L'histoire de ton personnage
Raconte l'histoire de ton personnage dans son univers d'origine.Je m’appelle Violette. Violette Parr et je suis la soeur aînée de Flèche et J.J. On a tout d’une fratrie normale. Enfin non pas vraiment. Nos parents sont des super-héros : Mr Indestructible et Elastigirl. Et de ce fait, on a eu tous les trois le droit au gêne des Supers : De mon côté, je suis apte à me rendre invisible et à générer des champs de force. C’était plutôt sympa ça, surtout pour malmener mon cadet.
Dans notre monde, être un super-héros est presque commun. Défendre la ville aussi. Tout du moins, ça l’était, avant ma naissance. Un an avant ma venue au monde, les Supers ont été interdits. Leur identité secrète devait devenir leur seule et unique identité. Je vous dis pas le carnage. Naître avec des super-pouvoirs et devoir vivre comme tout le monde : « être normale ». Le carnage je vous dis. Je ne me suis jamais sentie normale. Jamais. A côté de ça, on ajoute en prime une timidité débordante et un estime de moi peu élevée : résultat, déclarer ma flamme à Tony Ridinger, c’était clairement pas la facilité suprême.
Finalement, mon père se prend en tête de revenir à sa vie d’avant : Mr Indestructible et au fond, on fini tous par être embarqué dans le tourbillon, surtout avec l’engouement d’Edna Mode, la créatrice de tenue de super-héros la plus cool de tous les temps. Bizarre aussi je dis pas mais cool. Syndrome fut le premier ennemi contre lequel nous dûmes lutter : la Famille Indestructible, pour la première fois luttant ensemble. Et je dois avouer que c’est quelque chose qui m’a plus. Au début du moins.
Parce qu’après, ça a été le retour des super-héros, j’ai tapé une légère crise d’ado mais j’ai finalement repris contenance en me rendant compte qu’être une super-héroïne, c’était pas donné à tout le monde et que j’avais le devoir d’aider. Autant que je le pouvais je dirais. Bon bien sûr, j’avais fait la gaffe de me montrer à visage découvert face à Tony et vu qu’il avait eu la mémoire effacée, se souvenir de moi était bien trop compliquée pour lui.
Bref, problème de fille. Comme je disais précédemment : les Supers finissent par revenir en force. Nos parents en danger face à l’Hypnotiseur, c’est à nous de jouer. On fini par les retrouver et encore une fois, on lutte ensembles, accompagnés d’autre supers pour stopper la menace. Les héros réintègrent par la suite l’espace public. Après notre succès : j’ai renoué avec Tony.
Il faut croire que vivre ces nombreuses aventures m’ont permis de prendre plus confiance en moi et de laisser ma timidité de côté. Tentant de faire tout mon possible pour conserver ne serait-ce qu’un monceau de vie sociale, je suis sortie avec Tony pendant quelques années après ça. Cinémas, restaurants, bowling. Comme des ados ordinaires. Ce qu’il était lui après tout. Je commençais à réussir à avoir une vie normale, tout en étant libre d’utiliser mes pouvoirs tant qu’un masque noir cachait mon regard.
Bon bien sûr, bien qu’on grandissait, mon plus grand amusement demeurait toujours d’utiliser mes champ de force sur mon frère. Cette terreur le méritait bien. Quand j’ai su que mon petit frère Jack-Jack eu le droit d’être malmené à l’école, j’ai cru que j’allais exploser. Il fallut la super-force de Mr Indestructible et l’élasticité d’Elastigirl pour nous contenir Flèche et moi.
Puis j’ai vieillie, j’ai grandie et j’ai quitté le lycée. Je ne suis partie à l’université où j’ai suivie des études de droit pour devenir avocate. Je voulais d’un métier sérieux et surtout pouvoir aider les autres, un peu plus qu’en utilisant uniquement mes pouvoirs. A côté de ça, mon histoire avec Tony s’est intensifié. Il m’a suivi à l’université, on s’est installés ensembles.
