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Zangetsu

Zangetsu

Le procès du TVA

Crédits : @CORVIDAE (avatar)
Univers : Bleach
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Κ Ι И ▓▓▓▓▓

Je ne vais pas le faire, Ichigo. Je ne sais pas à propos de Zangetsu, mais je refuse de porter un roi qui est plus faible que moi. Si tu es plus faible que moi , alors je vais te détruire, et prendre ta couronne pour moi-même.

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Age : trop vieux pour être compté, trop flou pour être énuméré.
Occupation : agent du TVA (anciennement zanpakuto de shinigami, c'est compliqué)
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虚(ホロウ)一護
Horō Ichigo

(一護の内面(ないめん)の虚(ホロウ)
Ichigo no naimen No Horō[

一 白一護
Shiro Ichigo

"─ Qui suis-je? Je n'ai pas de nom !"

Tu as mis tellement de temps à me baptiser, mon roi. Tu es un crétin. Un imbécile. Un aveugle.
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TVA DE SES MORTS !

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MessageSujet: clap du début final • ft. nérée clap du début final • ft. nérée EmptyDim 4 Aoû 2024 - 12:57
Le procès du TVA


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04/08/24 - Cinéma, Novacrest - ambiance



Tu t’es accordé une curiosité. Un temps de pause dans une salle de cinéma, où tu étais en train de regarder le dernier film de super-héros en vogue. C’était une expérience agréable, tu n’allais pas cracher dessus. Agréable et drôle, car tu trouvais le personnage intéressant. Loin d’être chiant et barbant comme tous ces autres pseudo-héro qui cherchent reconnaissances, buts et utilités à leurs dons, celui-ci a plutôt l’air de s’amuser de la situation et de se moquer ouvertement des autres. Il y avait de l’audace et du sang ; tu adorais. Seulement voilà, toutes les bonnes choses ont une fin et le générique est projeté. Les plus pressés quittent la salle, tandis que toi, tu restes. Tu étales tes jambes en les posant sur le dossier du siège devant toi, car à être resté assis ainsi confortablement pendant plus de deux heures, tu sens celle-ci s’engourdir. Pour autant, ce même confort t’empêche de partir tout de suite. Tu as envie d’en profiter encore un peu. Tu n’as pas fini ton popcorn en plus de ça, alors tu regardes même le générique.

Ce défilé de nom barbant qui n’intéresse personne. Qui ressemble plutôt à une politesse et des remerciements, alors que la moitié d’entre eux aura subi la pression des producteurs et auront perdus des cheveux sur le tournage.

Tu n’es pas le seul à attendre la fin du générique et tu n’es pas le seul non plus récompensé de ton attente, puisqu’une scène se déclenche et tu voies ce même héro en peignoir, toujours avec son masque, s’adressait directement à vous. Tu ne saisies pas le concept même de “briser le 4e mur” et tu crois donc qu’il est bel et bien là, à vous parler. « Tu prends ta douche avec aussi ? » Lances-tu à l’attention de l’écran, mais pas de réponses. Tu ne t’offusques pas et tu ne fais pas remarquer plus que ça, puisque ta remarque passe pour un commentaire amusé dit à voix-haute plus qu’une réelle tentative de dialogue avec des images enregistrées.

L’écran s’éteint et là cette fois-ci, c’est bel et bien fini.

Les quelques spectateurs qui étaient encore là, à attendre jusqu’à la fin, s’en vont et la salle se vide de ses derniers habitants. Quant à toi, tu te retrouves seul. Tu n’as pas envie de partir. Tu n’as pas eu ta dose. Tu as envie de regarder autre chose, mais il n’y a pas d’autres séances prévues. Le personnel du cinéma à lui-aussi envie d’aller se reposer et se coucher.
Chose que tu refuses, bien évidemment. Tu plonges dans un petit caprice et comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, tu comptes bien trouver la salle où sont stockés les bobines pour t’en faire une nouvelle. Tu ne cherches pas à te cacher, ni à cacher tes attentions. Tu triches parfois en bifurquant à la dernière minute et en te faisant passé pour un membre du personnel. Peu sérieux, on ne va pas se mentir, puisque tu jettes le panier en papier vide nonchalamment au hasard sur ton chemin, mais va savoir. Ça fonctionne. Pas de masque cette fois-ci. Ton expression faciale neutre suffit pour convaincre les rares qui te barraient la route et tu peux sans doute remercier le ciel pour ton incroyable chance. Ou ton culot sans borne. « J’vais fermer les portes, t’inquiète. Rentre, t’as l’air crevé. » Faussement bienveillant, ton esquisse est mesquine et au fond de ta voie, il y a une profonde sournoiserie.

