fantasmant de toute les manières possibles. Et toi, t'avais la chance d'être cultivée, mais vu les conversations de toute ces filles d'la bourgeoisie il t'en avait fallu peu pour comprendre que c'était pas le cas de toute. Qu'on s'le dise, vous étiez là pour faire jolie et toi, t'avais détesté ce statut à cause de ça. On s'intéressait à ce que tu montrais et non à ce que tu avais dans l'crane. T'étais bien contente d'être tombée sur Will rien que pour avoir quelqu'un qui s'intéressait sincérement à toi et à tes centres d'intérêt, quelqu'un qui cherchait à te comprendre, à te rendre sincèrement heureuse et non quelqu'un qui t'aurait traîné à des évènements quelconques pour que tu sois un fair valoir et que ces hommes se lancent dans une joute silencieuse du « ma femme est la plus belle. » et avec tout le respect que tu avais pour james, t'étais persuadé que lui même aurait eu des tendances légèrement misogyne, pas par plaisir : mais parce qu'il ne savait pas et qu'il était trop obsedé à l'idée de fit it pour questionner les conventions.

De toute évidence, vous preniez désormais la mauvaise habitude de vous chercher mutuellement et tu pouvais pas dire que t'appréciais pas ça. Bien au contraire. C'était pour toi, libérateur à un point inimaginable, et s'ajoutais à ça les nombreuses libertés qui aujourd'hui rendait cette existence bien plus agréable. Tes épaules dénudées là où t'avais grandis avec l'éternel tabou autour de simple cheville, porter le maquillage que tu voulais et surtout pouvoir t'afficher ouvertement avec ton mari, main dans la main sans avoir à avoir de distance socialement acceptable. Alors pouvoir mutuellement se chercher c'était peut-être d'autant plus unique et excitant pour vous deux qui saviez que deux mains qui se touchaient étaient d'ordinaire excessivement mal vu. Vous n'étiez pas non plus au point de vous exposer ouvertement dans des situations indécentes, mais le simple fait de pouvoir lui voler des baisers, et même attraper sa main rendait l'expérience presque un peu trop unique. – j'aime l'idée qu'on garde le meilleur pour la fin de toute manière. Tu dis avec ce petit air toujours aussi joueur dans ton ton, tandis que vous saviez très bien comment la soirée se finirait.

Mais vous pouviez aussi et surtout en profiter pour discuter de vos plans et projets divers et inutile de dire que t'étais excessivement heureuse de pouvoir vivre une telle expérience avec une sécurité que vous n'aviez pas à l'époque. Tu pouvais déjà te voir en train de lézarder au soleil, les pieds jovialement dans l'eau et laisser simplement le soleil carresser ta peau : t'étais excitée à l'idée d'avoir des virées bateaux avec le brun, dans des endroits uniques, apprécier un délicieux diner sous le soleil qui se coucherait et observer les étoiles pendant des heures, le tout dans un endroit bien plus modernes et agréable que ces éternels navires sur lesquels vous aviez navigués. – j'ai terriblement hâte de découvrir ça. Tu avoues simplement ce petit sourire foncièrement heureux au coin des lèvres. – le simple fait de partir un peu, loin des gens et de pouvoir simplement profiter d'un agréable week end avec toi dans cette fameuse crique. Ça va être extraordinaire. Et t'en avais entendu des choses sur la plongée, alors de toute évidence, tu ne pourrais qu'approuver de découvrir les merveilles sous-marines – dans la mesure du raisonnable, rencontrer un kraken t'avais plus ou moins vacciné contre l'envie de découvrir ce qui se cachait un peu trop profondemment. – il faut définitivement qu'on en profite pendant que le soleil est là ! Tu déclares, parce que hors de question que tu te retrouves encore et toujours coincés dans une tempêtes : déjà parce que la flemme et ensuite parce que ton état ne le permettait probablement pas. Tu préférais être vigilente, parce que tout ce qui se passait actuellement était bien trop extraordinaire pour prendre le risque de tout foutre en l'air avec une imprudence. Imprudence qui était inscrite dans vos tempéraments en vue de la manière dont votre avenir avait manqué de voler en éclat. – je me serais assuré qu'il sache absolument tout de toi. et je suis certaine qu'il ne t'en aurait pas voulu. Au contraire, il t'aurait sans doute aimé de tout son cœur malgré ton absence imposée.