Jusque là tout va bien.
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« Je te jure que tu vas me le payer sale garce ! » il m’attrape par les cheveux sans que je n’ai le temps de réagir et m’envoie contre le mur. Le choc est tellement violent qu’il me coupe le souffle. Je tombe sur le sol, quelque peu sonnée. Moi, la fille invisible, décontenancée et menacée par un humain ordinaire. Bon, il devait peser bien plus lourd que mon poids plume. Oui, Tony s’était trouvé un malin plaisir à faire de la muscu à défaut de sortir avec une super-héroïne dont le père possède clairement une force surhumaine.
J’avais eu le malheur de lui tenir tête étant donné que cela faisait plusieurs semaines que je savais qu’il prenait des emphétamines pour avoir plus d’énergie et faire plus de sport. Toujours plus. Alors qu’il charge sur moi après avoir aperçu le rideau bouger, je me concentre et crée un champ de force pour l’envoyer valser à l’autre bout de la pièce
« Tony, je ne veux pas te faire de mal alors arrête ! » Hurlais-je. Mais c’était comme parler à un mur. J’étais fatiguée par les cours. J’étais fatiguée de l’attendre le soir alors que je savais parfaitement où il passait ses soirées.
Je le regarde se relever, furieux alors qu’il me jette la chaise dessus. Je l’évite de justesse
« Alors Madame Invisible, je te fais peur ?! Défends toi Violette, à moins que t’apprécies que j’ai l’ascendant sur toi ? » il me gifle avant même que j’ai le temps de comprendre ce qui venait de se passer. La force de sa gifle fait saigner ma lèvre. Lorsque le sang goutte sur le sol, je comprends le danger qu’il représente. L’amour rend aveugle comme on dit, l’amour rend fou. L’amour m’a rendue stupide. Il me fixe avec un regard rempli de rage et de colère parce que j’ai osé lui dire que je savais qu’il se tapait ma meilleure amie à l’arrière du gymnase
« C’est la dernière fois que tu lèves la main sur moi Tony ! » Lâchais-je en passant ma main sur mes lèvres
« T’es qu’un poids plume Violette et tes pouvoirs n’y changent rien. Je peux t’écraser comme une allumette ! » Il se rue sur moi tandis que je réussis à m’échapper de justesse et cours jusqu’à la chambre avant de m’y enfermer. Je m’empare de mon portable et compose le numéro de mon père
« Papa. Tony est devenu complètement dingue. Il m’a frappée. Viens me chercher, s’il te plait, viens me chercher. » « Je vais le tuer ! J’arrive tout de suite Violette ! Ne bouge pas, reste où tu es ! » __________
Comme vous vous en doutez, il a fallut que j’empêche mon père de le réduire en miettes et ce n’est pas qu’une façon de parler. A l’instant même où Tony a ouvert la porte après m’avoir cherché dans tout l’appartement, il l’a attrapé et j’ai cru qu’il allait le tuer. Je l’ai arrêté et la police a été contactée et Tony embarqué. Je me suis jetée dans les bras de mon père et lui ai demandé de me ramener à la maison, souhaitant terminer mes études à distance.
Je suis donc revenue chez mes parents avant d’apprendre que Tony Ridinger avait été diagnostiqué pervers narcissique et qu’il était hospitalisé. Je me sentais coupable parce que je n’avais pas été capable d’agir face à lui. Je n’avais pas agi comme l’héroïne que je suis censé être. Et il m’a fallut longtemps avant de comprendre que je n’avais pas à m’en vouloir. Mes parents et mes frères ont été d’une grande aide pour me remettre sur pied suite à cela.
Après tout ça, j’ai obtenu mon diplôme en droit et suit devenue avocate. A côté de ça, mes parents créent la Ligue Indestructible réunissant tous les plus grand supers du monde entier.