Le dernier gars vérifie et remarque le badge sur ta poitrine, que tu avais chipé en douce dans une bousculade pseudo-involontaire avec le mec qui tenait le stand de friandise. Oui-oui, celui qui est oublié et qui est le plus souvent un pauvre saisonnier arrondissant ses fins de mois. “C’est sympa, merci.”Ouai-ouai, aller ; dégage. Il s’en va et il n’y a plus personne. Les lumières sont éteintes au niveau de la réception et des couloirs du hall d’accueil. Il ne reste plus que les LED du système de sécurité qui continuent de briller dans le noir. Tu es bien engagé pour hanter le cinéma cette nuit et tu te félicites intérieurement que ce soit aussi bien déroulé. Ça te conforte dans l’idée que l’humain moyen est vraiment soit très con, soit très naïf.
Maintenant, il n’y a plus qu’à trouver la salle où il y a tout le mécanisme de projection. Tu t’équipes d’une lampe torche et tu commences à arpenter l’entièreté du bâtiment avec l’esprit tranquille. De toute façon, tu te doutes que tu ne croiseras dorénavant personne maintenant que la fermeture est passée d’une bonne heure.
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Dernière édition par Zangetsu le Lun 26 Aoû 2024 - 10:22, édité 2 fois
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Nérée Miller

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MessageSujet: Re: clap du début final • ft. nérée clap du début final • ft. nérée EmptyDim 25 Aoû 2024 - 18:47

Clap du début final



Flack appréciait tout ce que ce monde lui offrait. Il fallait bien l’avouer il n’était pas très difficile. Son caractère enjoué et ravi de faire des découvertes lui permettait de s’adapter à quasiment toutes les situations, à part peut-être celles qui s’envenimaient. Flack était un véritable cœur d’artichaud, il n’aimait pas la violence, ni la méchanceté et préférait donc éviter ce genre de situation. Il pleurait bien trop souvent et avait appris qu’ici c’était assez malvenu, surtout de la part d’un homme trentenaire. Dans ce monde, personne ne connaissait le jeu des larmes et c’était bien triste… Flack s’était donc adapté, il ne pleurait plus aussi souvent ou s’il le faisait, il le faisait seul dans son lit après avoir regardé ou lu quelque chose de triste. Enfin le plus souvent…

Il adorait lire depuis qu’il était enfant et ce nouveau monde regorgeait de romans qui n’existaient pas dans son univers. Flack prenait un plaisir fou à tourner les pages des livres sans les mouiller et il pouvait en humer l’odeur sans rien craindre. Un réel plaisir pour l’élémentaire fait d’eau qui avait été privé de certaines choses à cause de son élément. Bien sûr, il existait des livres adaptés aux élémentaires de l’eau, mais c’était différent ici et il adorait se balader dans une librairie avec un millier de choix de bouquins. A vrai dire, il y en avait même trop et parfois il perdait plus de temps à les choisir qu’à les lire. Sans oublier l’énorme pile qui lui restait à découvrir, mais il en achetait quand même des nouveaux. C’était stupide, mais il aimait ça et ça lui convenait.

Il appréciait aussi s’enfermer dans une salle de cinéma. Y aller seul ne le dérangeait pas, même s’il songeait de plus en plus à inviter Flemming. Le truc c’est qu’il ne savait pas vraiment comment elle allait le prendre. Peut-être qu’elle penserait que Nérée souhaitait sortir avec elle ? Ou repartir là où ils s’étaient arrêtés ? Mais lui que voulait-il vraiment ? Est-ce qu’il voulait sortir avec Flemming ? Oh non non non, il ne pouvait pas faire ça, parce qu’il y avait Flam, il ne l’avait pas encore retrouvé mais il aimait et s’il y avait bien une chose dont il était sûr, c’était de ses sentiments pour sa brûlante petite amie. Le problème c’est qu’il ne pouvait nier l’effet que lui faisait Flemming… Il avait beau se dire que tout ses sentiments à l’égard de la jeune femme lui venaient de Nérée et de son amour pour elle. Il y avait cette petite voix horrible au fond de lui, qui lui disait qu’il se trompait et qu’il était bel et bien attiré par la jeune femme. Bref, Flack était paumé… Pour se changer les idées, il s’était donc enfermé dans une salle de cinéma. Il avait choisi une place au fond de celle-ci et s’était enfilé 3 glaces de style magnum. Pourquoi avait-il opté pour ce film. Il avait passé la moitié du film à pleurer et avait fini dans un état catastrophique à la fin du générique, quand le personnage principal finissait sa vie au fond d’une tranchée, laissant sa bien aimé toute seule à élever leur fille. Pour ne pas déranger les gens et pour éviter de trop se faire remarquer, il se cacha dans les toilettes. Hélas, Nérée ou plutôt Flack y resta plus longtemps que prévu. Il savait bien pourtant que son corps n’aimait pas manger trop chaud, ni trop froid…. 3 glaces, c’était une hérésie et son corps lui fit bientôt sortir. Il avait l’impression que ses boyaux se tordaient… il n’allait jamais s’en remettre et allait mourir ici sur la cuvette de toilettes. Quel destin tragique…. Sauvé pour arriver sur l’île et mourir d’une indigestion après avoir mangé trois glaces.

