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i've been dying for a night like this. (ft. william)

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Elizabeth Swann

Elizabeth Swann

Terre 2989

Crédits : martyr (avatar) et oldmoney. (signature)
Univers : pirates of the caribbean.
Feat : keira knightley.
i've been dying for a night like this. (ft. william)  865872d9d61aaa40ff33350d4626ea8785f77e02
Occupation : professeur de littérature.
Illustration :
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( THE PIRATE KING )

tonight it's time you realise, i'm going in hard. i'm going in one, two, three. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby, i can't loose. my drum is beating harder and when i break through i know the world will wonder why baby i was born a rebel child. dancing with the devil, i want to. born to be a rebel, i won't lose. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby i was born a rebel child.

Messages : 46
Points : 521
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i've been dying for a night like this. (ft. william)  Ddcc71bba7139c518afe9e2036bcc4b2 i've been dying for a night like this. (ft. william)  Tumblr_ob2eioonj21rhqhm5o7_250 i've been dying for a night like this. (ft. william)  20a627d51f570eca69f834bbf59c1af9
these violent delights
have violent ends.

and in their triumph
die life fire and powder.
which,
as they kiss,
c o n s u m e.

i've been dying for a night like this. (ft. william)  Tumblr_oau3b5aN0X1usvbrzo9_250
THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.

i almost dropped my head and lost my faith. then i saw you from a distance, you were worlds away. you had me from the vision, i never looked away again. i still fall for you like suns do for skies. cerulean pouring in from your eyes. just a hollow moon that you colorized. so powerful, i feel so small but so alive. like watching the earthrise.



Date d'inscription : 13/01/2024
Nom & pronoms : babs, elle.


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MessageSujet: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyVen 24 Mai 2024 - 3:09


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


l'adaptation prendrait probablement du temps, pour vous deux. peut-être car vous étiez projeté dans une vie qui était aux antipodes de ce que vous aviez connu, une vie différente en tout point et si à l'époque tu n'aurais pas eu ton mot à dire, aujourd'hui t'étais la première à ouvrir ta bouche : peut-être car tu avais pris la mauvaise habitude de ne plus te taire quand quelque chose te déplaisait. pour tout dire, c'était peut-être même risqué car avant même de vous marier, votre couple partait littéralement en vrille et vous vous étiez mutuellement planté des couteaux dans l'dos. beaucoup de personnes censées diraient que c'était sans doute risqué de tenter cette aventure mais ces mêmes personnes ignoraient sans doute les tenants et aboutissants. les circonstances avaient faites que vous ne pouviez même plus vous faire mutuellement confiance, et pour tout dire, t'es même pas certaine que toi même tu te ferais confiance si t'étais amené à faire affaire avec la toi d'avant tout ça. Loin de la piraterie, ta vie était relativement facile et simple, tu restais discrète mais une fois que t'étais en contact de pirates ton comportement changeait radicalement et le pire de toi même ressortait, des caractéristiques dont tu n'étais d'ailleurs même pas au courant de possédé avant de toi même mettre le doigt dans l'engrenage.

donc oui. peut-être que vivre ensemble dés maintenant était totalement fou, encore plus avec les évènements qui avaient précédés votre mariage était risqué : mariage fait à la hâte pour au moins être unis éternellement mais il n'empêche que vous vous étiez à peine adressé la parole en plus de vingt quatre heures et que, que vous le vouliez ou non, votre mariage avait été compromis. pourtant, si les circonstances avaient été différentes, une fois beckett au fond d'l'océan vous auriez probablement fini par retourner sur port royal, vous marier officiellement et débuter votre vraie vie de couple sous l'autorité habituelle qui vous avait vu mutuellement grandir. où vous auriez simplement continuer à naviguer sur les mers, ce qui n'aurait pas été impossible – mais de toute évidence, t'avais pas réellement envie d'avoir jack dans les pattes constamment. peut-être seriez vous partis pour aller dans les eaux asiatiques que tu représentais officiellement après avoir été promu pirate lord par sao feng. difficile à dire ce qu'aurait été votre vie, mais de toute évidence tu n'aurais pas lâché le brun. vous aviez frôlé une telle catastrophe qu'il aurait été inimaginable pour toi de vivre sans lui et vos tensions se seraient probablement adoucis après la mort de beckett et de davy jones. dans un monde idéal en tout cas, votre destinée avait été toute autre mais aujourd'hui ça n'avait plus d'importance. qu'importe les doutes, les et si et les questionnements sur ce qu'aurait été vos vies si will n'avait pas été maudit et rattaché au hollandais volant, parce qu'aujourd'hui ça n'avait plus d'importance. la seule chose qui importait c'est que vous étiez ensemble et ça, ça n'avait pas de prix.
et en plus de ça, vous pouviez vivre comme bon vous le semblait, sans avoir peur des regards curieux ou des commérages sur ton propre comportement parce que vous viviez dans un monde bien plus civilisé et libre que celui que vous aviez connu et ça : tu ne t'en passerais jamais.  

dans tout les cas, cette soirée serait spéciale. en dehors du fait que c'était votre première vraie soirée en étant totalement vous même, c'était aussi votre première vraie soirée en couple marié : aucune malediction ne pesait sur vous, vous obligeant à vous séparer au moment où le soleil commençait à perdre en altitude. et c'est peut-être pour ça que c'était d'autant plus important et spécial à tes yeux, tout comme ça l'était probablement à ceux de will. sans grande surprise, t'avais un peu trop trainée dans la salle de bain, cherchant désespéremment comment combiner ton éternel look avec ce que tu avais sur toi – puisque la plupart de tes affaires restaient dans cette maison que t'avais et tu devrais définitivement gérer ça à un moment ou à un autre : à commencer par y dégager jack pour la remettre en vente. le simple fait qu'il était seul dedans t'inquiétait un peu : tu te demandais vraiment dans quel état tu retrouverais tes affaires. au final, t'avais optée par une petite robe en satin noire qui remontait à peine au dessus de tes genoux : ce qui changeait d'ailleurs pas mal de tes éternelles robes bouffantes aux corsets bien trop etouffant. tu prenais un vrai plaisir à t'habiller dans cette socité bien plus libre et à faire des combos divers, ce soir ayant décidé d'harmoniser le tout avec quelques touches de rouge, que ça soit par ton vernis qui rappelait l'exacte même couleur que tes lèvres, tes chaussures ou ton sac.

après moult essaies, tu décides finalement de laisser tes cheveux retomber naturellement sur tes épaules, ramenant ceux-ci derrière tes oreilles et tu jetes un rapide coup d'oeil à ta montre qui t'indique que si tu te dépêches pas, vous serez probablement en retard ce qui serait un vrai blasphème pour votre premier tête à tête. et alors que tu quittais enfin la salle de bain, tu remarques bien vite que la pièce principale est illuminée par cette lueur dorée : parmi toute les heures, la golden hour t'offrait toujours un pincement au cœur, car celle-ci s'associait, dans tes souvenirs, à son départ presque un peu trop précipité mais obligatoire. et tandis que tu observes le soleil relativement bas dans l'ciel, tu sens presque une vague d'anxiété monter, mais les léchouilles d'ice sur ta cheville te fait immédiatement revenir à la réalité. Et si tu viens grater entre ses deux oreilles, ton regard se redresse de l'autre côté d'la pièce où tu peux y voir la silhouette de will. Et cette anxiété, qui te mentait, se tait presque instantanément tandis que tu l'observes, silencieusement, presque trop effrayé d'le déranger. pour être honnête, tu pourrais presque rester là, à l'regarder en silence pendant des heures. et pourtant, t'es incapable de le garder ce silence, ce petit sourire presque niais se hissant au coin de tes lèvres. – comment tu fait ça ? tu demandes finalement d'une petite voix tandis que t'es incapable de bouger ton regard de sa silhouette, comme totalement hypnotisé.
Pourtant, tu finis par réussir à continuer de réagir, avançant doucement jusqu'à lui, toujours aussi effrayée à l'idée qu'il finisse par disparaître et que tout ça ne soit qu'un rêve. Tu viens même te pincer discrètement l'avant bras pour t'assurer que t'es pas en train d'rêver : mais de toute manière si c'est le cas, tu espérais ne jamais te réveiller. réalisant que ta question reste sans contexte, tu t'empresses de continuer pour offrir des explications face à celle-ci. – à chaque fois que je me dis que je peux pas tomber plus amoureuse de toi, tu trouves un moyen d'me prouver le contraire. Tu déclares avec ce petit sourire en quoi avant d'arriver enfin à son niveau. t'attrapes toujours aussi délicatement sa main, ayant toujours cette peur viscérale qu'il se volatilise et tu soulèves son bras de manière à te faire tourner et une fois cette rotation terminée, tu t'empresses de venir te coller contre lui. tu l'observes toujours de tes yeux bruns, détaillant encore ce visage que tu avais maintes et maintes fois observé, admiré et rêvé : dont tu connaissais d'ailleurs chaque trait par cœur. – j'ai toujours du mal à croire que tout ça c'est réel. tu murmures finalement, entrelaçant tes doigts avec les siens. – j'ai tellement espéré qu'un tel scénario se produise que j'ai terriblement peur de me réveiller et de réaliser que tout ça n'était qu'un simple rêve. Et c'est peut-être parce que tu savais c'que ça faisait d'être aussi loin de lui que tu savourerais probablement encore plus ce nouveau chapitre de votre histoire.

(c) mars.
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William Turner

William Turner

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Occupation : Barman et il amène les touristes voir les mammifères marins sur son voilier
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As he read, I fell in love the way you fall asleep: slowly, and then all at once


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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyDim 26 Mai 2024 - 12:51

i've been dying for a night like this.



