starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police)
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Sujet: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police) Mar 25 Juin 2024 - 1:31
-- ft. the cops.
7h57. t'arrives avec trois minutes d'avances. visage fermé, dossiers sous l'bras. les regards s'échangent tandis qu'ils savent que c'est un nouveau mauvais jours pour leur commissaire. tu dis rien, pas d'bonjour, tu te contentes juste de monter sur l'éternelle estrade qui mène à ton bureau et qui te permets de prendre de la hauteur sur la salle principale du commissariat. Il te suffit d'un simple regard pour voir qui travaille réellement et qui se la coule douce, prétendant être soudainement intéressé par l'écran d'ordinateur. pourtant t'as pas l'temps pour ces conneries, pas alors qu'un nouveau corps vient à peine d'être retrouvé. – tout le monde est convoqué en salle de réunion. tu clâmes finalement d'un ton autoritaire. de toute évidence, t'avais mal dormi, t'étais de mauvaise humeur et jimmy avait été hyperactif toute la matinée, te forçant à serrer fort les dents pour rester calme et ne pas craquer sous les éternels « maman, maman, maman ! » tu devais l'admettre, t'étais bien contente qu'il soit à l'école même si tu avais du mal à réellement faire confiance à l'établissement scolaire après ce qu'il venait de se passer. t'avais la vague impression d'être de retour à gotham et ça, t'aimais moins. la seule raison pour laquelle vous étiez resté à l'époque c'est parce que dick avait eu un job qui permettait et garantissait la sécurité de la ville. tu n'approuvais pas la manière dont les choses étaient faites là bas, mais tu devais bien admettre que le crime avait été égal à zéro, et ce, malgré le fait que vous vous adressiez à peine la parole en dehors de jimmy ou au travail quand le GCPD était amené à travailler avec son équipe. enfin travailler. c'était bien un grand mot. plutôt quand il vous tolérait sur le terrain, ce qui avait causé grand nombre de frustration entre vous, expliquant pourquoi et comment vous en étiez arrivé au point où vous étiez aujourd'hui : et ce, même si l'amour que vous aviez l'un pour l'autre était encore présent. parfois, l'amour n'était pas assez et c'était exactement ça, l'éternelle tragédie de dick grayson et barbara gordon.
dans tout les cas, t'étais tendue et ça s'voyait. t'allais probablement être imbuvable toute la journée, mais l'enjeu était trop gros. trop important pour pouvoir être détendue. une tension dans la nuque se faisait ressentir et tu t'empresses de claquer la porte de ton bureau, retirant alors ta veste et t'empressant de faire une immense tasse de café noir. tu ramènes ton index et ton pouce à la tranche de ton nez, fermant les yeux rapidement tandis que tu réalises à quel point t'es fatigué et c'est dans ce genre de moment que tu te rends compte à quel point tout ce que tu détestais chez ton père : tu le reproduisais. schéma toxique d'être totalement absorbé par ton travail et t'avais terriblement envie d'craquer, de tout abandonner et d'baisser les bras. d'laisser jimmy manger pizza tout les soirs sans argumenter et de le laisser regarder la télé toute la sainte journée pour que tu puisses juste te laisser aller. ou hurler à t'en briser les cordes vocales tellement t'étais épuisé et désabusée. l'absence de dick se faisait de plus en plus pesante, de plus en plus prenante et t'arrivais plus à supporter cette situation sauf que tu devais garder la façade. parce que tout l'monde comptait sur toi mais surtout parce que ton propre fils comptait sur toi et que tu l'aimais trop pour le laisser tomber.