Heureusement pour Nérée, son heure n’était pas encore arrivée et il commença tout doucement à se sentir mieux. Par chance, le personnel avait visiblement oublié de visiter ses toilettes et Flack souffla en remarquant les lumières s’éteindre. Il se voyait mal expliquer pourquoi il ne pouvait pas quitter son trône pour le moment. 20 minutes plus tard, Flam avait retrouvé des couleurs et put enfin sortir des toilettes. Il était encore barbouillé, mais ça allait clairement mieux. Après s’être lavé les mains, il jeta un coup d’œil à son téléphone vidé de sa batterie. C’est vrai qu’il avait oublié de le charger. « Pas grave, je trouverais bien une solution. » C’était un cinéma, il trouverait surement un téléphone pour appeler la police, histoire qui lui envoie un employé pour le sortir de là. Flack glissa son téléphone dans la poche de jean et sortit enfin de la salle de cinéma dans lequel il avait versé tant de larmes tant le but de trouver un moyen pour appeler quelqu’un.

Il percuta quelqu’un en tournant dans un nouveau couloir et ne put s’empêcher d’hurler d’un cri suraigu, totalement terrifié par la situation, mais il reprit rapidement ses esprits grâce aux souvenirs de Nérée et a son self control. Dans la pénombre il remarqua une silhouette masculine, mais ne distingua rien de plus, ses yeux étant en train de s’habituer à la pénombre. « Excusez-moi, vous m’avez surpris… » Et c’était peu de le dire. « Vous faite partie des membres du personnels ? Je suis enfermé ici, si vous aviez une solution pour m’aider à sortir d’ici. » Il observa un peu plus la personne qui lui faisait face et pinça les lèvres. Il ne ressemblait clairement pas à un membre du personnel et il ne voyait pas pourquoi un employé se promènerait comme ça dans le noir. « Hmmm… non vous ne l’êtes pas, vous ressemblez plutôt à quelqu’un qui s’apprête à faire quelque chose d’interdit. » La voix de Flack n’avait rien de négative, elle était plutôt amusée, voir curieuse, ce qui allait un peu à l’encontre de la peur qu’il avait ressentie juste avant, mais c’était du Flam tout craché, il pouvait passer d’une émotion à une autre en une fraction de seconde.

@Zangetsu

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Zangetsu

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Je ne vais pas le faire, Ichigo. Je ne sais pas à propos de Zangetsu, mais je refuse de porter un roi qui est plus faible que moi. Si tu es plus faible que moi , alors je vais te détruire, et prendre ta couronne pour moi-même.

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MessageSujet: Re: clap du début final • ft. nérée clap du début final • ft. nérée EmptyLun 26 Aoû 2024 - 13:40
Le procès du TVA


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Un cri suraigu t’a percé les oreilles. Si tu les aimes en temps normal, tu trouves celui-ci particulièrement désagréable et impromptu, au point que ton premier réflex est de lui plaquer ta main sur sa tronche pour qu’elle arrête de gueuler. Tu en profites pour mieux le regarder et regarder le truc qui t’a fait du rentre-dedans. Ah. En fait, c’est ; pour qu’IL arrête de gueuler. Tu n’étais pas même pas au courant qu’un mâle humain était capable de monter aussi haut dans les aigus. « Tu vas la fermer, ouai ?! » Lorsque tu es surpris, ou contrarié par le fait que le destin t’est donné tord pendant que tu faisais ton petit plan dans ta cervelle, tu es plutôt désagréable. Voir carrément agressif et flippant. En d’autres termes, tu lui demandes de fermer son clape-merde, mais tu ne l’aides pas en lui aboyant dessus comme un chien enragé.
Tu sens que, sous tes doigts pâles, que ses muscles se détendent et qu’il reprend contenance. Malgré cela il y a un temps venant de ta part où tu te méfies. Tu le toises avec un regard mauvais et prudent. Tu appréhendes un coup fourré ou une façon de t’amadouer, avant de finalement constater que ce n’était pas du vent et qu’il cesse réellement de s’affoler comme une petite pisseuse.