« Tiens. » William referma la main d’Elizabeth autour du double de ses clés, qu’elle avait oublié la dernière fois lorsqu’il la connaissait sous le prénom d’Isla. Il ne lui en avait pas tenu rigueur, pas après tout ce qui s’était passé sur le Maverick et son état d’inquiétude. Il s’était dit que ce n’était que partie remise, qu’elle les prendrait la fois d’après. Il était loin de s’imaginer qu’en réalité, les clés finiraient dans les mains d’une certaine Elizabeth Swan, ou plutôt Turner, sa femme qu’il avait abandonné sur la plage pour rejoindre son navire maudit. « Fais en bon usage. » lui dit-il avec un sourire amusé tandis qu’il pousse la porte de la maison de bord de mer rapidement accueillit par un kangourou poilu, son jeune chien Ice, visiblement ravie de retrouver son maitre et la personne qui se trouve à ses côtés. « Fais comme chez toi. » Laissa échapper William d’une voix amusé, tout en amenant les affaires d’Isla dans un coin de sa chambre, pour qu’elle puisse en faire ce qu’elle voulait. Cela faisait longtemps qu’une partie de son dressing avait été libéré pour qu’elle mette ses affaires, elle avait donc de la place. William n’était pas très branché mode, il avait le strict nécessaire, et ne passait que très rarement du temps dans les magasins, il avait appris à les exécrer, comme Dylan. Pour autant, il n’était pas mal habillé, non, il avait un look plutôt rock, streetwear, mais pouvait parfois opter pour un look plus chic, comme ce soir pour un petit diner en tête à tête. « Je te laisse, je vais sortir Ice. » Il l’embrassa sur le front et l’abandonna pour regagner l’extérieur en compagnie de son chien qui n’attendait que ça. « Je suis désolé mon beau, la balade sera écourtée ce soir, mais je me rattraperai demain main. » Il avait l’habitude de sortir son chien régulièrement pour de longues promenades, cela lui permettrait de s’aérer l’esprit tandis qu’Ice se dépensait. La proximité de la plage était un véritable avantage et William comprenait désormais son attrait pour l’océan. Elle faisait partie de sa vie et même s’il n’était plus le capitaine du Hollandais Volant, l’océan faisait partie de lui, elle coulait à flots dans ses veines et ne cessait de crier son nom. Il était ravi de la retrouver comme une amie et non une prison... Un large sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu’il inspirait les odeurs d’embruns et d’algues mêlées, son regard rivait sur les vagues qui s’écrasaient sur la plage et Ice qui sautait dedans ou les évitait selon son envie. Il ne savait pas d’où venait ce chien, pas de son monde en tout cas, mais il l’aimait énormément et l’idée de se séparait de lui ne lui vint même pas à l’esprit. Il était devenu un ami, un compagnon de vie, un confident aussi, il aimait le voir vivre et profiter du moment présent, sans se soucier de ce qui l’entourait. Ice était une belle image de la vie… Le chien au regard d’un bleu saisissant attrapa un bout de bois flottant rejeté par la mer et l’amena à William qui lui lança pendant bien une bonne demie heure avant de regagner la maison. Il prit une douche à l’extérieur de la maison avant de regagner l’intérieur pour se changer. Il enfila un jean, un pull bleu clair qui tiré sur le blanc et une veste blazer bleu roi. Cela ferait l’affaire, parce que toute façon, il n’avait franchement pas les moyens de l’amener dans un grand restaurant, mais ce n’était franchement pas le plus important.

En attendant Lizzie, il se dirigea vers la baie vitrée qui donnait sur l’océan et sur l’horizon ou le soleil amorçait sa descente. C’était le moment de la journée qu’il préférait tout en le détestant, mais maintenant qu’il n’y avait plus de bateau à rejoindre, il pouvait de nouveau en profiter pleinement. Il n’avait pas de doute quant à sa décision de vivre avec Elizabeth. Il ne voulait pas avoir de doutes, ni de craintes, rien de tout ça, il en avait trop eu, avait trop subi, maintenant la seule chose qui comptait pour lui c’était l’avenir, leur avenir et celui de leur bébé. Il avait encore du mal à se faire à l’idée, pas parce qu’il n’en voulait pas, mais parce que c’était quand même un gros changement et que ça impliquait un paquet de responsabilités qu’il pensait ne jamais avoir. Un léger sourire s’esquissa sur ses lèvres en pensant à l’avenir qui se dessinait devant eux, plus beau qu’il ne l’aurait jamais été s’il avait demeuré capitaine du hollandais volant. William expira l’air de ses poumons, cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas senti aussi apaisé et cela lui faisait du bien. Il pouvait de nouveau regarder l’océan sans la haïr pour ce qu’elle lui avait pris et il pouvait de nouveau respirer l’air sans ne plus jamais être obligé de regagner les fonds marins, aussi magnifique soit-il, William goutait de nouveau à la liberté qui lui avait été arraché et il allait en profiter. Il refusait de regarder en arrière, d’en vouloir à Elizabeth pour ses décisions, il était tout autant en tord qu’elle. Non, il voulait faire table rase de tout ça et recommencer sur de bonnes bases parce qu’ils en avaient l’occasion.

Il tourna la tête en entendant la voix d’Elizabeth et esquissa un sourire en l’observant. Elle était magnifique et rayonnante, cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu ainsi et il grava cette image dans sa mémoire. « Tu es sublime. » laissa t’il échapper avant de rajouter. « J’ai cru que tu allais prendre une de mes chemises. » plaisanta t’il avant de jeter un coup d’œil au coucher de soleil pour répondre à sa question « comment tu fais ça » « C’est pas difficile, suffit de regarder devant soi. » dit-il d’une voix taquine, comprenant très bien ou elle voulait en venir. Il la laissa venir à lui, et passa un bras autour de sa taille avec délicatesse. « Je t’ai jamais dit que je ferais en sorte que tu tombes amoureuse de moi chaque jour ? » lui demanda t’il avec curiosité, il était bien décidé à continuer à alimenter la flamme, bien qu’il était aussi décidé à ne pas partir vers des chemins trop dangereux… Il voulait  un mariage, un vrai, pas comme ceux qu’il avait vécu, mais il le gardait dans un coin de sa tête, histoire de le ressortir au bon moment. Des idées, il en avait plein la tête, comme partir en voyage pendant de longues semaines avec le Maverick. Elle, comme lui, étaient des enfants de l’océan et personne ne pourrait jamais les garder à terre trop longtemps. Et l’idée d’être uniquement avec elle et leur futur enfant lui plaisait, mais William savait que cela ne pourrait pas se faire tout de suite, qu’il devrait être patient, histoire qu’ils trouvent leur rythme et que leur enfant vienne au monde en toute sécurité. Pour le moment, il allait donc se contenter de choses simples, mais ce n’était pas si mal après tout ce qu’ils avaient vécu… « Pourtant ça l’est bien » Il attrapa ses mains et y déposa un baiser avant de remonter pour poser ses lèvres contre celles de sa femme avant de refermer sa main dans la sienne. « Si c’est un rêve, ne nous réveillons jamais… » Qu’il continue et ne s’arrête surtout jamais. « Allez viens, parce que sinon, on ne va jamais manger et c’est toi que je vais dévorer. » Il la tira délicatement derrière lui, Ice sur leurs talons. Il venait lui aussi, mais il ne les dérangerait pas et resterait sagement sous la table… Quoiqu’il était bien capable de quémander quelques bouts par ci par là. Ils auraient pu se rendre au restaurant de Faith, que William reconnaissait désormais, mais malgré les sentiments de Dylan à son égard, William lui se souvenait surtout d’un maestrom et de sa mort causée par la main de l’homme qu’elle aimait. Il n’avait pas franchement envie d’y aller pour un restaurant en amoureux et conduisit donc Elizabeth en centre-ville, là ou les restaurants foisonnés. Il s’arrêta devant un resto de fruits de mer avant de réaliser. « Ah mais mince, tu peux pas en manger non ? » Et oui, elle était enceinte, ce qui faisait que son régime alimentaire était un peu plus restreint et William n’était pas un expert du sujet. « Il est pas arrivé, qu’il commence déjà à embêter ses parents. » Plaisanta Will en se retournant vers Lizzie. « Où est-ce que tu veux qu’on aille du coup » ça irait plus vite, surtout que lui n’était pas difficile et prêt à la suivre n’importe ou.


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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyLun 27 Mai 2024 - 4:26


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


son compliment te va au cœur et tu peux pas t'empêcher d'sourire presque de manière un peu niaise. C'est plus fort que toi, mais quand t'es avec lui tu t'sens encore et toujours telle une adolescente qui se retrouve face à ce garçon qui l'a rend toute chose. C'est amusant d'savoir que tu vois ça tout les jours quand tu avances dans les couloirs de l'établissement, tu t'attendais à tout sauf à te sentir comme étant ces gamines qui se retrouvent un peu destabilisé et petit sourire timide aux lèvres. Et pourtant, même en étant marié, il te fait toujours cet effet et c'est probablement quelque chose d'extrêmement positif : la preuve que votre flamme ne disparaît pas et ça, c'est sans doute la chose la plus précieuse qu'il soit. et forcément, la chose que tu t'empresses de faire c'est te coller contre lui et rester comme ça, espérant et priant pour que ces instants s'éternisent encore et toujours. Sa question te fait doucement esquisser un sourcil tandis que tu réfléchis, pratiquement certaine que non, il ne t'ait jamais promis d'te faire tomber toujours plus amoureuse de lui. – me faire promettre de garder un œil sur l'horizon, oui, mais me promettre de me faire constamment tomber amoureuse de toi, je crois pas. tu dis en laissant un rire s'échapper d'entre tes lèvres tandis que tu penches la tête sur le côté et que tu laisses encore une fois tes yeux l'regarder et l'admirer.