le café se terminant tu t'empresses de prendre une grande inspiration et d'enfin partir vers la salle de réunion, ce dossier toujours sous le bras. tu tardes pas à voir tout les regards vers toi, tous probablement curieux de savoir pourquoi une telle et soudaine convocation aussi tôt le matin quand certains semblaient encore endormi. tu branches la clé USB à l'ordinateur présent dans la pièce et pendant que les informations chargent, tu sirotes une longue gorgée de ta boisson. tes prunelles vertes bloquées sur cet officier qui semble finir sa lui, mais t'as rien besoin d'dire : l'officier à sa droite s'occupe d'le taper avec son bras lui permettant de se réveiller instantanément. l'attente est interminable, tandis que tu t'assures que tout l'monde est là : il semblerait que personne n'ait décidé de défier ton autorité ce matin et tant mieux car t'étais pas d'humeur. – les informations que je m'apprête à vous divulger peuvent être graphique alors si vous avez le cœur légers sortez maintenant. je vous déconseille aussi de manger.
tu laisses planer encore une fois le doute dans la pièce avant d'ouvrir le dossier devant toi. – on a un serial killer en liberté. bombe balancée sans aucun filtre, pas de pincette, rien. t'as déjà prévenu, alors tu ne préviens pas plus : tu appuies sur la télécommande qui projette les photos des cadavres. quatre, en tout. trois hommes, une femme, tous baignant dans un bain de sang, mais surtout avec le haut du crane découpé et le cerveau manquant. – nous n'avons aucune informations sur le comment, pourquoi. nous savons cependant qu'il n'y a aucun témoin, ce qui explique que le tueur semble attendre que ses victimes soient isolées. certains témoins disent avoir vu une silhouette pas excessivement grande mais un peu inquiétante. officiellement, personne ne peut nous dire si c'est un homme ou une femme mais la description de la silhouette en question serait de environ 1m60 pour une cinquantaine de kilogramme pas plus. il serait donc plus probable qu'il s'agisse d'une femme que d'un homme. tu te stoppes enfin, laissant les informations être digérées tandis que tu reprends après de longues secondes de pause. – problème ? aucun ADN. rien du tout. et les coupures sont toute excessivement propre : ce qui explique que nous avons affaire ici à un professionnel.
tu éteins enfin le diaporama pour essayer de permettre à tes employés de ne pas vomir leur repas et tu te penches sur le pupitre tout en fixant l'audience d'un regard sévère. – à partir de maintenant vous abandonnez toute les affaires sur lesquelles vous travaillez. on se contrefou des petits voleurs de bas étages, et des crimes de secondes zones, je veux toute les équipes aux aguets. vous me passez l'île au peigne fin, vous faites du porte à porte si il le faut mais il est plus qu'urgent que nous retrouvions cet individu au plus vite. à partir d'aujourd'hui, vous ne comptez plus vos heures. si qui que ça soit se plaint, vous prenez la porte immédiatement. notre devoir est de protéger les citoyens de cette île quoi qu'il arrive, au dépend de notre propre vie. compris ? ils acquiescent, tous silencieusement. – concernant la presse, ils tenteront de vous extorquez des informations. Tout est confidentiel : les seules informations que nous dévoileront sont celle que je donnerais moi même lors de la conférence de presse que je donnerais dans une heure. tu vois bien que l'atmosphère n'est pas aussi légère qu'au début : tes mesures avaient mis une atmosphère plutôt anxiogène mais ils savaient aussi que n'importe qui pouvait être le suivant surtout quand vous n'aviez encore aucune idée concernant les victimes et l'éternelle vrai modus operentis. – des questions ?
(c) mars.
Link d'Hyrule
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Sujet: Re: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police) Mer 26 Juin 2024 - 17:49
Le badge de police de Link affichait encore "Lieutenant Leo Knight", de son nom qu'il avait durant la malédiction. Si beaucoup de policiers étaient aujourd'hui réveillés de leur malédiction, il en restait certains qui n'avaient pas récupéré leurs propres souvenirs. Et si le changement d'identitié passaient pour certains, "Link d'Hyrule" était encore trop spécifique pour répondre de ce nom au poste de police, auprès de collègues qui ignoraient tout de la magie et du multivers.