T'adore l'entendre parler de divers projets et tu dois t'avouer relativement excité à l'idée qu'il puisse possiblement reprendre quelque chose qui lui plaisait sincèrement tout en lançant quelque chose d'unique. Encore quelque chose qui aujourd'hui était totalement unique et possible là où à port royal, soit l'héritage se faisait de père en fils, soit les plus riches réussissaient à lancer des nouveaux business. Tu t'empresses d'attraper ses mains, pleine d'extase. – tu devrais lancer ton propre business. Tu déclares pleine d'enthousiaste. – quitte ton boulot de barman et lance toi. ça va peut-être prendre quelques mois, mais tu as de toute évidence un savoir faire unique et tu excelles dans cet art alors je n'ai aucun doute quant au fait que tu réussiras à décoller sans encombres. Je suis certaine que beaucoup adoreraient acheter des choses artisanales, faites avec passion plutôt que le premier truc que tu trouves en magasin. Tu connaissais assez will pour savoir qu'il s'inquiéterait de l'aspect matériel et heureusement pour toi t'avais de quoi pouvoir vous sécuriser pendant plusieurs années. – et je refuse de te voir remettre en question tes rêves et tes objectifs pour des questions financières. Je gagne bien ma vie et j'ai largement de quoi assurer nos arrières pendant au moins plusieurs années. Je peux assurer nos factures et toi, tu peux te concentrer pour investir ton temps et ton énergie dans quelque chose qui te fait sincèrement plaisir. Puis si ça devient trop juste, je peux toujours revendre la maison dans laquelle j'habitais avant. Pour tout dire, je sais pas encore si je la revends ou si je la loue mais ça peut être une source de revenue supplémentaire. Tu observes le brun, grand sourire aux lèvres, regard pétillant tandis que tu peux très facilement imaginer votre futur ensemble, en ayant tout les deux des boulots passionnant et qui lui permettrait en plus de se rendre disponible quand il le désirerait. – ouais. Tu réponds finalement à sa question. – honnêtement, c'est assez comfortable. Horaires stables et fixes, bonne paie, vacances régulièrement. Et sincèrement, c'est excessivement passionnant. Et stimulant psychologiquement alors ouais, je pense que je me vois bien garder ce job pendant pas mal de temps ! Tu réponds finalement relativement motivée à l'idée de pouvoir continuer de faire aussi un job qui te passionne.

(c) mars.
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William Turner

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Age : 32 ans
Occupation : Barman et il amène les touristes voir les mammifères marins sur son voilier
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As he read, I fell in love the way you fall asleep: slowly, and then all at once


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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  - Page 2 EmptyMar 30 Juil 2024 - 18:07

 i've been dying for a night like this.