La délicatesse de ce moment permets au temps de se stopper d'une certaine manière. Et toi, t'aimerais que ça reste comme ça éternellement : le reflet de ce soleil couchant venant mourir sur la peau de ton dos tandis que tu restais contre l'homme à qui tu avais promis l'éternité, ses bras restant enrouler autour de ta taille, c'était peut-être le meilleur des tableaux qui s'offrait à toi. et pourtant, ça n'était que le début, et votre vie à deux ne serait probablement que pleine de souvenirs en tout genre mais l'éternelle syndrome de l'imposteur dont tu étais victime actuellement rendait les choses toujours difficile à réaliser. – hey, y a personne qui a dit qu'on pouvait pas commencer par le dessert ! tu clâmes jovialement faisant référence au fait qu'il finirait par te dévorer toi tandis qu'il te traînait en dehors de la maison pour que vous puissiez enfin vous rendre dans ce restaurant et débuter officiellement votre vie de couple marié.

Avançant finalement dans les rues, ton bras autour de celui du brun tu laissais ton regard observer les diverses options qui s'offraient à vous, profitant du temps qui restait relativement chaud malgré le soleil qui continuait de descendre à l'horizon. Il y avait cet éternel petit vent frais mais en toute sincérité, rien de réellement désagréable. Et alors qu'enfin, ton mari semble sélectionner une option une réalité marquante te frappe : tout les aliments dont tu vas devoir te passer. Petite moue se dessinnant sur ton visage face à cette cruauté évidente. – adieu sushi. Et ça t'brise un peu le cœur parce que si tu ne connaissais pas spécialement ça avant, isla était tombée amoureuse de ça et tu n'avais aucun doute quant au fait que ça perdurerait avec toi. mais c'était temporaire, quelques mois uniquement et tu découvrirais probablement prochainement les joies des drôles de pregnancy cravings dont certaines – beaucoup – de femmes parlaient et expérimentaient. Et encore, tu pouvais pas te plaindre en sachant que ta silhouette restait inchangée, que pour l'instant il n'y avait pas de grande différence avec ton quotidien habituel mais ça ne saurait tarder à à un moment. – hm. Tu regardes autour de toi, hésitant avec diverses options avant d'en trouver une qui attire particulièrement ton attention. – italien, ça te tente ? Tu demandes en haussant un sourcil, observant le brun avec cet éternel sourire aux lèvres. Il faut dire que t'étais pas la personne la plus complexe du monde et si t'avais passé plusieurs heures sans manger, le simple fait d'avoir évoquer et de s'être lancé dans la quête de nourriture faisait que tu commençais à réellement ressentir la faim présente. – j'suis déjà venue ici avec quelques uns de mes collègues, c'est honnêtement pas mal. Tu dis simplement, réalisant qu'il sera tout sauf compliqué à convaincre.

Et très vite, vous vous retrouvez dans ce restaurant, ou plutôt en extérieur. La chaleur environnante est assez présente pour permettre un tel exploit et avec Ice c'est définitivement plus simple pour qu'il puisse boire de l'eau et ne pas faire des dégâts dans le restaurant. Ton regard se perd sur le paysage alentour pendant de longues secondes, songeuse. Aussi ridicule que ça puisse être, tu ne peux pas t'empêcher d'admirer la vue et le monde qui s'offre à toi, peut-être car tu es si reconnaissante des toutes petites choses comme celles-ci. Le monde vit d'une manière si différente de ce que vous aviez vécue, et si le retour à la réalité n'était pas si brusque c'était principalement parce que isla, pensant qu'elle avait toujours vécue ici, n'avait eu aucun mal à s'adapter à cette vie. C'est quand la serveuse apporte les deux premiers vers d'eaux pour vous faire patienter en attendant de prendre votre commande que tu te reconnectes à la réalité et que tu tournes ton regard vers ton mari, gardant ce sourire aux lèvres. Tu pouvais pas t'en empêcher, il te faisait sourire et sa simple présence te rendait si heureuse. Tu viens alors attraper sa main, entrelacer vos doigts et tu l'observes de ce regard éternellement amoureux. – je suis sincèrement totalement amoureuse de cette vie. Tu dis d'un enthousiaste évident. – j'me sens tellement … libre. Et la liberté avait toujours été un vrai moteur chez toi Lizzie. – Libre de faire ce que je veux sans que personne n'ait quoi que ça soit à redire sur comment me comporter, qui être. et ça, c'est tellement extra. Tu dis avec définitivement des étoiles dans les yeux. Et c'est peut-être grâce à cette liberté là que tu t'autorises à laisser ton pieds venir se poser sur la jambe du brun pour établir un autre contact, plus discret et peut-être un peu plus sensuel. – Libre de faire absolument n'importe quoi. Tu dis en souriant légèrement, laissant tes yeux dans les siens tandis que tes lèvres se déposent sur ses doigts en laissant un petit rire s'échapper innocemment.

(c) mars.
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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyMar 28 Mai 2024 - 23:06

 i've been dying for a night like this.



Il faisait beau, un temps magnifique, un de ceux qui vous donne envie de prendre le large, mais le Maverick resterait à quai ce soir. William avait d’autres choses en tête pour la soirée en compagnie d’Elizabeth. Ils auraient bien le temps de le faire plus tard, son bateau ne s’envolerait pas et malgré son amour pour l’océan, William n’avait pas envie de remonter sur un navire. Son dernier souvenir en tant que William Turner, c’était sous l’océan, dans la cabine du capitaine du hollandais volant, désespéré par son avenir brisé. Alors oui, il n’avait pas spécialement envie de remettre les pieds sur le pont d’un bateau tout de suite, mais il savait que ça ne durerait qu’un temps et que l’océan le rattraperait, comme à chaque fois. Pour le moment, il préférait faire une pause, rester sur terre un temps indéterminé et profiter de tout le temps qu’il pouvait avec Elizabeth. Hélas, sur cette île, l’argent ne coulait pas à flot, pas comme à port royal ou la fortune de la jeune femme aurait suffi à subvenir à leurs besoins. Ici, ils devaient travailler… Mais maintenant qu’il se rappelait de son passé et de ses talents en tant que forgeron, William n’avait aucune envie de retourner derrière un bar. Il allait voir, y réfléchir, en parler avec Elizabeth, mais pour le moment il préférait laisser ça en suspens, préférant profiter de leur vraiment première soirée en tant que couple. Il ne put s’empêcher de rire en entendant la voix de Lizzie. « Ah bon ? » dit-il d’une voix taquine tandis qui l’enlace pour la coller légèrement contre lui. « Faut dire qu’on n’a pas trop eu le temps de parler après notre mariage… » Et c’était peu le dire, vu que la mort l’avait saisi peu de temps après. C’était même étonnant qu’il soit encore en vie, comme quoi cette foutue malédiction n’avait pas été qu’un mal. « Et bien je te le dis maintenant, vous n’êtes pas au bout de vos surprises madame Turner. » Il était bien décidé à lui prouver chaque jour pour profiter de ceux qu’ils n’auraient jamais dû avoir.

Il aime cette simplicité, cette osmose qui les a toujours uni, mais qu’ils ont du garder de côté pendant longtemps. Maintenant, plus rien n’est en travers de leur chemin et ils sont enfin pouvoir profiter de ce qu’à la vie peut leur offrir. Il la serre tendrement contre lui, profitant de cette douceur et de cette tendresse, sans aucune peur, sans qu’aucun nuage ne vienne entacher leur amour. Enfin à part Ice qui a décidé de jouer avec son Pouic qu’il ne quitte jamais vraiment. « Ne me tentez pas trop ma chère… » Il se laisserait bien prendre et lui retirerait sa jolie robe, mais s’il le fait, il y a de fortes chances qu’ils ne puissent pas avoir une table au restaurant et donc qu’Elizabeth passe encore une soirée avec rien dans le ventre. « Faut que tu manges, et moi aussi d’ailleurs. » Parce qu’il n’avait pas mangé grand-chose depuis qu’elle l’avait laissé comme un idiot sur le port. Il avait passé les jours suivants à s’inquiéter. « Alors je te garderai comme deuxième dessert, le meilleur pour la fin. » dit-il avec un large sourire sur le visage.

Il avait attendu bien trop longtemps pour enfin pouvoir marcher main dans la main avec Elizabeth. Il manquait juste une ombre au tableau, aucune bague n’unissait leur main. Il n’avait jamais eu l’occasion de lui donner celle qui lui avait acheter à port real. C’était lui qui avait pris le temps de la forger, mais elle était restée dans à la forge, dans un endroit bien défini pour ne pas être volé. Elle avait dû disparaitre, il ne la retrouverait jamais…Et comme un idiot, il avait oublié de lui dire où la trouver. Il allait devoir trouver un moyen de régler ça, peut-être en en achetant une nouvelle ou en la forgeant… Le truc c’est qu’ici, il n’avait plus de forge, et le matériel ne coutait pas le même prix… Mais il trouverait une solution, et puis, ça ne changeait pas le fait qu’ils étaient mariés, même si cela risquait d’être difficile de le faire comprendre aux personnes qui gravitaient autour d’eux. Il y aurait des commérages, mais William s’en moquait. La seule chose qui comptait pour lui, c’était d’avoir retrouver sa femme, le reste importait peu. « Je te promets que je viendrais te voir à la maternité avec des sushis. » plaisanta t’il en l’entendant parler de ce délicieux plat japonais dont il raffolait lui aussi, mais qui était totalement interdit pendant une grossesse. Ils allaient devoir trouver autre chose. « Bonne idée, je ne l’ai jamais testé ce restaurant. » Il avait déjà manger italien, mais pas celui-ci, mais il aimait ça et commençait très souvent des pizzas… C’était bon, rapide, et franchement pas trop cher, parfait pour son budget souvent serré. « Je te suis. » dit-il tout en la laissant l’entrainer vers le restaurant italien.