Habituellement silencieux, ne parlant que très peu et ayant habitué son entourage et ses collègues à ce qu'il ne prenne la parole que lorsque c'était important, Link ne posa aucune question lorsque la commissaire Gordon en demanda. Il regarda plutôt le reste de l'audience, tout ausi soucieux de savoir ceux qui en avaient, ou encore ceux qui ne prendrait pas l'affaire au sérieux. Ces derniers étaient absents, personne n'osait ne pas prendre la commissaire Gordon à la rigolade.
Faire partie des lieutenants à 25 ans était chose plutôt rare et il aurait pu avoir assez de pression avec les autres lieutenants plus âgés mais il n'en était rien. Link respectait ses pairs (ses supérieurs, ses inférieurs, et les autres lieutenants) au même titre, et son schéma à la police durant sa malédiction avait été le même qu'à Hyrule dans sa vie précédente : chevalier ordinaire au service du Roi Bosphoramus, ses exploits avaient été remarqués par celui-ci qui l'a fait monter en grade, responsable des armées et de la sécurité de la princesse. Rien d'aussi glorifiant ou littéraire à Baiame, mais c'était en se démarquant autant que Leo Knight a été gradé lieutenant. Les lieutenants, sous la supervision du commissaire qui était leur supérieur, formaient et dirigeaient des équipes d'interventions. Ils s'organisèrent alors pour se diviser les troupes, les pistes et l'île et commencèrent alors à partir en mission.
De sa nature de chevalier, habitué à la recherche, c'était naturellement que la brigade de Link avait commencé aussitôt par sortir plutôt que de fouiller les dossiers, afin d'aller aussitôt sur le terrain. Link s'était équipé d'une carte papier de la ville : c'était certainement son origine de chevalier d'un monde d'héroic fantasy qui le rendait un peu vieux jeu, plus à l'aise en regardant une carte comme celle-ci plutôt qu'un GPS. A Hyrule, les tablettes sheikah ressemblaient un peu aux GPS de ce monde, mais ils étaient bien plus précis. Et puis après tout, même en tant que policier, Link préférait encore mener Excalibur qu'un revolver.
Link s'en servit pour établir un périmètre assez large autour de la scène de crime pour établir plusieurs points : possibilités de témoins (caméra de surveillance, téléphones, voisins un peu trop curieux, s'il y en avaient), possibilités de points d'entrées, et possibilités de point de sortie pour un criminel. Au vue de la complexité du cas, ces opérations n'allaient peut être pas mener à grand chose, mais c'était en éliminant les premières vérifications évidentes qu'une affaire pouvait avancer. On ne pouvait pas se permettre de les ignorer en pensant qu'on allait rien trouver, pour au final découvrir trop tard qu'on aurait pu découvrir quelque chose en les faisant.
C'est alors que, ses hommes répartis dans les rues, que Link se redressa, soudainement méfiant. Il avait un plutôt bon instinct, rarement surpris par une présence étrangère. Sentant une présence qui le regardait, il resta calme mais vigilent, et vit après quelque seconde une ombre se défiler sur le haut d'un toit.
Link commença à courir le long de la rue pour atteindre le bâtiment concerné, et c'est juste avant d'y entrer qu'il vit une silhouette (une seconde) faire un saut remarquable du toit du bâtiment voisin pour atteindre celui-ci. Par combien de personnes Link était observé dans cette enquête ?
Dernière édition par Link d'Hyrule le Mer 26 Juin 2024 - 23:50, édité 1 fois
Peter N. Parker
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Sujet: Re: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police) Mer 26 Juin 2024 - 17:50
Vous êtes un policier, ou un super-héros ? Demanda la voix de l'individu qui venait de sauter sur le toit du bâtiment où il se trouvait. Le total look noir avec la longue veste et le chapeau vintage ne rend pas la réponse évidente.
Peter s'adossa contre le mur à côté de la porte qui menait au toit, et sortit une cigarette de sa poche, qu'il alluma. Son regard était indéchiffrable sous ses lunettes noires (que tous prenaient pour des lunettes de soleil mais qui étaient un simple outil de mal-voyant, Peter étant daltonien du fait de son univers d'origine).