« Vraiment ? J’croyais que tu voulais un câlin. J’suis déçu ! » Tu te mets à lui rire au nez. Bien sûr que tu avais compris cela, que tu l’avais surpris. Il n’avait pas besoin de le préciser et pourtant, tu t’amuses à faire l’idiot. À tordre la vérité pour rire de la situation et de sa ; simplicité dirons-nous, pour rester courtois. Quoi que, peut-être pas tant que cela finalement. Il est lent à la détente, mais il sait cogiter. Il a l’air en tout cas, alors tu attends. Tu redresses ta colonne et tu tapes du pied. Tu attends, mais ça ne veut pas dire pour autant que tu es patient. Tu es curieux et tu te satisfais de la bêtise d’autrui. Tu te sens plus malin à côté de ce genre de personne, ce qui est plutôt grisant.

Interdit ? Tu ris à nouveau. Avec ce rire psychotique. Ce rire flippant, mais qui fait partie de ton image et qui permet de te reconnaître facilement au bout d’un couloir ou dans les bureaux. « L’interdit est un vieil ami, il m’excite cet enfoiré. J’suis encore en tête à tête avec, mais j’vois qu’il a pris un nouveau poisson dans ses filets aguicheurs. J’compte être chaste en revanche ce soir, j’suis trop claqué pour des galipettes dans le noir. J’ai pas eu ma dose de détente, personne n’a voulu me donner du rab, alors j’me sers. On n’est jamais mieux servi que par soi-même, n’est-ce pas ? »  C’est interdit de se faire plaisir ? Depuis quand ?
Il y a bien un monde où ça l’est. Tu as tellement vu de truc en si peu de temps, tellement de possibilité, que c’est difficile d’écarter l’une d’entre elle. C’est même extrêmement compliqué de se dire que l’imagination n’en est pas, alors pour simplifier et ne pas trop te prendre la tête, tu te dis que tu regardes la vie d’un autre à travers un écran et que toi-même, tu divertis un autre quelque part dans le Plurivers.

Tu t’en fous, tu n’as jamais été pudique !

Là n’est pas la question en revanche, tu t’égares. Un peu. Tu approches deux de tes doigts près de son front, auquel tu assènes sans retenu une pichenette avec une motivation moqueuse dans ton geste. « Cela dit, je constate que je ne suis pas le seul connard à chercher son attention. Tu t’es mis dans la sauce et à pied-joint en plus de ça ! J’te demanderais pas d’où tu sors, j’ai ma petite idée sur la question, à voir tes mains trempées. Sérieusement ? » C’est flou, c’est vague et c’est vicieux. C’est volontairement haché, parce que tu fais seulement semblant de savoir. Tu veux voir sa réaction, son sens des priorités. Tu comptais te poser tout seul, mais tu auras de la compagnie. Pourquoi pas, au moins personne ne te critiquera cette fois-ci en disant que tu parles tout seul comme un vieux sénile.
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Nérée Miller

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MessageSujet: Re: clap du début final • ft. nérée clap du début final • ft. nérée EmptySam 28 Sep 2024 - 15:09

Clap du début final



« Heu … » Les yeux ronds comme des billes, Flack observe l’individu qui se trouve devant lui et qui manque visiblement de sympathie. « Non ! Je ne sais pas me taire. » dit-il en reprenant un peu contenance. Disons qu’il ne s’était pas attendu à croiser quelqu’un, encore moins dans le noir. Flack pouvait se montrer courageux, mais visiblement aujourd’hui, il avait laissé son courage au placard. « Vous voulez quoi ? Passer inaperçu ? » lui demanda t’il suspicieux… Il n’était pas né de la dernière pluie, mais quand même. Si Flack avait l’air perdu, ce n’était pas franchement le cas de cet homme qui semblait très bien savoir ce qu’il faisait là. « Vous avez peur de quoi ? Qu’on vous surprenne là ou vous ne devriez pas être ? » dit-il en haussant un sourcil. Flack ne s’inquiétait pas trop quant à son sort, si les flics débarquaient, il leur expliquerait tout simplement la situation, ou se transformerait pour partir sans être remarqué. Il lui suffisait de retourner aux toilettes pour passer dans les canalisations, rien de très difficile en soit. Pourtant, il préférait expérimenter la vie humaine et cela signifiait faire ce qu’eux feraient dans ce genre de circonstances et aucun n’humain ne pouvait prendre la fuite par les canalisations.

