Caractère  

    colérique, d'extrêmement mauvaise foi, facilement blasée, hautaine, jugeante, baguareuse, impulsive, bruyante, problème de colère, facilement blasée, un peu traumatisée, bien plus sensible que tu le laisses paraître, bornée, resting bitch face, bon fond, looks like could kill you, will actually kill you.

   

Pouvoirs  

    il y a trois deux de pouvoirs que l'on peut déceler chez toi.
d'abord tes pouvoirs en tant qu'individu à proprement parler :
- tu peux voler, tu as une forces sur-humaine, une vitesse sur-humaine, vision infrarouge, tu peux aussi émettre des rayons lasers par les yeux, ouïe super développée, tu peux survivre dans l'espace ainsi qu'à l'acide et aux explosions. tu as la possibilité de tourner sur toi même pour créer des tornades et enfin, si tu frottes tes bras à grande vitesse tu peux créer des boules de feu.

tu as ensuite des pouvoirs particuliers lorsque tu collabores avec tes soeurs ;
- ensemble vous pouvez foncer vers un enemie qui vous permet de créer une boule de feu (en forme de chat, pas très flippant, tu l'admets). en pivotant sur vous mêmes simultanément, vous pouvez créer une boule d'énergie, en usant des rayons lasers que vous combinez ensemble vous en créez un plus puissant et enfin vous pouvez vous retrouvez dans les rêves de l'une et de l'autre, vous aidant en cas de situations d'hypnose.

   
   

   

L'histoire de ton personnage  

    Raconte l'histoire de ton personnage dans son univers d'origine. tu sentais les deux paires d'yeux rivées vers toi tandis qu'en face de toi, c'était plutôt une incompréhension évidente qui se lisait dans ses yeux à lui. y avait plus aucun bruit, les couverts n'étant même plus utilisés tandis que l'information que tu venais de donner était doucement en train d'être digérée.
toi, tu clignes enfin des yeux, permettant alors à ces premières larmes de couler sur tes joues rondes tandis que toute cette attention était toujours dirigé vers toi. qu'on s'le dise, tu détestais être au centre de l'attention. belle était bien plus douée que toi pour ça, et toi, ça t'allait d'être celle qui donnait l'impression de tuer le premier qui t'approcherait trop de manière inapproprié. pour tout dire, te voir pleurer était rare, pire encore devant tes sœurs. et pourtant, te voilà, laissant ces perles claires habiter tes joues le temps de leur descente.
le bruit de ses couverts raisonnent enfin tandis qu'il semble soudainement plus fasciner par son steak que par toi. tu l'connaissais assez pour savoir que c'était un système de défense et non juste pour t'ignorer, qu'il essayait de réfléchir et de gagner du temps sur sa réponse parce qu'ils savaient, tous, que t'avais cette fâcheuse tendance à être incontrolable.
tu peux voir la rouquine ouvrir la bouche mais très vite la refermée, principalement car elle même devait être aussi retourné par la nouvelle que votre pseudo père. et t'osait même pas tourner ton regard vers la blonde qui elle, démontrait de manière évidente dans son regard qu'elle était totalement brisée par ta prise de parole.