Ni l'un ni l'autre, répondit Peter de sa voix grave, avec la même intensité de film noir qui caractérisait tout son univers et ses habitants. Justicier, sans doute. Policier, non. Je suis détective. C'est courant ce style de chauve-souris chez les justiciers ?
C'est courant ce style d'araignée chez les détectives ? Rétorqua Nightwing en indiquant les motifs à toile très discrets sur le bas de sa veste, mais qu'il avait tout de même remarqué.
La porte s'ouvrit en trombe, pour que s'approche le lieutenant, arme à la main, pointée vers Nightwing qu'il avait vu en premier, face à lui, mais qu'il garda ensuite entre lui et Peter quand il vit ce dernier. Les sourcils du policier passèrent cependant de la méfiance à l'incompréhension en reconnaissant le héros à cape.
Lieutenant Knight, fit respectueusement Nightwing en levant les mains. Pour commencer, nous n'avons rien à voir avec votre affaire.
Dick Grayson, identifia Link.
Nightwing soupira, devant le sourire de Peter.
Les identités secrètes sont définitivement inutiles sur cette île... commenta-t-il en retirant le masque qu'il avait sur le visage.
Peter se redressa. Vous étiez un chevalier dans un monde médiéval, quand est-ce que vous avez pu ouvrir un comics pour apprendre le nom de Nightwing ? Demanda-t-il, sérieux et tout aussi intense.
Nightwing soupira. Ma dernière visite à la police a été... remarquée, expliqua Dick. La commissaire Gordon est la mère d'un enfant dont mon double disparu est le père alors c'est... compliqué.
Link, qui n'avait pas perdu ses priorités, passa de Peter à Dick, l'air grave. Vous ne faîtes plus partie de la police, Dick Grayson. Et nous n'engageons pas de détective privé, Peter Parker.
Peter s'avança avant de jeter sa cigarette dans un pot qui avait appaement déjà servi par les résidents de l'immeuble comme cendrier. Il réajusta son chapeau sur la tête. Je n'ai jamais attendu que la police me demande d'enquêter pour enquêter, lieutenant Knight, rétorqua-t-il sur le même ton.
Ce ton digne d'un film pouvait amuser ou déranger certains, mais c'était comme ça : Peter venait d'un film noir, dans le sens où son univers en était réellement un. Noir et blanc, dans les années 30-40, ravagé par le crime et la violence. La couleur et la discussion détendue ne faisaient pas réellement partie de ses habitudes.
Le jeune lieutenant soupira. Peter savait qu'il n'en avait pas fini avec lui, Link respecterait les ordres et volontés du commissaire qui ne serait sans doute pas ravi qu'un détective aux pouvoirs d'araignée se mêle à l'affaire. Mais pour le moment, Link priorisa d'abord la raison de la présence d'un super-héros comme Nightwing. Qui avait déjà travaillé à la police et qui avait une surprenante connexion avec sa supérieure, qui plus est.
C'est une affaire de police, l'intervention de super justiciers est-elle vraiment nécessaire ? provoqua le chevalier.
C'est Spider-Man Noir qui répondit. La police devrait plutôt se demander pourquoi votre affaire interesse soudainement un homme araignée et un homme chauve-souris.
Je ne suis pas vraiment un homme chauve-souris, vous savez ? Se défendit Nightwing.
Link se méfiait toujours, mais ils virent que pour le moment, il était enclin à écouter. Le lieutenant n'était pas crédule non plus : malgré le secret de cette affaire, le détective et le justicier la connaissait pourtant parfaitement. S'ils avaient une piste que la police n'avait pas, il devait l'entendre.
Nous venons d'univers que la commissaire Gordon connait très bien elle aussi, commença Noir. Ce genre de meurtres, c'est presque une routine pour nous.
Mais certainement pas pour une ville de ce monde là, continua Dick. On s'y intéresse parce qu'on ne cherche pas juste quel civil de Baiame a pu commettre ce crime.
On se demande surtout quel super-méchant l'a commis et dans quel but. C'est quelque chose que le Bouffon Noir, ou peut être Kraven Noir auraient pu faire, bien que ça ne soit pas leurs signatures, continua Peter.