« Un câlin ? avec vous ? » Il laissa échapper un rire amusé. « Non merci, je devrais très bien réussir à m’en passer. » Par contre il n’était pas contre un câlin avec une jolie fille qui tenait une boutique de souffleur de verre, mais il garda ça pour lui. L’autre n’avait pas besoin de tout savoir. Il n’avait en tout cas pas de chance, il fallait qu’il tombe sur la personne la plus désagréable du cinéma. Quoi qu’il doutât beaucoup sur le fait qu’il soit un employé. En fait non, il était sûr que ce n’était pas le cas, surement un resquiller ou un truc dans le style. Flack avait beau être candide de nature, il savait reconnaitre quand on se foutait de sa gueule et c’était clairement le cas. Il se demanda pendant quelques secondes ce qui pouvait amener quelqu’un à être aussi désagréable. Visiblement, cet homme n’avait pas eu la chance de posséder une famille aussi extraordinaire que la sienne, ni de jouer régulièrement au jeu des larmes. Tant pis pour lui, ce n’était juste pas de bol.

A son tour, Flack éclate de rire, d’un de ses rires cristallins et naturels dont il a toujours eu le secret. Rien n’est jamais joué chez lui, il n’en a pas besoin. « Parce que tu crois que moi ? » il rit de nouveau avant de réussir afin à se calmer. « Wouuahhh franchement je n’ai rien trouvé de mieux pour m’exciter que de rester tard au cinéma pour me taper un bon vieux porno. » Dit-il en se moquant ouvertement de son interlocuteur. Les souvenirs de Nérée n’étaient jamais bien loin et l’élémentaire avait prit pas mal de tempérament par rapport à son monde. « Non en vérité, je me fous totalement de gratter deux heures de cinéma en plus, je n’ai pas besoin de ça pour me sentir vivre ou pour m’exciter… » Pas de sa faute s’il trouvait l’excitation autre part que dans ce genre de petits délires… Cela lui rappelait ses ado ou personnes qui volaient dans les magasins pour le plaisir de faire quelque chose d’interdit et de voler les grandes enseignes. Il avait toujours trouvé cela ridicule, mais il n’avait pas à juger les gens.

Il se contient de lui envoyer une droite quand il reçoit une pitchenette, la violence n’a jamais rien résolu… Il se contente de l’observer avant de regarder ses mains encore humides pour son passage aux toilettes. Il hausse un sourcil puis un deuxième avant de soupirer. « T’es visiblement en manque mon vieux… » Ouais ça faisait même peur… Il ne comprendrait jamais ce genre de personne, alors il n’essayait même pas. Enfin bref, vu le type ça devait être moyen pour s’amuser ou pour le tester, mais lui n’y trouvait aucun amusement, ni intérêt. « Je te laisse à ton excitation, faut que je me casse d’ici. » finit-il par dire bien décider à trouver un téléphone pour qu’on vienne l’ouvrir et qu’il puisse regagner tranquillement l’extérieur. Qu’importe que cela mette un terme à la petite soirée ce crétin, il n’en avait rien à secouer.