L’air frais balaie la terrasse sur laquelle ils sont installés, mais il ne fait que rafraichir l’air chargé en chaleur de cette fin de journée. Il est agréable et fait du bien. William, lui, n’a d’yeux que pour Elizabeth qu’il ne cesse de regarder pour bien enregistrer cette image dans son esprit. « ça se voit. » dit-il en parlant d’elle, de la manière dont elle resplendit. Cette vie leur offre plein de possibilités. William non plus n’est plus le forgeron, ni le pirate, il est lui et ça lui va très bien. « Tu n’es pas nostalgique des haleines empestant le Rhum, des pirates et des malédictions maritimes ? » plaisante t’il avant d’attraper délicatement sa main pour la serrer dans la sienne. « Nous pouvons être qui nous voulons ici, la vie nous offre une deuxième chance… » Et ils ne pouvaient pas espérer mieux. « Libre de faire n’importe quoi … Intéressant… Et là tout de suite, qu’est-ce que tu aimerais faire ? Non parce que si tu veux te baigner nue dans l’océan, je connais un spot pas loin de la maison particulièrement intéressant. » lui glissa t’il à l’oreille, tandis qu’Ice s’étale sous la table dans un ronflement sonore de fatigue, visiblement peu intéressé par ce que les humains ont à se rencontrer. « C’est pas interdit aux femmes enceintes les bains de minuit ? » dit-il en plaisantant tout en caressant les doigts de sa femme. Un geste simple, mais qui a leur époque aurait été mal perçu.... Alors se baigner nus dans l’océan, ça allait contre toutes les bonnes valeurs de leur société.


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Elizabeth Swann

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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyVen 31 Mai 2024 - 5:36


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


un rire s'échappe d'entre tes lèvres tandis qu'il évoque le manque de discussion après votre mariage. il faut avouer que ça n'avait pas été dans vos priorités : probablement que vous auriez pu simplement vous câliner et rester l'un contre l'autre, discutant de cet avenir pseudo inexistant entre vous sauf que ça aurait été, à tes yeux, une perte évidente de temps.
les restrictions de votre époque vous avait empêcher de faire tellement d'choses, et pourtant, c'est pas faute d'en avoir creuvé d'envie pendant des mois. c'est juste que les codes sociaux étaient si différent et la moindre faille pouvait valoir à une réputation entière d'être ruinée, ce qui avait été autre que le réel objectif pour toi. là où pour les hommes c'était moins problématique, une femme se devait de rester « pure » jusqu'au mariage, et si déjà à l'époque ça t'avais semblé un peu ridicule inutile de dire que ça l'avait été d'autant plus désormais. t'étais la première à défendre ouvertement les droits des femmes et ton discour du jour était que qui que ça soit fasse ce qu'il veuille tant que tout l'monde était partant. dans tout les cas, cet instant sur la plage, tu t'en souvenais encore au point où il était marqué au fer rouge dans ton esprit. le sable avait beau ne pas avoir été le plus confortable du monde, ça n'avait été que la dernière de tes préoccupations la seule chose ayant un réel étant l'instant présent et t'avais compris pourquoi tout ça c'était si spécial. t'avais jamais ressenti quelque chose d'aussi extra que d'être dans les bras de l'homme dont tu étais amoureuse à un niveau encore plus profond ce que tu avais pu connaître. le simple contact de sa peau contre la tienne et cette proximité avait rendue la chose exceptionnelle et apportait un tel confort qu'il était difficile de pouvoir vouloir autre chose.
et c'est peut-être pour ça que t'avais excessivement hâte de rentrer même si tu devais vraiment manger. parce que si pour les personnas que vous étiez avant d'avoir vos souvenirs ça avait été une activité de couple comme une autre, sur un level spirituel, maintenant que vous aviez de nouveau vos souvenirs ça serait inexplicable. comme le redécouvrir pour la première fois et cette perspective de pouvoir être de nouveau contre lui, de sentir la texture de sa peau effleurer la tienne, ses lèvres carressant ton cou et autre te rendait toute chose. – au moins désormais on a toute la vie pour parler de tout et de rien. tu finis par répondre en riant légèrement.

dans tout les cas la soirée s'annonçait et divine et très vite, c'est dans ce restaurant italien qu'vous prenez place : vos doigts s'enlaçant très rapidement ton pieds s'amusant à frotter délicatement la jambe du brun tandis que tes yeux ne cessent de se perdre sur son visage. sa question te fait rouler les yeux tandis que tu balaies la tête de gauche à droite, preuve que non ; l'hygienne déplorable des pirates ne te manquait pas et malgré ton amour pour la liberté, l'océan et le mode de vie qui te permettait d'être bien plus libre c'est l'exacte raison pour laquelle il t'était impossible de vivre pleinement cette vie à temps plein. – je me demande sincèrement comment les membres de la compagnie des indes font pour rester aussi propre sur eux. Tu déclares, réfléchissant un court instant à cette réalité. Probablement qu'ils amaraient plus souvent que pour les pirates, ayant des vrais endroits où vivre en tant que sédentaire et non nomade comme vous aviez pu l'être le temps de votre aventure sur les océans, mais en y réfléchissant même pendant les longues périodes où tu avais pu croiser beckett ou norrington, ils étaient toujours parfaitement propre sur eux. Rasé de prêt, une odeur corporelle qui ne dégageait pas quelque chose de répugnant et une apparence soigné chose qui restait surprenante quant on connaissait les conditions en mer. Et vous aviez eu la chance – ou toi tu l'avais eu en tout cas – pour ne pas finir avec des maladies dentaires quelconques. T'avais bien fini par comprendre qu'avec son lot de problème la piraterie venait aussi avec des maladies quelconques qui pouvaient vous terrasser si la compagnie des indes ne le faisait pas avant. – en toute sincérité, je crois que c'est la raison pour laquelle je ne pourrais jamais vivre totalement dans la piraterie. Tu avoues en haussant les épaules, d'autant plus en ayant eu un mode de vie tel que le tiens où tu avais une gouvernante pour t'aider dans ce genre de tâche quotidienne qui était de simplement s'occuper de toi et t'aider à être présentable aux yeux du monde. – j'adore cette liberté et j'en passe mais l'hygienne ? L'haleine de jack me donne encore des hauts le cœurs. Tu savais que n'importe qui pouvait témoigner puisque celle-ci puait assez, tu peux pas t'empêcher de te sentir légèrement coupable d'évoquer ça : pour la simple et bonne raison que ce baiser avait été la cause de la discorde entre vous et ce, même si ça n'avait été que dans le but de vous sauvez. De toute évidence, tu ne gardais aucun bon souvenir de cet instant et t'avais bien rapidement sentie la différence entre l'hygienne buccale de jack et de will – et de toute évidence tu n'aurais jamais voulu reproduire l'expérience. Mais au moins, t'avais réussi à vous sauver les miches et c'est tout ce qui comptait.

Cette proximité dont vous faisiez preuve était exclusive pour vous, toute nouvelle et pourtant tu ne pouvais que dire une chose : tu adorais ça. T'adorais l'entendre murmurer dans ton oreille et avoir cette proximité particulière entre vous qui vous permettait de réellement partager des choses tels que le couple que vous étiez. Tu te mords alors l'intérieur de la lèvre, d'ores et déjà impatiente à l'idée de terminer ce repas pour passer à la suite de la soirée mais les odeurs de nourriture avaient aussi réveiller ton appetit. – et si au lieux de décrire, je te montre directement quand le moment sera plus opportun ? Tu demandes de manière rhétorique en haussant un sourcil, toute souriante. L'idée d'un bain de minuit t'interpelle pourtant et tu t'avoues presque d'ores et déjà conquise par celle-ci. – j'crois pas ! Tu déclares face à sa question. – il faut qu'on fasse ça ! Tu conclus alors terriblement enthousiaste à l'idée de pouvoir faire trempette sous une lune bien ronde qui serait sans doute l'unique source lumineuse.
très vite, vous êtes finalement interrompu par la serveuse qui vous donne les menus du restaurant, et après l'avoir remercier d'un signe de tête tu commences alors à regarder rapidement le menu à la recherche d'un plat qui pourrait te faire envie dans l'immédiat. sauf que t'avais envie de tout et rien à la fois : les éternelles envies bizarres de femmes enceinte disons.

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William Turner

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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyDim 2 Juin 2024 - 17:42

 i've been dying for a night like this.




William avait beau tourné la situation dans tout les sens, il ne trouvait rien de négatif à son arrivée sur cette île. Il ne regrettait personne de Port Royal, ni de son navire, à par peut-être son père, mais leur relation n’en était qu’à ses débuts. Malgré tout l’amour qu’il pouvait lui porter, l’homme était devenu avec le temps un véritable étranger. Il ne l’avait pas vu pendant des années, il avait grandi sans lui, loin de toute son éducation et leur lien s’était détérioré. Il était le seul membre de son équipage pour lequel il éprouvait de la tendresse et de l’amour, mais William n’avait jamais eu le cœur à trop s’y attarder, bien trop désespéré d’avoir quitter Elizabeth. Son retour à ses côtés écrasait tout le reste et le jeune homme n’avait envie de rien d’autre. Il espérait que cette île lui rende son père, mais il savait qu’il ne pouvait pas trop en demander. Il avait déjà eu une chance exceptionnelle d’atterrir ici, en vie, et pas entre quatre planches. Il ne savait pas pourquoi, ni comment et il s’en moquait, préférant profiter de ce que la vie leur offrait plutôt que de chercher le comment du pourquoi. William avait passé assez de temps sur l’océan à courir après des chimères, désormais, il voulait profiter de la terre et d’une vie simple. Il se doutait bien que cela ne durerait qu’un temps et qu’un jour l’océan les appellerait de nouveau, mais pour le moment, il se sentait bien là ou il se trouvait.