J'ai pensé au Joker, mais c'était trop propre pour que ça lui ressemble réellement. C'est peut-être un truc que le Pengouins pourrait faire, compléta Nightwing.
Spider-Man Noir mit les mains dans ses poches et s'approcha du jeune lieutenant. Tu comprends petit ? C'est la signature d'un calibre supérieur à celui d'un simple meurtrier civil. Explorez cette piste. Nous, de notre côté, nous serons sur celles d'un super-méchant
Un bruit distraya Link qui tourna vivement la tête, tombant dans le piège : en se retournant à nouveau, Nightwing et Spider-Man Noir, l'ancien policier et le détective privé, avaient tous les deux disparus pour mener cette enquête de leur côté, et Link ne savait pas si la police pourrait vraiment y faire quelque chose.
Dashiell Parr
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Sujet: Re: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police) Sam 29 Juin 2024 - 1:30
Dash observe les photos d'un air horrifié, le visage pâle et une forte envie de vomir le prenant aux tripes. Mais il se ressaisit tout aussi rapidement, continuant d'écouter les propos du commissaire au sujet du serial killer en liberté et du manque de preuves évident dont ils disposent. Que le suspect possède des pouvoirs ne l'enchante pas plus. Dans un monde où les personnes à pouvoirs et les justiciers continuent de croître, l'apparition de criminels grossit tout aussi exponentiellement. Dans son monde, la plupart des criminels n'étaient que des aficionados de science, un brin écervelé. Ici, les choses sont bien plus sombres, bien plus sanglantes.
Bien qu'il ne soit ni lieutenant, ni commissaire, mais un simple agent, Dash ne perd pas une seule seconde pour partir sur le terrain, ayant l'avantage de pouvoir agir bien plus rapidement que le reste de ses collègues. Analysant chacune des scènes de crime en détails, il ne lui faut que quelques minutes pour avoir fait le tour. L'île n'est pas si grande pour un speedster comme lui, et faire l'aller-retour à plusieurs reprises entre les différents lieux où ont été commis les crimes est un jeu d'enfant pour Flèche, qui a déjà probablement mémorisé à la perfection chacune des briques constituant les murs, ou le nombre de dalles de pierre qui s'y trouvent, avant même que le reste des renforts n'affluent en masse. Beaucoup de ses collègues, ainsi que ses supérieurs, sont déjà au courant pour ses capacités, et s'en servent pour récolter des informations qu'ils sont incapables de se procurer en temps normal.
C'est en retournant sur l'un des lieux qu'il se retrouve nez à nez avec une journaliste. Non, pas une journaliste. Une détective privée. Du nom de Lois Lane. En d'autre temps, Dash aurait rit d'une telle chose. Mais au vu des propriétés de l'île et de ses habitants multiversels , il ne peut que sourire. Et soupirer. Aucune intervention extérieure n'est autorisée, et si Dash se moque généralement de ce que peuvent faire des civils sur les lieux du crime, aujourd'hui, il a décidé d'agir en règle. Malheureusement pour la détective, qui se retrouve à mille lieux de la scène de crime, alors que Flèche l'expédie en super-vitesse à l'autre bout de la ville. Vous vous foutez de moi ?! s'exclame-t-elle, une pointe de frustration perlant dans sa voix. Elle a l'air plus en rogne qu'on lui ait retiré son enquête, que déstabilisée d'avoir été ainsi sujette à une forme de transport plus que surnaturel. Ce qui n'a rien de très surprenant quand on sait qui est son petit-ami. Dash ne connaît pas Clark Kent, mais il le plaint déjà d'avoir du supporter Lois Lane, reporter intrépide et bien trop curieuse pour son propre bien.
Désolée madame, c'est sans rancune !
Et alors même qu'il tente de s'esquiver sans demander son reste, leur chemin croise celui d'un autre détective : Spider-Man Noir, et d'un justicier dans un costume bien trop moulant : Nightwing.