t'avais essayée. tu avais ravaler cet égo et tu avais réfléchis pour ne pas laisser ton impulsivité prendre le dessus et toi. t'avais prétendu et le simple fait que t'étais réputée pour toujours tirer la gueule t'avais aidé pas mal à ne pas trop prétendre : t'avais juste menti sur les raisons quotidiennes de tes plaintes constantes. – du coup on fait quoi ? tu sens le jugement dans la question d'la rouquine. tu balaies la tête de gauche à droite, haussant innocemment les épaules. – vous pouvez continuer. elle s'exaspère, balançant sa fourchette dans son plat et toi, t'as l'air un peu intimidé. Peut-être car on s'attendait de toi que tu sois l'éternelle méchante de service mais pour tout dire, belle pouvait se montrer particulièrement caractérielle. c'est peut-être pour ça que ces dernières années t'avais eu de plus en plus de mal avec tout cet acte. t'aimais ta sœur. sincèrement. et tu tuerais pour elle ou pour bulle, mais sur le point de vue « professionnel » t'avais de plus en plus de mal à réellement t'entendre avec elle. est-ce qu'on pouvait appeler ça « professionnel » d'ailleurs ? vous étiez même pas payé. – on est une équipe rebelle ! tu savais qu'elle avait raison, que dans l'fond, sans toi ça serait pas pareil. mais toi, tu voulais, ne pouvais simplement pas envisager d'continuer. pas quand ta santé mentale était autant en péril. mais ça personne ne s'en était rendu compte, trop omnibulée par leur propre nombril. pas même celui qui ayant promis d'vous protéger. – j'peux juste plus. t'avais même pas faim, estomac entièrement coupé par la tristesse que tu ressentais, les larmes continuant d'couler sur tes joues. Et si la rouquine s'apprête à te reprendre à la volée, c'est la voix du professeur qui s'élève dans la pièce. – qu'est ce qui arrangerait ta situation rebelle ? tes yeux se tournent vers lui et tes sourcils se froncent. – qu'est ce qui te ferait te sentir mieux ? Tu savais que si ils tentaient tous tant bien que mal de te garder ici, c'était parce que votre objectif principal en tant que super-héroïne, c'était de mettre vos besoins après ceux des habitants de townsville. Vous aviez grandi, vous étiez plus forte, au même titre que him, mojo jojo et tutti quanti qui revenaient toujours avec des idées plus forte et plus déroutante pour vous mettre des batons dans les roues. – quelque chose que vous ne créerez pas dans votre laboratoire professeur. tu sens bien qu'il attend ta réponse, pendu à tes lèvres. – une vraie vie. J'veux pouvoir me faire des amis, vivre des aventures uniques. J'veux quitter townsville et découvrir le monde. J'veux tomber amoureuse, découvrir les plaisirs d'la vie. J'veux danser dans des clubs, me retourner l'cerveau avec l'alcool pour essayer. J'veux avoir un objectif de vie qui est différent de celui qui est de ce concentrer sur le bien être d'autrui. J'veux penser à moi et moi seule. J'en ai marre de penser aux autres, de sauver la ville et de devoir abandonner tout mes projets juste parce que le maire nous appelle. Je veux être libre. Les larmes continuaient d'couler sur tes lèvres mais l'enthousiasme avec lequel tu avais dis ces mots démontraient que tu gardais tout pour toi depuis trop longtemps. – je veux juste découvrir le vrai sens de la vie. Tu sentais qu'il y avait une éternelle déception dans tout ça, que cette famille qui était pourtant tienne ne semblait pas soutenir ta décision et ça t'faisait du mal de l'admettre. Mais de l'autre côté tu devais penser à toi, penser à ton propre bien être et à ta survis et dans l'immédiat, tu t'sentais toucher le fond. Le silence devenait pesant quand enfin une voix, plus fuette que les votre raisonne. – si c'est ce dont tu as besoin pour être heureuse … alors j'serais la première à te soutenir. Tu tournes ton regard vers la blonde, dont le regard était vers le bas. La tristesse se lisait aussi sur ses traits tandis qu'elle réalisait que votre petit cocon personnel s'effritait doucement et que l'impensable avait fini par arrivé.
Le temps passait et vous vous étiez juré que vous resterez soudée malgré l'adversité. Et pourtant, là, tu décidais d'partir de ton côté sans une once de remord. – oui, townsville a besoin d'nous. et non, ça sera jamais pareil si t'es pas là. Mais avant d'être cette sauveuse à temps plein, t'es ma sœur. Et je préfère te savoir loin mais heureuse qu'avec nous et malheureuse. Les mots d'la blonde font que tes larmes coulent plus violemment. Ses mots sont tels un pansement sur ton petit cœur et c'est peut-être la plus belle preuve d'amour que quelqu'un ait pu faire. tu l'observes pendant quelques secondes tandis qu'elle fait tourner sa fourchette dans son assiette. Et enfin tu redresses le regard vers le professeur et la rouquine. Le silence règne, pendant quelques secondes uniquement. – en tant que professeur je te dirais que cette décision est irresponsable, et qu'on a sincèrement besoin de toi rebelle. Tu t'sens d'autant plus minable et tes larmes s'apprêtent à redoubler jusqu'à ce que sa voix raisonne encore. – mais en tant que père, je ne pourrais jamais me regarder dans un miroir si tu étais malheureuse car je t'ai empêché de faire ce que tu voulais de ta vie. Enfin, tes yeux l'observe, l'incompréhension se lisant dans ton regard tandis qu'il semblait dévasté mais sincère. C'était peut-être la première fois que les termes étaient employés. Les vrais. – quoi que tu décides, tu resteras ma fille. Vous le resterez toute toujours. Il tend ses mains sur la table, main saisie par bulle, puis par toi. quant à belle, elle balance sa fourchette avant de se lever et de quitter la table. – belle ! Elle se retourne pas tandis que tu l'observes et que tu t'apprêtes à te lever pour lui parler. Mais très vite, la main de plutonium se referme sur la tienne. – je vais lui parler. Contente toi de te concentrer sur toi. tu acquiesces tandis qu'il se redresse, dépose ses lèvres sur ton crâne puis celui de la blonde avant d'avancer dans la même direction que la rousse. Tu essuies doucement tes lèvres et très vite la voix fluette de la blonde raisonne encore. – promets moi juste qu'on arrêtera pas nos soirées self care. Un légers rire s'échappe d'entre tes lèvres tandis que tu lui tends tes mains. – j'ai besoin d'une manucure ce soir, tu crois pas ? C'est son rire à elle qui s'enchaîne avec le tiens et tu balaies la tête de gauche à droite, réfléchissant déjà la couleur qui viendra orner tes ongles.