@Zangetsu

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MessageSujet: Re: clap du début final • ft. nérée clap du début final • ft. nérée EmptyJeu 3 Oct 2024 - 15:16
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Super. Tu es tombé sur le crétin du coin. Le SEUL couillon qui arrive à se faire enfermer en même temps que toi ici ; est un crétin. Tu ne t’attendais pas à grand-chose, mais tu es quand même déçu. Tu fais rouler tes yeux vers le ciel et tu soupires. Un soupir profond, long. La chute de tes humeurs a été vertigineuse. De fou rire, tu passes aux soupires. « Oui et non. À vrai dire je m’en fiche. Je pars et je viens quand je veux, où je veux et si je veux. » C’est probablement la phrase la plus censée que tu as prononcé depuis le début et même si elle dégouline d’arrogance ; elle est terriblement vraie. Tu as juste à pianoter sur ton pad temporel et pouf ! Tu disparais. C’est probablement à cause de cette faculté que tu as nourri quelques légendes urbaines locales dans les coins les plus pourris de Baïame.
Terre à terre, pragmatique et donc ennuyeux à crever, tu ne peux pas t’empêcher d’avoir ce sourire moqueur scotché à ton visage. Moqueur et narquois. « Ooooh, j’ai affaire à un petit génie à ce que je vois. Une personne éclairée. » Éclairer peut-être aussi flatteur que dégradant. C’est là toute la subtilité des mots ; tu peux autant user de sarcasme en t’accrochant au synonyme de sagesse, que de moquerie en l’usant comme un sarcasme prenant racine dans la folie. Voir les deux à la fois.

Il parle, il parle. Blablabla ; et tu mimes sa bouche avec ta main pendant qu’il débite.
Tu sembles à la troisième personne dans cette conversation. « Oui-oui-oui. Je suis un grand garçon qui a tout compris et qui s’est senti poussé subitement des couilles après avoir crié comme une gonzesse. » On te dit d’humeur changeante, mais alors là ; tu as trouvé un nouveau challenger. Un rival. Quoi que. À mieux le regarder, c’est juste un paumard qui essaye de se donner de l’importance. En plus d’avoir un esprit tordu ou sacrément premier degré. Tu n’avais pas prévu de te battre, mais si c’est son souhait le plus cher ; allons-y. Tu n’as rien contre un peu d’exercice, même si tu aurais préféré voir un autre film. « De quoi ? C’est plutôt toi qui m’as l’air en manque ; pour avoir fait des raccourcis aussi rapides. J’sais même pas d’quoi tu me parles. »

Cocasse, mais véridique. Tu n’as aucune référence de ce dont il a fait mention. Tu ne sais pas ce qu’est un porno, de l’excitation, du manque ; Tu es un putain de fantôme. Un monstre. Pas un humain donc à part se donner des grands airs avec un changement de comportement radical, tu ne cernes pas ce qu’il est en train de te dire.

Et tu ne vas pas chercher.
Ni le retenir d’ailleurs.

Qu’il se casse chercher son téléphone. Tu hausses les épaules et tu ne te soucis pas trop des embrouilles qu’il va hypothétiquement t’apporter. Toi tu reprends ta recherche, tout en faisant un détour au stand de confiserie pour te prendre une nouvelle lampée de popcorn. Sans payer cette fois-ci, en plus ! Tu en sèmes quelques-uns dans les couloirs, jusqu’à arriver au bureau de la sécurité. Tu essayes de faire travailler ta logique et même si beaucoup d’idée te traverse l’esprit, ce qui t’empêche de te concentrer, tu parviens à trouver un plan du bâtiment. Tu t’en sers donc pour trouver la salle des bobines. Fermée à clé, bien évidemment. « Sésame, ouvre-toi ! » Tu tires un coup sec sur la porte à deux reprises, avant de réussir à forcer la serrure.

L’embarras du choix se présente devant toi et écris au marqueur noir sur des bandes blanches adhésives, chacune des bobines portent le titre d’un film. Certaines sont neuves, ce qui laisse sous-entendre qu’elles viennent tout juste de sortir. Tu en déduis alors que ce sont les nouveaux films. D’autres sont plus usées, plus poussiéreuses et tu te demandes à quoi elles servent. C’est parmi ces dernières que tu pioche et grâce au tribunal quelque part, tu parviens à mettre en route le projecteur. Tu tombes sur un film en noir et blanc. Comme toi ! Alors ça t’intrigue et il semblerait que ce soit sur des petits humains. Des enfants menant une guerre puérile et innocente, dans le dos de leur professeur.
Tu ne veux pas perdre ton temps à retourner dans la grande salle. La baie vitrée de celle-ci, dédiée au personnel et à la projection, te suffit. À nouveau devant ces images remuantes, ces histoires vivantes, tu te calmes. Tu t’assagies. Tu te concentres sur ce que tu voies. Tu apprends inconsciemment sur les humains, mais tu ne captes pas l’intérêt de celle-ci. Tu restes dépourvu d’émotion, de maîtrise sur celle-ci, de compréhension, alors face à la guerre des boutons, qui reste une histoire visant à être touchante, c’est de marbre que tu es.

Tu t’ennuies presque, mais pourtant tu continues à regarder.
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