A ce rythme-là, ils auront bientôt recréé la Ligue Indestructible. Une version bien supérieure à la Justice League toute pétée de Joss Whedon, bien évidemment.
Ah bah vous tombez à pic vous deux ! J'ai déjà bâclé le travail pour vous. J'ai trouvé ça derrière une des bennes à ordure (parce que oui, il y a toujours des bennes à ordure dans ces histoires, c'est d'un décevant !). Il leur balance un bouton de chemise ainsi qu'un faux ongle bleu. Aucun des deux n'appartient aux victimes. Et si cela ne les avance pas plus dans leur enquête, c'est déjà un bon début. Enfin, du point de vue de Dash, en tout cas. De rien, je vous en prie, ça me fait plaisir.
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Loïs Kent
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Sujet: Re: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police) Mar 23 Juil 2024 - 18:10
Au secours, Loïs
Loïs aurait mieux fait de rester coucher ce matin-là. Tout avait commencé à 6 heures du matin avec les aboiements de son chien : Cookie. Il se trompait rarement et quand elle entendit les bruits de sabots, la brunette comprit rapidement qu’il y avait un problème. Elle sauta du lit sans réveiller son mari, enfila un vieux bas jogging tout pourri qu’elle n’avait pas encore pris le temps de laver, sauta dans sa paire de boots et s’élança à l’extérieur. Son berger Allemand, le fameux Cookie, la suivait de près. « Oh non ! » jura la jeune femme en voyant les 3 fils qui servaient de porte de pré au sol. Non loin de là, Kenzo la petite terreur noire galopait dans la cour en compagnie de ses deux acolytes : le poney de sa nièce Olivia, puis Jéricho un hongre espagnol qu’elle avait accepté de prendre en pension… De l’autre côté, dans l’autre pré, son propre cheval et son compagnon de pré, galopaient en tout sens dans l’espoir de rejoindre leurs amis à quatre pattes. Elle n’eut pas le temps de dire ouf ou d’attraper un licol que Krypton s’élança au galop dans la clôture qui vola dans les airs… Elle écrasa un juron contre ses lèvres en observant les 5 chevaux se retrouver pour partir galoper dans le pré qu’elle avait laissé au repos pour qu’il puisse refaire une nouvelle repousse. « Je vais les tuer, ou en faire des raviolis. » lâcha t’elle en tournant les talons pour partir chercher du ruban électrique, et de nouveaux piquets. Oui, elle aurait pu réveiller Clark qui se serait occupé de lui refaire la clôture en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Il se serait contenter d’enfoncer le poteau avec son petit doigt, mais Lois tenait à son indépendance.
« Tu vas t’enfoncer bordelll de MMM »…. Elle donna un nouveau coup de masse et atteignit son pouce. Aiiiie, ça faisait mal. Elle jura et donna un nouveau coup qui enfonça enfin le piquet en bois. « Ah ahhhh » Il croyait quoi ce poteau qu’il allait s’en tirer vainqueur, il connaissait mal Lois Kent. Une fois ses clôtures réparées, Loïs passa une heure à rattraper les deux shetlands qui n’en faisaient qu’à leur tête. Elle eut juste le temps de prendre sa douche et partit en direction du travail, affamée. Quand elle arriva, en retard, au commissariat, elle n’eut même pas le temps de se faire couler un café ou de piquer une chouquette et se rendit dans la salle de réunion, ou son retard ne passa évidemment pas inaperçu. Super, il ne manquait plus qu’un sérial Killer pour que sa journée soit au top.