A côté de ça, je trouve un petit appartement en centre-ville et commence mon travail tout en luttant activement avec la Ligue pour protéger la ville sous mon identité de Fille Invisible, car c’est le nom qui m’a été donné. D’ailleurs, c’est durant l’un de nos nombreux combats que j’ai fais la rencontre de Marcus Best alias Inferno et ça a été le véritable coup de foudre. Chose étonnante : c’est le fils de Lucius. Et l’amour, ça a été réciproque.
On s’est fréquentés pendant deux ans avant d’officialiser. L’année suivante, on était mariés et je suis devenue Violette P. Best, conservant cependant mon nom de jeune fille par l’initiale. J’ai compris que j’avais cherché Marcus toute ma vie : bienveillant, doux, gentil, attentif et surtout sexy, parce que c’est quand même important. Mais c’est surtout le courage et la force de caractère qui m’ont conquise, encore plus que son côté gros nounours protecteur.
A côté de notre vie à défendre le crime au sein de la Ligue, j’étais heureuse de voir que Marcus arrivait à canaliser Flèche qui malgré le fait qu’il ai vieilli continuait d’être Flèche… Puis j’appréciais qu’on passe des soirées avec mes parents mais encore plus nos soirées tous les deux.
Puis J.J a eu 25 ans. Frozone, mes parents et les Supers de leur génération ont rangé les super-costumes et c’était désormais à nous d’assurer. J’ai donc pris la tête de la ligue et a continué à combattre le crime tout en gérant une vie secrète bien remplie à côté. Puis notre univers s’est effondré.
Raconte l'histoire de ton personnage depuis qu'il n'y a plus que la Terre 1218. Je m’appelle Ruby. Ruby Renaldi. Le rubis étant la pierre précieuse préférée de ma mère, ceci explique mon prénom. Bref, tout le monde s’en fout. J’ai perdu mon père quand j’étais encore petite, c’est ma mère qui m’a élevée avant de mourir à son tour alors que je venais d’atteindre ma majorité.
Je me suis de ce fait débrouiller seule. J’ai pris un boulot alimentaire à côté de mes études littéraires pour devenir écrivain. Je voulais écrire des romans qui parlent de héros, de supers-héros qui sauvent le monde grâce à leurs pouvoirs. J’avais en tête des romans qui seraient différents de tout ce qu’on peut déjà lire. Côté amour, j’ai toujours été assez timide et je n’ai jamais trouvé chaussure à mon pied si on puit dire alors je me suis concentrée sur mes cours à défaut de mon boulot.
J’ai terminé l’écriture de mon premier roman alors que j’attaquais ma dernière année d’études. Je l’ai publié et j’ai rencontré un succès énorme. Mes études terminées ce sont ensuivis le second roman, puis le troisième…et trois ans plus tard, j’en étais déjà à 8 romans publiés et à un succès planétaire. Tous mes romans avaient une jeune fille en personnage titre qui se découvrait des pouvoirs après des années à avoir vécue comme une fille normale. Elle se devait de combattre le crime tout en cherchant des réponses sur son passé. Dans mes romans, y’a toujours eu des super-héros, de la baston, du danger et de la bonne fin.
Ma vie se résumait à écrire, être publiée, répondre aux interviews et ainsi de suite. Puis un beau matin, ça m’est tout revenue. Tout. J’ai finalement compris pourquoi c’était important pour moi d’écrire sur les super-héros, pourquoi je les aimaient tellement et surtout pourquoi j’avais l’impression de connaître le propriétaire du Comic’s Burger.
Il me fallut pas beaucoup de temps pour retrouver l’usage de mes pouvoirs après avoir retrouvé l’intégralité de ma mémoire. Qu’en était-il de mes frères ? Des mes parents ? De Marcus ? De la ligue ?! Des centaines de questions sonnaient dans ma tête et j’allais trouver les réponses. Je m’en fis la promesse. Puis peut-être reformer la ligue, qui sait…