En vérité, leur cérémonie de mariage avait été un vrai fiasco. Il entendait à peine ce que lui disait Barbosa entre les coups d’épées et les cris alentours, sans oublier les morts qui tombaient au fur et à mesure sur le pont du navire. Soyons clair, aucun couple ne rêvait de vivre ce genre de moment pour se dire oui, mais Elizabeth et William n’avaient pas vraiment eu le choix. Ils n’avaient pas voulu retarder l’échéance une fois de plus, craignant sûrement qu’un autre évènement ne vienne mettre son grain de sable pour tout faire dérailler. Ils ne s’étaient pas trompés, pour preuve quelques minutes après avoir échangé leur vœux, William rejoignait le cœur de l’océan en devenant le capitaine du hollandais volant. Ils avaient donc bien fait de se marier dans un bordel sans nom… Ce n’était pas le mariage rêvé, mais au moins ils étaient mariés. Du moins en théorie, car William n’avait jamais vraiment été certain que Barbosa puisse présider ce genre de cérémonie. Ceci dit, il s’en moquait, parce que pour oui, cela comptait, ils étaient mariés et rien d’autre n’avait eu d’importance à ce moment précis. Maintenant qu’il y repensait et qu’ils avançaient main dans la main en direction des restaurants du centre-ville, il ne pouvait s’empêcher de se dire qu’ils avaient vécu un moment assez unique… Mais qu’ils étaient bien loin du mariage qu’ils avaient préparé et presque fait avant qu’on ne vienne les déranger pour que William parte à la poursuite de Jack. Encore lui… il leur avait pas mal bousillé leur vie à vrai dire. Will ne savait toujours pas s’il le détestait ou l’appréciait, mais il avait assez respecté pour lui venir en aide à de nombreuses reprises.

« Ils prennent plus de douche… » laisse t’il échapper alors qu’ils sont tranquillement attablés. Du temps, il en avait passé sur les bateaux pirates et la plupart de l’équipage était rarement porté sur le nettoyage. Faut dire qu’on ne manque jamais de choses à faire sur un bateau, mais les pirates manquaient quand même cruellement d’hygiène. Les capitaines de la compagnie des indes représentaient sa majesté et pour ça, ils se devaient d’être impeccable. Surement l’une des raisons qui les poussaient à garder un semblant d’hygiène. « Ou peut-être qu’ils ont compris que ça éviter d’attraper des maladies. » D’ailleurs, il se demandait comme eux avaient fait pour ne rien attraper… Cela relevait du miracle. Quoiqu’en y réfléchissant, à leur époque, les gens étaient peut-être aussi plus résistants face aux maladies que ceux de l’île. « En tout cas je dois avouer que j’apprécie tout ce qui y a sur île. En particulier les douches, les baignoires » Et autres joyeusetés qu’offraient ce monde. Plus besoin de faire chauffer son eau, ni d’allumer des bougies, sans oublier les nouvelles normes en hygiène. « Et l’électricité ! » rajouta t’il comme s’il s’agissait de la dernière merveille du monde, mais ça l’était pour lui, pour eux, et il ne parlait même pas d’internet…. Son bateau naviguait avec l’aide d’un radar et d’un gps intégré, même plus besoin de cartes… Ce monde avait surpassé sur tous les points celui qu’ils avaient connu. Que cela soit aux niveaux des avancées technologiques mais aussi sociales. « Tu sais je pense que si j’avais pu rester à tes côtés, si je n’étais pas devenu le capitaine du hollandais volant, j’aurais sûrement retrouvé ma forge… » Il aimait l’océan et tout ce qu’elle lui avait apporté, mais une fois mariée, il n’était pas certain d’avoir continué à parcourir les océans. Dans quel but ? ce n’était pas comme si le brun cherchait à récolter les trésors et les mystères de l’océan il en avait eu assez… Sans oublier que l’âge de la piraterie touchait à sa fin. « Par contre, maintenant, je me dis qu’on peut toujours partir plusieurs mois en mer si on en a envie, enfin pas de tout de suite, cela va de soi, mais plus tard…Et on aura même une douche qui dessalinise l’eau… » Entres autres, parce que le Maverick offrait bien plus de confort qu’une simple douche. Il était bien plus agréable à vivre sur le Maverick que sur le Black Pearl…. « Beaucoup de choses ont changé mais pas l’haleine de Jack… » dit-il avec un léger sourire en coin. Faut dire qu’il avait eu le temps de la sentir au bar, quasiment tous les soirs à vrai dire. Visiblement que ce soit ici ou dans leur monde, le capitaine Sparrow se montrait toujours autant passionné par le Rhum.

Le brun caresse sa main avec tendresse, il est ravi d’avoir trouver cette proximité avec elle. Alors qu’à Port Royal, il en était privé…. Si ce n’est quand ils arrivaient à se trouver un petit coin tranquille pour s’embrasser sans que personne ne les remarque. Pour ce qui était des sorties publiques, la dame de compagne d’Elizabeth était toujours en leur compagnie, pas très romantique et ils ne pouvaient franchement pas se permettre de faire des allusions comme ils étaient en train de faire. « Hmmm, je suis curieux de voir ça… » dit-il en s’humectant les lèvres. Il lui tarde de passer à cette étape, retrouver son corps, ses lèvres, et tout ce qu’il a ressenti sur la plage. « Tu vas voir, tu vas adorer… » dit-il en parlant de leur petit bain de minuit qui venait de s’improviser. William connaissait très bien la plage et les petits coins tranquilles. C’était ceux qu’il recherchait pour sa tranquillité et il lui était souvent arrivé de se baigner à poils dans l’océan pour se détendre, loin des regards et du monde. L’idée d’en faire profiter Elizabeth réveillait ses sens et des pensées qui n’avaient rien de celles qu’auraient dû avoir un gentilhomme.

« Merci. » dit William à l’adresse de la serveuse qui lui sourit tandis qu’il referme sa main autour de la carte pour la lire. « Tu veux boire quelque chose ? » Pas d’alcool…. Bien évidemment, mais le restaurant proposait aussi des mocktails ou simplement des softs. Lui risquait de se laisser tenter par une bière bien fraîche. « Je t’aurais bien proposé du champagne mais... » Plaisanta t’il pour la taquiner, sachant qu’en plus de ne pas manger de sushis pour les 7 prochains mois, elle devait aussi faire l’impasse sur les boissons alcoolisées. « Ils ont peut-être du champomy ? » rajouta t’il taquin. William n’était pas aussi plaisantin quand il était à Port Royal, mais après avoir vécu en tant que Dylan, son caractère s’était un peu adouci et ce n’était pas plus mal. « Je crois que je vais me prendre une pizza, 4 fromages, ça aussi c’est une révolution. » laissa t’il échappé en posant un regard amoureux sur sa femme, visiblement bien plus embêté que lui par le choix qu’offrait la carte. « Le choix est difficile ? » lui demande t’il en l’observant du coin de l’œil.

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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyMer 12 Juin 2024 - 2:55


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


un rire s'échappe d'entre tes lèvres tandis qu'il semble mettre le doigt sur ce qui fait toute la différence entre les pirates et la compagnie des indes. Il faut dire qu'ils retournaient régulièrement à terre, ce qui facilitait les soins de manière générale. toi même tu avais tendance à avoir une hygienne irréprochable, mais le temps passé loin d'endroit réellement civilisé avait vite fini par te monter à la tête, et le sel de mer pour se laver n'était pas nécessairement le meilleur des remèdes. Tu t'empresses d'acquiescer d'un signe de tête tandis qu'il te parle des baignoires et de l'électricité, et probablement que si qui que ça soit entendait votre conversation vous regarderait bizarrement. – je sais ! Tu clâmes d'un air tout aussi fasciné. – c'est tellement facile et tellement rapide ! Et les bains étaient tellement plus agréable. Tu t'étais trouvé une fascination certaine pour les faire colorer avec des boules de bain, bien mousseaux et l'eau bien chaude. Honnêtement, tu ne changerais ça pour rien au monde et t'étais bien contente de pouvoir profiter de la modernité de l'endroit.