Comme la plupart de ses collègues, Loïs partit en direction de la scène de crime en compagnie de Cookie qui faisait lui aussi partie de la bande en tant que chien policier. Elle l’avait entrainé et désormais il était devenu un vrai atout pour la jeune femme. « Allez viens… » Cookie sortit du véhicule et resta au pied de la jeune femme qui se dirigea vers la scène de crime. Parfois, elle se demandait ce qu’elle foutait là, certains de ses collègues avaient des pouvoirs, elle, elle n’avait rien si ce n’est son intelligence et son envie de résoudre les crimes pour apporter un certain repos à ceux qui restaient. La seule bote secrète c’était son chien et son odorat. Il ne mit pas longtemps à en suivre une d’ailleurs et Lois le laissa faire, le suivant à distance. Il évoluait aisément et prit la direction d’une petite ruelle ou se trouvait déjà 3 autres agents qu’elle connaissait pour la plupart de vue. « C’est ce qui s’appelle enquêter en groupe… » laissa t’elle échapper en se rapprochant des 3 individus. « Lois Kent » se présenta t’elle avant de rajouter, histoire qu’il n’y ai pas d’amalgame. « Et non je ne suis pas journaliste, je suis inspectrice et lui c’est Cookie, chien policier. » Il releva à peine la tête et sentit le bouton de chemise et l’ongle avant de s’arrêter pour renifler autour de lui… "Alors qu'est-ce qu'on a?" demanda t'elle tout en observant son chien qui cherchait à retrouver la piste.
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Ceridwen Maple
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Sujet: Re: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police) Sam 28 Sep 2024 - 7:09
starts with a spark, then it's a wildfire
On ne va pas se mentir, ce n'est pas très souvent que je sors de mon laboratoire. Je participe parfois à des briefings, surtout pour exposer mes résultats mais globalement, je suis seule avec moi-même et mes petits champs de recherche et ça me va plutôt bien. Ce n'est pas que je sois contre le fait de voir des gens, mais ça ne m'enchante pas spécialement de le faire. Il y a des exceptions, évidemment Mais depuis la mort de mon père, je suis quand même un peu comme une sorcière qui prépare ses potions dans son chaudron toute seule dans son grand château noir. Le labo a moins de gueule qu'un château noir, mais l'idée est là.
Pourtant, aujourd'hui, il est temps de sortir de mon petit confort et de voir du monde. Ce n'est pas que j'en ai particulièrement envie, mais on a été convoqués et à partir de là, il faut bien que je fasse ce qu'on me demande. En réalité, je suis bel et bien concernée. S'il y a un serial killer, on va avoir besoin de mon expertise pour toutes les pièces à conviction. Il va falloir les étiqueter, les analyser et faire des comparaisons avec tout ce que je vais pouvoir trouver. Si les agents parcourent la ville dans tous les sens, il va y en avoir des indices et je suis à peu près sûre qu'il n'y en aura pas le quart qui seront utiles. Mais comme je ne sais pas quel quart, il faudra bien tous les analyser.
Je pars avec un groupe et celui-ci s'avère avoir un chien. Je connais bien Cookie. C'est le chien de Loïs, et on s'entend plutôt bien. C'est pas très compliqué de s'entendre avec elle, de toute façon. La plupart du temps, il suffit de se rappeler que c'est elle qui commande. Comme je n'ai pas une envie particulière de dominer le monde, je me laisse suivre. La seule fois ou je ne lui laisse pas de marge de manœuvre, c'est si elle fait un truc qui va me détruire des preuves. Légiste un jour, légiste toujours. N'empêche que la bestiole est contente de me voir et je lui fais un gros câlin, juste pour lui dire qu'il est le bienvenu dans cette enquête.
Il est futé, l'animal, il me déniche déjà quelques indices matériels alors qu'on vient à peine d'arriver. Je le fais reculer parce qu'il faut que je les récupère dans des sachets et que je les étiquette. Passionnant, la vie d'un légiste sur le terrain. Heureusement qu'il n'y a pas beaucoup de moment où je suis sur le terrain. En vrai, c'est pas tout à fait la réalité. J'aime autant être sur le terrain au moment où il se passe des choses parce que les agents eux-mêmes peuvent laisser parfois des détails passer que moi je verrai parce que c'est mon boulot. Mais quand-même, je suis bien plus confortable dans mon labo. Je laisse les autres discuter pendant que je continue à scruter les environs, avec Cookie, qui semble ravi de m'assister quand il s'agit de renifler par terre.
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Sujet: Re: starts with a spark, then it's a wildfire. (ft. la police)
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