    Raconte l'histoire de ton personnage depuis qu'il n'y a plus que la Terre 1218. T'étais Victoria Colson, nom d'artiste étant Vee, jeune tatoueuse au caractère bien trempée. T'es pas l'genre à qui on avait énormément envie de parler, probablement car justement t'en effrayait plus d'un et t'es difficile quand il s'agit de faire confiance, mais quand on commence à te connaître, on s'rend rapidement compte que t'es une personne relativement sympa. L'éternelle aesthetic relativement dark t'as souvent attiré les regards curieux d'autrui et toi, tu t'amuses juste à marquer la peau des autres avec tes propres chefs-d'oeuvres. Tu te pensais orpheline, et tu t'es retrouvée régulièrement suivie par un homme dans la cinquantaine. Tu pensais vraiment qu'il était bizarre et alors que tu étais en route pour lui régler ses comptes, tu t'es finalement souvenu qu'il s'agissait ici de celui qui autrefois avait été ton père. Professeur Utonium et tout t'es revenu. Tes soeurs, ton passif, townsville, tes pouvoirs et ta dispute évidente avec les membres de ta famille. Et depuis t'as décidé de garder ce prénom, Victoria tout en y ajoutant le nom de cette figure paternelle. Contrairement à lui, tu cherches pas spécialement à retrouver tes soeurs. Non pas que tu les aimes pas, mais tu n'as pas l'énergie pour te battre contre Belle. Tu t'inquiètes pour elle, mais tu ne montres rien malgré l'amour infinie pour elles. Tu te contentes de rester le plus discrète possible concernant cette ancienne vie d'super héroïne que tu veux garder derrière toi malgré tout - parce que tu kiffes bien plus ta vie maintenant qu'à l'époque et te détacher de tout ça restait la meilleure décision qu'il soit.
   
   

   Prénom ou pseudo zitti e buoni.
   Age 28 ans pour encore trois semaines seulement
   Comment avec vous découvert le forum ? je sais pluuus
   Quelque chose à dire ? prout