Tu l'écoutes alors attentivement, acquiesçant d'un simple signe de tête. Tu savais que même si sans toute les péripéties qui vous étaient arrivé, t'épouser l'aurait fait grimper dans l'échelle sociale, il faisait parti de ce genre de personne qui tenait à garder une activité qui le passionnait et qui lui permettait de s'épanouir. – personnellement, j'aimais bien tes mains rugueuse. Tu dis en souriant légèrement tandis que toi, tu te demandes bien ce qu'aurait été ta vie si vous aviez eu une vie normale de couple marié à port royal. – j'ai jamais vraiment pensé à quoi aurait ressemblée ma vie si j'avais été avec toi à port royal. Tu avoues d'un petit air plus ou moins songeur, cherchant à dessiner une vie qui de toute manière n'existait peut-être que dans une réalité alternative. – j'aurais probablement passé mes journées dans cette grande maison à discuter de trucs absolument pas passionnant avec d'autres femmes du même rang social. Rien de bien extraordinaire en soit. et c'est vrai. Probablement aurais-tu appris à coudre, ou à faire des choses pour passer le temps. avec un esprit aussi vif que le tiens, une vie à port royal de rendez-vous aux côtés de ton père pour lui tenir compagnie ou à simplement discuter avec tes dames de compagnie en attendant will auraient été longue et complexe. – on aurait discuté des dernières modes londonniennes tout en se buvant du thé, se plaignant des corsets et probablement à râler entre nous quant au fait qu'on ne serait absolument pas libre de faire ce qu'on voudrait parce que c'est bien connue ; nous étions d'abord la propriété de nos pères, puis de nos maris. N'importe quelle idée ou décision me concernant aurait été inapplicable si toi même tu ne donnais pas ton accord au risque de me faire passer pour la pire épouse de toute l'angleterre. T'avais toujours été un peu révolté de la manière dont vous, femmes, vous étiez traité. Que ça soit en haute société ou au sein des pirates où votre présence n'était pas toujours la bienvenue. Tu viens mettre ton menton sur ton poing tandis que tu observes le brun. – le prend pas personnellement, mais je suis assez contente que tu n'ai pas ton mot à dire sur la manière dont je m'habille ; dont je gère ma vie et d'avoir mes propres comptes. Tu esquisses un légers sourire en coin en laissant ton autre main attraper la sienne, carressant le dos de celle-ci avec ton pouce. – je sais bien que tu m'aurais laissé faire ce que j'aurais voulu, mais ne pas avoir la pression sociale sur les épaules et surtout ne pas être traité comme t'appartenant est relativement satisfaisant. Même si en soit, ton cœur lui appartenait et tu ne voulais, voudrais jamais qui que ça soit d'autre à tes côtés. La notion de propriété te dérangeait vraiment et t'étais heureuse d'être traité tel un être humain et non une possible poule pondeuse et propriété d'un homme qui pourrait s'afficher à tes côtés tout en ayant l'impression d'être un trophé.

L'idée de passer du temps en mer te paraît pourtant une bonne idée : pour être honnête, t'es pas certaine que tu survivrais au mode de vie sédentaire éternellement. Tu fait mine de réfléchir avant de redresser ton regard vers le brun, petit air curieux au visage. – on peut toujours partir une semaine ou deux. C'était sorti tout seul, mais dans l'immédiat, rien ne vous y empêchait. – je suis seulement enceinte de deux semaines, c'est pas dramatique si on s'aventure en mer pour quelques jours. Je crois que j'adorerais ça pour être honnête. Tu avoues d'un faux air coupable, mais l'idée de vous aventurer au large là où personne ne pourrait vous retrouver et surtout être dans votre élément était une idée bien tentante et que tu visualisais sans aucune réelle difficulté, au contraire. T'avais besoin de sentir l'air marin venir chatouiller tes narines. – et avec le comfort de ton bateau, je n'ai aucun doute quant au fait qu'y vivre sera excessivement comfortable. Après tout, y avait tout le comfort qu'il n'y avait pas au sein des bâteaux que vous aviez connu. Une douche, un lit confortable et autre. En réalité, il s'agissait sans doute d'un appartement flottant plus qu'autre chose.

Votre proximité se fait de plus en plus évidente tandis que le flirt, aussi innocent soit-il est là. Et t'adore cette liberté de pouvoir faire ces commentaires qui, une fois qu'on lisait entre les lignes, on comprenait facilement ce que ça voulait réellement dire. D'ailleurs tes lèvres glissent légèrement sur sa mâchoire pour s'arrêter au creux d'son cou, juste à l'ouverture de sa chemise et tu viens de mordre la lèvre inférieure en souriant. – je n'ai aucun doute quant à ça. Et tu savais que tu serais probablement plus subjugé par sa beauté à lui que celle du décor, c'était facile à deviner.

Mais très vite vous êtes interrompu par la serveuse, et tu te rends compte que vous ne vous étiez même pas penché sur le menu. Un rapide regard dessus te permet de vite savoir ce que tu veux boire, et tu redresses le regard vers la serveuse, souriante. – une pina colada sans alcool pour moi. Tu dis simplement. Inutile de partir sur des choses super fantasmagorique, mais très vite tu replonges ton regard sur ton menu, réfléchissant rapidement à ce que tu pourrais prendre. Tu hausses les épaules, fermant la carte d'un simple coup de rabais avant d'observer la serveuse une nouvelle fois. – pattes aux truffes, un classique. Tu esquisses un petit sourire avant qu'elle récupère les cartes et que tu peux vite reprendre la main de ton mari pour continuer d'établir le contact. tu avais passé trop de temps sans lui, alors tu refusais de rester loin de lui et tu comptais bien profiter de sa présence pour continuer à être coller à lui, quitte à avoir l'air de ce couple agaçant toujours à se chouchouter mutuellement.

(c) mars.
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William Turner

William Turner

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Occupation : Barman et il amène les touristes voir les mammifères marins sur son voilier
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As he read, I fell in love the way you fall asleep: slowly, and then all at once


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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyJeu 13 Juin 2024 - 22:03

 i've been dying for a night like this.



Elizabeth et William ont vécu dans un monde bien différent, à une époque où l’eau courante et l’électricité n’existaient pas et ou les normes d’hygiènes n’étaient pas du tout les mêmes. William avait eu la chance d’être éduqué en gentilhomme, même si son maitre était un alcoolique notoire, il lui avait appris les bons usages. Et puis William avait toujours voulu plaire à une certaine mademoiselle Turner et pour ça, il avait bien compris qu’il fallait respecter quelques règles. Son père ne l’aurait jamais laissé approcher Elizabeth s’il puait à des kilomètres et s’il se comportait comme un pirate… Sans oublier que le brun appréciait être propre, il ne s’était jamais complété dans la saleté comme un certain Jack Sparrow et même quand il avait vécu sur un bateau, il avait toujours tout fait pour garder un semblant de propreté. Aujourd’hui, cela était bien moins compliqué qu’à leur époque. Pas besoin de faire chauffer d’eau et de mettre tout sa dans une petite baignoire en bois, en espérant pouvoir en profiter avant que l’eau ne refroidisse. Non, ils pouvaient laisser couler l’eau pendant des heures s’ils le souhaitaient… Mais bon, il y avait un revers à la médaille : L’argent. Ici, tout avait un prix et il était certain qu’en prenant des bains tous les soirs, ses factures d’électricités et d’eau augmenteraient considérablement, sans oublier que c’était tout sauf écologie. William y était très sensible, parce que Dylan l’était et il savait que cela ne le quitterait, même si à son époque, parler d’écologie n’en était même pas à son balbutiement. Les inquiétudes étaient autres, mais son amour pour l’océan lui avait appris à la respecter… On ne joue pas avec les puissances de la nature car elles peuvent vous faire disparaitre en une simple fraction de seconde. « Oui…enfin tout dépend ce qu’on fait dedans. » dit-il en lui lançant un sourire complice en faisant référence à ceux que Dylan et Isla avaient fait dans la douche du brun et c’était tout sauf se laver…enfin si après.

« Elles le sont toujours » dit-il en parlant de ses mains qui caressent délicatement celle d’Elizabeth. Il a toujours travaillé finalement, même sous ses airs de petit serveur… Son corps n’a pas trop changé depuis son départ de port royal, il est toujours lui. Il ne sait pas le temps qu’il a passé ici sous l’identité de William, c’est assez flou, mais pas énormément de temps car si ça avait été le cas, la grossesse de sa femme n’en serait pas à ses débuts. Ou peut-être qu’elle a été mise en pause ? Tout lui semble possible à vrai dire, parce que rien n’est vraiment a porté de sa compréhension. Il vient d’un monde ou tout ça n’existe pas, et il n’a pour le moment pas trop envie de comprendre ce qui leur est arrivé, préférant se concentrer sur le plus important à savoir qu’ils se sont retrouvés et qu’ils peuvent enfin profiter de l’un et de l’autre, sans craindre d’être de nouveau séparés ou envoyés en prison. « Hmmm, une vie passionnante, toi qui adores la couture et parler de points. » dit-il amusé, en faisant référence aux conversations qu’ils avaient eu durant leur adolescence quand elle se plaignait de sa haine pour cette pratique. Elizabeth ne se serait surement jamais contentée d’une vie bien rangée, lui non plus d’ailleurs, ils se seraient ennuyés, mais William avait du mal à trouver ce qu’ils auraient pu faire. C’était très abstrait pour lui, dont la seule chose qui lui avait importé, c’était d’être tout simplement avec la femme qu’il aimait.