La piraterie… William y était lié, qu’il le veuille ou non. Après tout, il était le fils d’un pirate et avait dû travailler avec un autre pour réussir à libérer la femme qu’il aimait. Puis les évènements s’étaient précites et William avait été pris dans l’engrenage de la piraterie, mais l’homme était loin d’être un pirate. Il aimait l’océan, elle le portait et il se sentait bien sur un navire, il en avait même besoin, elle était inscrite dans ses veines et il savait qu’il n’aurait pas pu s’en éloigner ou en être privé très longtemps. Pour autant, il le savait, il n’aurait jamais pu embraser la vie de pirates, cela ne lui ressemblait pas, comme il n’aurait pas été heureux s’il avait fait parti de la marine royale. William n’aimait pas recevoir des ordres, il était attaché à sa liberté, tout autant que sa femme, même s’il avait de la chance contrairement à Elizabeth. Il était un homme, ce qui lui accordait plus de libertés et peut être aussi plus de responsabilités, vu qu’il serait devenu responsable de toute sa famille. Ici, les choses étaient différentes et même pour lui, c’était un soulagement. Ils allaient pouvoir prendre les décisions à deux, vivre leur vie sans se soucier de tout ce qui peut se raconter et sans craindre surtout de finir pendus. « C’est vrai, même si ce n’est plus vraiment la même piraterie et qu’ils sont moins nombreux. En tout cas, je n’ai aucune envie de les rencontrer, j’ai une ma dose de pirates pour un long moment. » La question de Jack se posait toujours, pour le moment il n’était pas réveillé, mais cela finirait par arriver un jour. William ne savait pas ce qu’il préférait, que l’homme reste ainsi ou qu’il redevienne lui-même. Ce qu’il savait en tout cas, c’est que sa femme savait désormais qu’elle n’était pas la femme de cet homme qu’il avait tant servi au bar quand il était Dylan. Aujourd’hui lui et Elizabeth se souvenaient de tout, mais la vie ici leur avait donne une nouvelle identité et même si William était bien décidé à reprendre la sienne, il ne pouvait pas s’empêcher de se demander si ses fausses identités allaient impliquer des choses dans leur vie.

William voyait Elizabeth heureuse, resplendissante même et c’était un soulagement car Isla elle, était un peu plus du genre, dépressive. Peut-être parce qu’on fond d’elle, elle savait qu’elle ne vivait pas sa vie, mais celle de quelqu’un d’autre. William, lui, ne se serait surement pas réveillé, si Lizzie n’avait pas utilisé son vrai prénom. Il n’était pas si mal dans la vie de Dylan, c’était une vie facile et surtout pas maudite, ce qui était un sacré avantage pour quelqu’un dont les derniers souvenirs étaient d’avoir laissé sa femme seule sur une plage et des hommes poissons en guise d’équipage. Tout cela était derrière eux désormais, mais les traumatismes ne disparaissent pas comme ça et William gardait en mémoire sa mort et ses jours passés en tant que capitaine du hollandais volant. Il était cependant bien décidé à passer au-dessus et à se confronter sur le futur qui s’annonçait radieux. Un sourire taquin se dessina sur ses lèvres tandis qu’il imaginait à quoi le reste de leur soirée pourrait s’annoncer. Ce qui était sûr c’est que le couple n’allait pas s’endormir tranquillement en rentrant chez eux. Enfin peut-être que si, mais après être passé à la plage. « J’ai hâte d’être à la fin alors. » La tension entre eux commençait tout doucement à augmenter et William s’en délectait. Il n’avait eu la chance de partager une nuit d’amour avec sa femme qu’une seule et unique fois et il était parti ce matin-là, en se disant qu’il lui faudrait attendre 10 longues années pour retrouver cette intimité. En fait, il avait fait l’amour à Isla bien plus de fois en tant que Dylan. Le truc c’est que même si c’était eux, ce n’était pas pareil, parce qu’il n’y avait pas derrière tout ce qui faisait d’eux ce qu’ils étaient.