Il n’avait jamais vraiment réfléchi à ce qu’Elizabeth pouvait penser de sa condition. A son époque, les envies des femmes n’étaient pas sujets à conversation, contrairement à aujourd’hui, fort heureusement d’ailleurs. Pour son temps, William s’était toujours montré avant-gardiste, s’il était tombé amoureux d’Elizabeth c’était avant tout pour son caractère et son besoin de prendre sa vie en main. Avec elle il était sûr de ne jamais s’ennuyer et surtout, il savait que si elle souhaitait lui dire quelque chose, elle n’hésiterait pas. Leur relation s’était établie d’égal à égal et ça allait très bien au forgeron qui appréciait le rapport de force existant entre eux. Il n’avait pas pensé qu’elle puisse souffrir de sa condition de femme, surtout qu’elle avait eu de la chance, son père était un homme intelligent et surtout il aimait sa fille, il s’était toujours montré très clément avec elle, ce qui avait permis à Elizabeth de faire bien des choses que d’autres pères n’autorisaient pas à leurs filles. « Je dois donc m’enlever de la tête l’idée de l’épouse parfaite qui m’attendra bras ouverts à la maison en jouant du piano, avant de me raconter les potins mondains. » dit-il en plaisantant, préférant profiter de Lizzie comme elle était et cette vie allait leur offrir bien plus de possibilités qu’ils ne pouvaient l’imaginer. « Tu sais bien que je ne t’aurais jamais tenu en laisse… » Cela ne lui ressemblait pas. « C’est ça qui m’a plus en premier chez toi, ton besoin de t’exprimer et de ne pas avoir peur de dire ce que tu penses, tu étais différente de toutes les autres filles de Port Royal. » Et si cela dérangeait certains, ça avait été tout le contraire pour William Turner. « Mais tu m’appartiens…et je t’appartiens. C’est là tout la différence » finit-il par dire d’une voix posée en faisant référence à leurs vœux. Il comprenait très bien ou elle voulait en venir, mais il prenait plaisir à la titiller gentiment. Ce n’était pas une question de possessions, mais plus de choix, ils avaient choisi de s’unir l’un l’autre, de s’appartenir, de se faire confiance…

Leur petite table en terrasse est très agréable, il n’y a qu’une chose qui manque, c’est le bruit des vagues qui ne peut s’attendre d’ici, ils sont trop loin. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, William les a toujours entendus, il ne s’est jamais vraiment avancé dans les terres, mais a toujours gravité autour de l’océan et de ce qu’elle avait à lui offrir. L’idée de profiter d’un voyage en bateau pendant quelques jours, voir semaine, ne le quittait plus depuis pas mal de temps, même si ses souvenirs le freinaient un peu. « Tu es sure ? » lui demande t’il , toujours aux petites soins pour Elizabeth, et surement encore plus maintenant qu’elle est enceinte. Lui connaissait peu de chose en grossesse, mais il savait qu’elles étaient, par chance, bien mieux suivi ici que dans leur monde. « On peut toujours, mais je dois t’avouer que pour le moment, j’aimerai rester les pieds sur terre pendant une bonne semaine, ou deux. » précise t’il. William ne va pas vivre loin de l’eau très longtemps, mais pour le moment il a envie de profiter d’autres choses, histoire d’oublier un peu les jours qu’il a passé sur le hollandais volant. « C’est vrai que le confort du Maverick va nous changer la vie. » Le voilier est moderne, batterie solaire, moteur, chambre, douche… Le vrai confort du maison moderne… « Il faut qu’on y réfléchisse, histoire de voir le meilleur moment pour partir… » Puis il rajoute curieux. « Tu es déjà consulté quelqu’un pour ta grossesse ? » Il a envie de participer, après tout c’est son enfant aussi et lui aussi a envie de le découvrir.

Nul doute qu’ils doivent passer pour un jeu couple aux yeux des autres clients. Faut dire que c’est difficile pour eux de tenir la distance et ils ne mettent pas longtemps à se rapprocher. Il passe sa langue ses lèvres dès qu’elle se décolle, désireux de rapidement les retrouver. Ce repas va être long, mais c’est le premier qu’ils partagent vraiment, alors il a envie d’en profiter. Le sourire amusé de la serveuse en dit long, mais William se rassoit sagement sur sa chaise sans manquer de dévorer sa femme du regard avant de se plonger sur le menu. Il passe sa commande, puis une fois la serveuse partit, il rattrape la main de sa belle et caresse délicatement ses doigts, dont un, celui ou il manque son alliance. « Il va falloir que je te reforge une alliance… et la mienne aussi. » Puis William se souvient d’un détail important. « Sauf que je n’ai plus de forge… » Voila qui s’annonçait compliqué…

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Elizabeth Swann

Elizabeth Swann

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tonight it's time you realise, i'm going in hard. i'm going in one, two, three. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby, i can't loose. my drum is beating harder and when i break through i know the world will wonder why baby i was born a rebel child. dancing with the devil, i want to. born to be a rebel, i won't lose. i'm coming to get you, my heart is falling faster. baby i was born a rebel child.

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these violent delights
have violent ends.

and in their triumph
die life fire and powder.
which,
as they kiss,
c o n s u m e.

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THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.

i almost dropped my head and lost my faith. then i saw you from a distance, you were worlds away. you had me from the vision, i never looked away again. i still fall for you like suns do for skies. cerulean pouring in from your eyes. just a hollow moon that you colorized. so powerful, i feel so small but so alive. like watching the earthrise.



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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyMar 18 Juin 2024 - 15:48


tongue-tied, let our bodies talk. no sleep but i never wanna wake up as clear as a lucid dream. i think i'm falling for you now, and i let it take me over. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i follow the map on your skin, get lost in the mirror. i let another substance fix my heart waiting for the kicks to knock me out. i gave my life to the sin but i'm not a sinner : i got a love like chemicals.    (music) -- ft. @william turner.


la remarque du brun est véridique, et tu peux pas t'empêcher d'esquisser un petit sourire face à cette réalité. parfois, vous vous éternisiez un peu trop, parce que votre préoccupation n'était pas nécessairement dirigés vers les douches ou bains en eux même. et pourtant, tu décides de ne pas relever plus que ça, te concentrant sur ses doigts qui s'entrelacent entre les tiens. Tu souris légèrement, sentant qu'effectivement ses mains semblent malgré tout légèrement rugueuse encore, probablement car le travail manuel était quelque chose qui lui correspondait. Chose que toi, tu détestais de toute évidence, tu préférais te réfugier dans tes livres et enseigner à propos de ceux-ci plutôt que de réellement devoir mettre tes mains dans la labeur. Puis peu à peu, la discussion dérive sur ce que vous auriez fait si vous aviez eu cette vie si lambda qui vous était presque destinée, destin que vous auriez probablement saisit afin de vous assurer que vos vies ne soient pas aussi ennuyeuse qu'elles étaient supposées l'être.

Un légers rire s'échappe d'entre tes lèvres tandis que tu balaies la tête de gauche à droite. – quelle vie de rêve. Sans parler des thés quotidiens avec d'autres femmes et de toute les choses les plus lassantes et réductrice que tu aurais fini par devoir faire qui t'aurais probablement mener à une dépression quelconque. Puis le schéma familial habituel se serait produit, toi enceinte, puis toi devant t'occuper seule de l'enfant en question. Tu te serais perdue toi même, probablement éteinte même si l'amour t'aurait permis de garder la tête haute. C'était pas le genre de vie que tu voulais. C'était pas le genre de vie faite pour quelqu'un comme toi. tu peux pas t'empêcher d'imaginer la scène d'ailleurs, lui rentrant et toi au courant de tout les pottins qu'il soit. tu avais assez connaissance de ce monde pour savoir que les fameux pottins en questions auraient été croustillant, d'ailleurs tu aurais sans doute été la première à en rire avec will une fois que vous en parleriez. Le nombre de tromperie était affligeant, principalement car beaucoup des femmes de ton rang étaient mariées soit non par amour mais par obligation mais aussi, et surtout à pas mal de militaire ou représentant d'la couronne. Beaucoup partaient en mer à la chasse aux pirates, et toi parce que tu avais eu la chance d'avoir un père à l'écoute, tu aurais siroté ton thé en les écoutant prétendre être heureuse quand leur vie auraient été encore plus misérable que la tienne. – pourtant crois moi, ils auraient été croustillant ces fameux pottins. Tu dis d'un petit air rieur avant d'hausser les épaules, reprenant rapidement ton sérieux. – je sais. Tu réponds finalement en observant le brun. – mais même si tu m'avais laissé faire mes propres choix, y aurait toujours eu l'éternelle question du « mais ton mari est d'accord ? ». et tu savais que c'était la triste réalité des femmes de cette société : être constamment sous l'autorité d'un homme : d'abord le père, puis le mari, puis si celui-ci décédait et qu'un fils voyait le jour, du fils en question. – c'est hélas la triste réalité du monde dans lequel toi et moi avons évolués. Pourtant, t'es un peu flatté de savoir que ton éternelle tempéramment de tête brûlée avait eu son effet. Les quelques souvenirs de ton éternelle enfance, adolescence remontaient et tu peux pas t'empêcher d'avoir un légers rire nostalgique. – mon père m'a évité pas mal de problème. T'avais toujours été ce genre à te faufiler, tes gouvernantes s'arrachaient les cheveux quand tes robes claires finissaient boueuses ou tes cheveux trop emmêlés par une excursion un peu trop sauvage. T'avais aussi la fâcheuse tendance de répondre et de ne pas te plier aux désirs d'autrui : pour moins qu'ça des jeunes femmes avaient été envoyée en pensionnat mais ton père avait toujours apprécié que tu sois capable et en mesure de te défendre et de te faire entendre. Il avait toujours été le premier à fermer les yeux sur ton comportement et si tu te mettais à dos des personnes un peu trop importante parce que tu refusais des avances ou tu déclarais ouvertement que c'était absolument inadmissible qu'un homme le double de ton âge s'intéresse à toi, il adoucissait le tout. She's just a kid, qu'il disait pour excuser ton comportement. Nombreux avaient été ceux lui disant de tenir sa fille, de l'éduquer, mais il restait une personne proche de son altesse et de ce fait, ça avait été impossible de le menacer pour ton comportement car il avait les pouvoirs de faire virer quelqu'un si il le désirait. D'ailleurs t'étais chanceuse : parmi les filles que tu avais connue dés qu'une avait la fâcheuse tendance de prendre quelques libertées comme toi, elles finissaient souvent par se prendre une giffle. Toi, à chaque fois qu'un homme avait essayé de lever la main sur toi tu l'avais toujours tourné à ton avantage, soit en lui rendant littéralement soit en trouvant un moyen que ça lui retombe dessus. T'avais traité le monde d'une manière simple : manquez moi de respect et je m'assurerais que vous vous souviendrez de moi, mais pas pour les bonnes raisons. Tu peux pas t'empêcher de surfer sur la blague tandis que tu te penches vers lui, sourcil haussé et petit sourire en coin. – je n'appartiens à personne Monsieur Turner. Puis un légers rire s'échappe d'entre tes lèvres avant d'acquiescer d'un signe de tête. – mais si vous vous montrez persuasif, peut-être que je trouverais le moyen de faire une exception. Tu lui fait ensuite un clin d'oeil pour reprendre ta position initiale.

Dans tout les cas, l'idée d'aller passer quelques jours en mer ferait sans doute un peu de bien. S'aérer la tête loin du monde que vous connaissiez désormais et surtout, vivre presque comme avant, un confort évident en plus. – hey, on a tout le temps du monde devant nous. Tu avoues d'une petite voix en gardant ses mains dans les tiennes, comme pour lui démontrer que maintenant ou dans trois semaines, dans un mois ou deux, ça changerait rien. Vous aviez la vie devant vous. La vraie vie. Tu acquiesces finalement d'un signe de tête, plutôt contente de cette éternelle nouvelle maintenant que tu savais qu'il serait de la partie. – ouais, c'est comme ça que le diagnostique est tombé. J'ai évidemment quelques rendez-vous prévu mais dans l'immédiat, rien de bien extraordinaire. Juste un suivi au cours des mois à venir et on a plus qu'à espérer que tout aille pour le mieux. Évidemment que tu savais que c'était loin d'être gagné, que les risques étaient nombreux et que tu devrais être extrêmement prudente mais à tes yeux, c'était rien que tu ne pouvais pas surmonter, au contraire. T'étais assez excitée par cette aventure : honnêtement.

Tu peux voir que cette histoire d'alliance semble lui tenir à cœur, peut-être plus qu'à toi pour tout dire. Non pas que tu t'en fiche, mais à tes yeux t'as pas besoin de ça pour démontrer ton amour envers lui, même si de toute évidence, l'avoir directement au doigt indique clairement ton statut marital. – hey. Tu dis en venant glisser ta main sur son visage, le forçant à redresser le regard pour te regarder. – te prends pas la tête avec ça. On peut … acheter quelque chose de pas excessivement cher en attendant que tu puisses forger ça ? Histoire d'avoir au moins quelque chose ? Tu dis d'une petite voix en souriant avant de te pencher légèrement en avant et déposer tes lèvres au coin des siennes. Vous aviez vraiment pas besoin de vous précipiter, parce que encore une fois, vous aviez tout le temps du monde.

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MessageSujet: Re: i've been dying for a night like this. (ft. william) i've been dying for a night like this. (ft. william)  EmptyJeu 20 Juin 2024 - 23:20

 i've been dying for a night like this.



Il ne peut s’empêcher de rire en entendant le non plaisir dans la voix de sa femme. Elizabeth n’a jamais été comme les autres femmes de son époque. Il sait très bien qu’elle n’a jamais apprécié les longues conversations mondaines ou chaque parole est pesée et ou l’on doit surtout ne jamais dire ce que l’on pense. Il s’agit avant tout de répondre ce que les autres veulent entendre. Surtout ne jamais froisser les gens, ne pas dire un mot déplacé, être une jeune femme bien sous tout rapport qui ne dit jamais un mot trop haut, qui ne rit jamais trop fort. William n’avait jamais vraiment réfléchi à la condition des femmes de son époque, il ne s’était jamais posé plus de questions que ça à ce sujet. Il était juste tombé amoureux d’Elizabeth, et il avait toujours tout fait pour la rendre heureuse. Ce qu’il aimait avant tout c’était son caractère et il n’avait jamais eu envie de le briser, mais plutôt de le protéger. Elizabeth avait sûrement eu de la chance, et William aussi, de côtoyer le père de la jeune femme qui malgré son statut, avait toujours permis à sa fille de s’exprimer. « Tu as oublié, t’occuper des enfants pendant que me serais occupé de gérer le domaine… » Cette idée n’enchantait pas William, plus habitué à travailler dans sa forge que de devoir gérer des chiffres et de l’argent. Il aurait sûrement pu continuer à travailler à la forge, mais pas comme un métier, plus comme un passe-temps. En épousant Elizabeth, il n’avait pas épousé que la femme qu’il aimait, mais aussi ce qu’elle possédait, son titre et ses richesses. Cela n’avait jamais intéressé William, mais il n’aurait pas pu y réchapper, cela aurait fini par lui incomber. Enfin, ça c’était s’il n’avait pas été soumis à une malédiction millénaire en devenant le capitaine d’un bateau fantôme… « Ce monde offre tellement plus de liberté. » Que cela soit pour elle ou pour lui. Ils étaient libres d’être qui ils voulaient, d’entreprendre ce qu’ils désiraient et c’était une chance qui ne leur avait pas été offert à l’époque. « C’est vrai que certaines de tes connaissances étaient particulièrement doués pour raconter des potins. » Il esquissa un sourire en repensant au moment, ou ils s’étaient retrouvés pendant l’année ou ils avaient vécu à port Royal. Il arrivait parfois à Lizzie de le retrouver pour lui raconter tout ce qu’elle avait entendu, et ils riaient ensemble des déconvenues sentimentales de certaines femmes ou des aventures du chat d’une des voisines d’Elizabeth. « C’est quand même assez incroyable de se retrouver dans ce monde… » dit William en observant sa femme, caressant sa main avec tendresse. « Oui et je serais passé pour un avant gardiste… » Ce qui était assez amusant quand on le connaissait. Parce que dans le fond, il était plutôt du genre à suivre le mouvement. Sa vie n’aurait jamais été très pimenté si Jack n’était pas arrivé dans sa vie. « Ce n’est plus le cas Lizzie… Plus maintenant… » Il se pinça les lèvres tout en réfléchissant à ce qu’il venait de dire. En vérité, les choses n’étaient pas tellement différentes, ça avait juste changé. « Que ce soit ici ou chez nous, les gens jugent toujours autant… » Il suffisait de voir ce qui se faisait sur les réseaux sociaux et ce que cela causait chez certaines jeunes. « La seule différence c’est que la condition de la femme à évoluer, mais pour le reste, ce n’est pas si différent. Ici ou là-bas, il y aura toujours quelque chose pour déplaire à quelqu’un. » Hélas pour ça, rien n’avait changé. « Je l’appréciais énormément… » dit-il en parlant de son père… C’était un homme de valeur qui lui avait donné sa chance, et qui avait surtout accepté qu’un forgeron épouse sa fille. Beaucoup d’autres auraient refusé sa demande, mais pas lui. Il ne peut s’empêcher de glousser quand elle le taquine sur le fait qu’elle n’appartienne qu’à elle. « Moi je suis tout à toi. » lui dit-il, appréciait le fait de lui appartenir, bien qu’il comprenne très bien ou elle voulait en venir. « Mais je sais me montrer très persuasif. »

Le temps… William a toujours ce sentiment de courir après… Il n’est plus maudit, mais une partie de lui se souvient de l’urgence, de ce que la vie peut vous prendre. « Je sais… » dit-il avant de rajouter. « C’est juste que j’ai du mal à remettre les choses à plus tard… » A chaque fois qu’ils l’avaient fait ça avait toujours mal terminé. William allait avoir besoin de temps pour se poser et comprendre qu’ils ne risquaient plus rien ici. Qu’ils pouvaient prendre le temps de vivre, sans écouter le tic tac du temps qui s’écoule contre eux.

« N’empêche que je t’ai toujours pas amené dans la petite crique que j’avais en tête quand tu t’es souvenu de qui tu étais… » William avait préféré rebroussé chemin pour éviter que cela ne devienne trop compliqué. Maintenant, il comprenait parfaitement sa réaction, mais sur le bateau, il s’était senti totalement désemparé. William sent son chien se laisser tomber sur le côté, sur ses pieds. Il n’y a pas plus collant qu’Ice qui apprécie le contact humain et n’a de cesse de le chercher, même quand il dort. « Rien d’extraordinaire… Elizabeth, imagine si on était dans notre monde… » Elle n’aurait jamais pu avoir un tel suivit, c’était une chance de pouvoir donner naissance à un enfant dans ce monde. « Je ne préfère pas imaginer comme les médecins géraient les grossesses à notre époque. » En fait personne n’en parlait, c’était un secret de polichinelle que les femmes se transmettaient entre elles. Les hommes eux se contentaient uniquement de l’acte reproductif. Le reste importait peu. William lui était heureux de pouvoir suivre cette grossesse en compagnie de Lizzie, de pouvoir participer et d’être là avec elle durant cette période qui n’arrivait pas si souvent dans une vie. « Tu me diras, j’aimerai venir avec toi, enfin si tu es d’accord. » Il ne voulait pas s’imposer, mais c’était important pour lui.

Il ferme les yeux au contact de sa main contre sa peau et frémit à son contact. Sa main se referme sur les doigts fins d’Elizabeth et il les embrasse avec tendresse. « C’est important pour moi de les forger… » Une nouvelle fois, parce qu’il avait mis énormément de cœur dans les précédents. « Mais oui… On peut toujours trouver une alternative en attendant. » Le truc c’est qu’il connaissait son compte en banque et qu’il n’était pas vraiment prêt de pouvoir lui offrir une belle alliance et ça l’embêtait un peu. La douceur des lèvres d’Elizabeth se pose sur les siennes et il répond avec douceur avant de lui sourire avec tendresse. C’est à ce moment que la serveuse revient avec leurs boissons et des gressins, histoire de les faire patienter. Parfait parce qu’il meurt de faim. « Je crois que je vais vite m’habituer à cette nouvelle vie. » dit-il en tendant son verre vers la jeune femme, histoire de trinquer à les retrouvailles.

@Elizabeth Swann
KoalaVolant

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