Le brun était impatient de préparer leur prochaine petite expédition. Elle ne représentait rien de très exceptionnelle en soit, plusieurs jours de bateaux, des baignades dans la crique, pas mal de farniente. Ça leur ferait du bien après tout ce qu’ils avaient vécu. « Je vais préparer tout ça, ça ne devrait pas prendre trop de temps, surtout que les vacances arrivent tu vas avoir le temps. » C’était assez amusant de parler de vacances, un concept qui n’existait pas du tout dans leur monde. Sauf qu’ici, Lizzie y avait droit. Quant a lui, et bien il savait qu’il allait déposer sa lettre de démission pour avoir le temps de trouver autre chose à faire. Surtout que sa petite entreprise de navigation marchait bien, avec l’été, il allait pouvoir mettre de l’argent de côté pour voir venir. « Tu vas voir le quoi est superbe et si tu as de la chance, tu pourras peut-être même nager avec les dauphins, ils viennent parfois dans la crique. » C’était toujours agréable de croiser la faune marine. William adorait ça, surtout qu’il n’avait pas vraiment eu l’occasion d’y accorder du temps à l’époque ou il vivait à port Royal. Il essayait surtout d’éviter de se faire bouffer par le kraken ou par une autre bestiole du même gente. Le plus intéressant dans cette histoire, le plus émouvant même, c’est qu’ils ne seraient pas seuls dans ce voyage. Ils auraient bien sur Ice avec eux, qui actuellement dormait sous les pieds de son maitre, mais aussi leur futur enfant bien tranquille dans le ventre de sa mère. William avait encore du mal à réaliser qu’il allait devenir Papa et cela risquait de prendre du temps pour qu’il puisse y arriver, mais il était heureux, très heureux. Il l’était encore plus aujourd’hui, car il savait qu’il pourrait en profiter, être là pour tous les moments importants, ne rien rater. « Je sais, mais j’aurais quand même tout raté, sans parler que je serais là pour te soutenir. » Et ça aussi c’était important de pouvoir être là pour sa femme et pour participer à l’éducation de leur enfant.

« Ce n’est pas une mauvaise idée… » Reprendre une forge, l’idée lui plaisait. Il avait toujours aimé ça, même si son apprentissage n’avait pas été des plus facile, son maitre étant plus souvent alcoolisé que sobre. « C’est déjà prévu, je n’ai aucun intérêt d’y rester, déjà que ça ne plaisait pas plus que ça, mais maintenant ça me plait encore moins. » avoua t’il à demi-mot. Il esquissa un léger sourire en entendant Lizzie, ça lui ressemblait bien de vouloir l’aider. « Je ne veux pas que tu investisses ou que tu perdes de l’argent, mais si tu acceptes de ramener le plus d’argent pendant un temps, ça me va. » dit-il avec une voix amusée. Dans leur monde cela ne serait jamais arrivé, ou si ça avait été le cas, ça aurait été une véritable honte pour l’homme, mais William n’éprouvait aucun gène à ce que sa femme gagne plus que lui. Il aurait même pu devenir père au foyer et laisser Lizzie travaillait, mais ils n’en étaient pas encore là. « Par contre hors de questions que tu vendes la maison. Je veux que tu le fasses pour toi, pas pour moi. J’ai toujours été débrouillard, je devrais y arriver sans ça. » Il ne voulait pas trop profiter de la situation.

« On verra bien de toute façon, faut que je voie les démarches pour pouvoir le faire. » Et pour le moment, il les ignorait. Ce qui était certain, c’est que les règles ne devaient pas être les mêmes que celle de leur époque. « Pas de reconversion personnelle de ton côté donc. » dit-il en la dévorant de regard. « ça te correspond bien je trouve… » Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que les plats arrivèrent et le regard de William brilla dès qu’il aperçut la pizza dégoulinante de fromage qui arriva sous son nez. « Enfin, je suis affamé… » Et il n’était pas le seul, avec l’odeur des plats, une truffe apparut près de la table et Ice s’assit à côté des deux humains pour essayer de repartir avec quelque chose dans le ventre. « Tu viens de quel univers toi ? » demanda t’il, ignorant si les animaux avaient comme eux, la chance de se retrouver ici. « Ton plat de pates, à par l’air mauvais non plus. » Il attrapa l’huile épicée pour en rajouter avant de reposer son regard dans celui de Lizzie. « Je crois bien que c’est notre premier vrai repas en tête. » Sans chaperon et sans personne pour les surveiller. « Fais attention, je risque d’y prendre gout. » ça et éviter de cuisiner aussi, parce que ce n’était clairement pas son truc.

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